Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 4 |
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Page 11
Ce n ' était qu ' en triomphant de l ' amour conjugal par un autre amour , il est vrai
, moins légitime , mais peut - être plus digne d ' elle , qu ' elle pouvait , à l '
exemple de tant d ' autres , en ce temps de débordement des mœurs , se
consoler de ...
Ce n ' était qu ' en triomphant de l ' amour conjugal par un autre amour , il est vrai
, moins légitime , mais peut - être plus digne d ' elle , qu ' elle pouvait , à l '
exemple de tant d ' autres , en ce temps de débordement des mœurs , se
consoler de ...
Page 32
Pendant le temps que durèrent les assises des états , elle se rendait à Vitré le
moins souvent qu ' elle pouvait , et préférait se tenir à la campagne ; mais elle n '
était pas toujours maîtresse de suivre en cela sa volonté . D ' ailleurs on ne la ...
Pendant le temps que durèrent les assises des états , elle se rendait à Vitré le
moins souvent qu ' elle pouvait , et préférait se tenir à la campagne ; mais elle n '
était pas toujours maîtresse de suivre en cela sa volonté . D ' ailleurs on ne la ...
Page 59
La comtesse de Rochebonne ressemblait beaucoup à son frère , le comte de
Grignan : c ' est dire assez qu ' elle n ' était pas belle ; aussi est - ce par
antiphrase et en plaisantant que madame de Sévigné la qualifie de jolie femme '
.
La comtesse de Rochebonne ressemblait beaucoup à son frère , le comte de
Grignan : c ' est dire assez qu ' elle n ' était pas belle ; aussi est - ce par
antiphrase et en plaisantant que madame de Sévigné la qualifie de jolie femme '
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Page 63
382 ; t . II , P . 2 , 5 , 192 , 211 , edit . G . * SÉVIGNÉ , Lettres ( 9 mars 1672 ) , t . II ,
p . 414 , édit . G . ; t . II , p . 352 , édit . M . . 3 SÉVIGNÉ , Lettres ( 8 avril 1671 ) , t .
II , p . 6 , édit . G . ; t . 11 , p . 5 , édit . M . Sainte - Marie n ' était jamais bien long ...
382 ; t . II , P . 2 , 5 , 192 , 211 , edit . G . * SÉVIGNÉ , Lettres ( 9 mars 1672 ) , t . II ,
p . 414 , édit . G . ; t . II , p . 352 , édit . M . . 3 SÉVIGNÉ , Lettres ( 8 avril 1671 ) , t .
II , p . 6 , édit . G . ; t . 11 , p . 5 , édit . M . Sainte - Marie n ' était jamais bien long ...
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Sainte - Marie n ' était jamais bien long , et n ' avait lieu qu ' à de grands
intervalles . Cette existence calme et reposée pouvait lui plaire pendant
quelques jours , par son con . traste avec l ' agitation de sa vie habituelle ; mais
elle n ' avait pas ...
Sainte - Marie n ' était jamais bien long , et n ' avait lieu qu ' à de grands
intervalles . Cette existence calme et reposée pouvait lui plaire pendant
quelques jours , par son con . traste avec l ' agitation de sa vie habituelle ; mais
elle n ' avait pas ...
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Popular passages
Page 316 - ... de façon que cette indifférence que je sens lorsque je ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids d'aucune raison , est le plus bas degré de la liberté, et fait plutôt paraître un défaut dans la connaissance...
Page 129 - Dieu ? qu'aurai-je à lui présenter? la crainte, la nécessité ferontelles mon retour vers lui ? n'aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur? que puis-je espérer? suis-je digne du paradis? suis-je digne de l'enfer? Quelle alternative !-quel embarras! Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre...
Page 129 - Vous me demandez, ma chère enfant, si j'aime toujours bien la vie : je vous avoue que j'y trouve des chagrins cuisants; mais je suis encore plus dégoûtée de la mort : je me trouve si malheureuse d'avoir à finir tout ceci par elle, que si je pouvois retourner en arrière, je ne demanderois pas mieux.
Page 31 - Coëtlogon dansèrent avec deux Bretonnes des passe-pieds merveilleux , et des menuets, d'un air que les courtisans n'ont pas à beaucoup près : ils y font des pas de Bohémiens et de bas Bretons avec une délicatesse et une justesse qui charment.
Page 371 - Le succès de ses études fut tel qu'on pouvait l'attendre d'un génie aussi heureux que le sien. S'il fut fort bon humaniste , il devint encore plus grand philosophe.
Page 198 - ... j'en suis honteuse ; je ne sais ce qu'on a à me tant estimer. Je voulois partir demain; madame de Coulanges a voulu encore un jour , et met à ce prix son voyage de Grignan ; j'ai cru vous faire plaisir de conclure...
Page 130 - Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre. Je m'abîme dans ces pensées, et je trouve la mort si terrible, que je hais plus la vie parce qu'elle m'y mène, que par les épines qui s'y rencontrent.
Page 191 - ... souhaiter. Notre Mousse prend courage; nous voyageons un peu gravement; M. de Coulanges nous eût été bon pour nous réjouir. Nous n'avons point trouvé de lecture qui...
Page 261 - Saint-Hérem, etc.; des aventuriers, des épées, des chapeaux du bel air, une idée de guerre, de roman, d'embarquement, d'aventures, de chaînes, de fers, d'esclaves, de servitude, de captivité; moi, qui aime les romans, je suis transportée.
Page 314 - Scarron, mille personnes, et je ne lui vois plus aucune espérance de quoi que ce puisse être ; on donne des pensions aux beaux esprits ; c'est un fonds abandonné à cela ; il en mérite mieux que tous ceux qui en ont; point de. nouvelles, on ne peut rien obtenir pour lui. Je dois voir demain madame de Vill — ; c'est une certaine ridicule à qui M.