Mémoires d'un bourgeois de Paris: comprenant: la fin de l'Empire, la Restauration, la monarchie de Juillet, la République jusqu'au rétablissement de l'Empire, Volume 4Librairie nouvelle, 1856 - France |
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24 février actes Adélaïde adressé Altesse Royale appartements bientôt Bravo cabinet Chambre des députés Charles Charles X château cheval coalition cœur comte de Montalivet conseil Decamps demande devant dévouement Dreux duc d'Aumont duc d'Orléans duc de Chartres duc de Mont duc de Montpensier duc de Nemours duc de Valois Duchâtel duchesse d'Orléans enfants famille royale garde nationale général Dumas guerre Guizot heureux hommes j'ai jeunes princes jour journal l'esprit l'exil l'opposition Lamartine Ledru-Rollin lettre lippe-Égalité liste civile Louis XVIII Louis-Phi Louis-Philippe madame de Genlis madame la duchesse mademoiselle Rachel Majesté maréchal mariage matin ment Molé monarchie de Juillet Monsieur montra Napoléon Neuilly Odilon Barrot pacha pages palais des Tuileries Palais-Royal passions pays Périer personne peuple place politique première président princesse règne reine reste révolution royauté s'était Saint-Cloud salon séance sentiments sera seul soir Syrie Thiers tion tragédienne tribune trône troupes voitures voix voyage
Popular passages
Page 138 - De ces ravages du temps. Vous en avez qu'on adore, Mais ceux que vous méprisez Pourraient bien durer encore Quand ceux-là seront usés. Ils pourront sauver la gloire Des yeux qui me semblent doux, Et dans mille ans faire croire Ce qu'il me plaira de vous.
Page 22 - Je suis, avec le plus profond respect, » Sire, » De Votre Majesté, » Le très-humble, très-obéissant serviteur et fidèle sujet,
Page 60 - J'ai l'honneur d'être, avec le plus profond respect, » Sire, » De Votre Majesté, » Le très-humble et très-fidèle sujet. » Le ministre secrétaire d'État des finances,
Page 198 - D'avoir faussé les principes de la Constitution , violé les garanties de la liberté et attenté aux droits des citoyens; 3° D'avoir, par une corruption systématique , tenté de substituer à la libre expression de l'opinion publique les calculs de l'intérêt privé, et de pervertir ainsi le gouvernement représentatif; 4°...
Page 254 - ... que celui qui a le courage de prendre la responsabilité d'une guerre civile au sein de notre noble France, celui-là est coupable au premier chef, celui-là est criminel envers son pays et envers la liberté de la France et du monde entier. Quant à moi, messieurs, je ne puis prendre cette responsabilité. La régence de la duchesse d'Orléans, un ministère pris dans les opinions les plus éprouvées, vont donner plus de gages à la liberté ; et puisse un appel au pays, à l'opinion publique,...
Page 5 - Philippe-Égalité, n'était qu'une imitation de l'Angleterre. Le duc d'Orléans avait cependant établi au sein de sa famille une discipline qui rappelait presque toutes les sévérités d'étiquette de la cour de Louis XIV. Aussi, lorsqu'il fut devenu roi, et lorsque tous les jeunes princes, après la mort si fatale du duc d'Orléans, commencèrent à jouir d'une certaine liberté, ils n'étaient jamais si heureux que lorsque tous les quatre, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc d'Aumale...
Page 64 - Thicrs la présidence du conseil et le département des affaires étrangères. Enfin, dans le ministère du 15 avril 1837, qui eut à lutter contre la coalition, M. de Montalivet accepta, pour la dernière fois, le ministère de l'intérieur, sous la présidence de M. le comte Molé. D'un esprit droit et ferme, le jeune ministre fit preuve de talent, de clarté, d'atticisme dans ses improvisations, soit à la chambre des députés , soit à la chambre des pairs. Les parlementaires lui reprochaient...
Page 9 - Si je voulais chercher une expression exacte de notre situation, je la trouverais dans la lettre que Votre Altesse royale m'a fait l'honneur de m'écrire le 19 du mois dernier : cette situation y est admirablement exposée dans les termes les plus vrais. — Les difficultés ne peuvent se résoudre que par cette association des deux mariages, qui obtient l'approbation entière de Votre Altesse royale, et sur laquelle repose notre seul moyen de succès. Malheureusement, il parait que j'ai mal saisi...
Page 263 - Des hommes du peuple mêlés de gardes nationaux y pénètrent en criant : « A bas la Chambre, pas de députés ! » Un de ces hommes a poussé le canon de son fusil dans la direction du bureau. Les cris « Ne tirez pas ! Ne tirez pas ! c'est M. de Lamartine qui parle...