La Revue hebdomadaire, Volume 29Nourrit et Cie, 1920 - Literature |
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aime Alexandre Millerand américain amour assez Bagnères beau Beernaert belge Belgique Biche Bradford Brigitte c'était Chambre chanter Chateaubriand cher chose cœur commandant Lyautey D'Annunzio d'Indy d'Ovide demande devant Dieu dieux dire donner doute Edmond Jaloux enfants esprit Fastes femme fille force française GARANCIÈRE général gens gloire gouvernement Grèce guerre Hallencourt homme j'ai jamais Jaulgonne jeune Joachim Prémery jour l'abbé Serre l'Allemagne l'amour l'Art d'aimer laisser Lamartine latin lettres Lyautey Magondal main ment Mérial Mérimée Métamorphoses mètres Millerand ministre Mlle Hallencourt Mme de Jaulgonne Mme Hémar mois monde monsieur mort nationale œuvre Olive Ovide parler passé Paul de Magondal Paul Deschanel pays pensée petite peuple peut-être poème poésie poète politique Pontiques porte pré Prémery premier qu'Ovide qu'un raison reste rien romain Rome Russie s'est saint Saint Christophe sait scoutisme semble sentiments sera seulement siècle sociale soir sorte Sulmone tion Tristes trouve tuberculose vieille Vincent d'Indy visage voici voix yeux
Popular passages
Page 484 - Le plus grand défaut de la pénétration n'est pas de n'aller point jusqu'au but, c'est de le passer.
Page 281 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t'aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours: Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 242 - C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres ; et me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moimême ou bien dans le grand livre du monde...
Page 279 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit; Je dis à cette nuit: "Sois plus lente"; et l'aurore Va dissiper la nuit. 'Aimons donc, aimons donc! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive; II coule, et nous passons!
Page 46 - Monsieur était devant son lit ; elle l'embrassa , et lui dit avec une douceur et un air capable d'attendrir les cœurs les plus barbares: Hélas! Monsieur, vous ne m'aimez plus, il ya long-temps; mais cela est injuste; je ne vous ai jamais manqué.
Page 300 - Les pins m'ouvrent plus loin leurs hautes colonnades , Je les franchis, j'arrive à ces prés suspendus Sur la croupe des monts, verts tapis étendus, Où les chalets , des bois bordent les précipices. Un vieux pâtre y gardait un troupeau de génisses ; Les yeux vers le soleil couchant , entre ses doigts II roulait sans me voir un rosaire de bois.
Page 401 - ... refouler l'ennemi. Une troupe qui ne peut plus avancer devra, coûte que coûte, garder le terrain conquis et se faire tuer sur place plutôt que de reculer. Dans les circonstances actuelles, aucune défaillance ne peut être tolérée.
Page 233 - Je n'aime dans l'histoire que les anecdotes, et parmi les anecdotes je préfère celles où j'imagine trouver une peinture vraie des mœurs et des caractères à une époque donnée.
Page 6 - ... clair qu'Ovide souhaitait de tout son cœur que quelque Brutus délivrât Rome de son Auguste, et il lui souhaite en vers l'immortalité ! Je ne reproche à Ovide que ses Tristes. Bayle lui fait son procès sur sa philosophie du chaos , si bien exposée dans le commencement des Métamorphoses : « Ante mare et terras, et quod tegit omnia cœlum, « Unus erat toto naturae vultus in orbe. » Bayle traduit ainsi ces premiers vers : «Avant qu'il y eût un ciel, une terre, et « une mer , la nature...
Page 43 - II y aurait une action concertée et commune ayant pour but de résister aux mesures de force employées par l'Allemagne contre la Belgique et en même temps de garantir le maintien de l'indépendance et de l'intégrité de la Belgique dans l'avenir. La Belgique...