Espagne et Provence |
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altres amor aquest Arabes arte badours Barcelone belle Bernard de Ventadour Bertrand de Born Bohémienne buen caractère castillane Castille catalane Catalogne Cervantes chants chevalerie chevalier Chronique civilisation comédie comte de Provence comtesse Corneille d'Aragon d'Ausias March d'Auvergne dame Dante Diego Diego Lainez Dieu dolor Don Quichotte dramatique drame ÉCOLE Espagne Fauriel fille Gaule méridionale génie genre gran grec Guilhem de Castro hommes Honnorat Iles-d'Or Jean de Nostredame Jitanilla Juan l'amour l'auteur l'Espagne l'esprit l'Histoire de Don Limousin littéraire littérature provençale llurs Lope de Vega lyrique manuscrits marquis de Santillane Marseille ment Messieurs molt mort Muntaner Narbonne noble Nord onzième siècle pays Pétrarque peuple pièces poder poésie provençale poètes poétique Preciosa prince prose provençale raison Ramon Muntaner Raymond Rodrigue rois romane du Midi saber Saint-Césari Sancho scène seigneur senor sentiments sera seulement talent théâtre espagnol Tirant le Blanc Toulouse treizième siècle troubadours trouvères Valence vençale Victor Hugo
Popular passages
Page 285 - N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers? Mon bras, qu'avec respect toute l'Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi...
Page 199 - Donosa (por saber quién era), ¿dónde es la vaquera de la Finojosa?". . . Bien como riendo, dixo: "Bien vengades; que ya bien entiendo lo que demandades: non es desseosa de amar, nin lo espera, aquessa vaquera de la Finojosa".
Page 198 - María, vencido del sueño, por tierra fragosa perdí la carrera, do vi la vaquera de la Finojosa. En un verde prado de rosas e flores, guardando ganado con otros pastores, la vi tan graciosa, que apenas creyera que fuese vaquera de la Finojosa.
Page 283 - C'est d'eux que tu descends, c'est de moi que tu viens; Ton premier coup d'épée égale tous les miens, Et d'une belle ardeur ta jeunesse animée Par cette grande épreuve atteint ma renommée. Appui de ma vieillesse et comble de mon heur, Touche ces cheveux blancs à qui tu rends l'honneur, Viens baiser cette joue, et reconnais la place Où fut empreint l'affront que ton courage efface.
Page 333 - Un rimeur, sans péril, delà les Pyrénées . Sur la scène en un jour renferme des années. Là souvent le héros d'un spectacle grossier, Enfant au premier acte, est barbon au dernier.
Page 329 - Comme roi des auteurs qu'on l'élève à l'empire : Ma bile alors s'échauffe , et je brûle d'écrire , Et s'il ne m'est permis de le dire au papier, J'irai creuser la terre, et, comme ce barbier, Faire dire aux roseaux par un nouvel organe : Midas, le roi Midas, a des oreilles d'âne.
Page 210 - C'est en vain qu'on se met en défense; Ce Dieu touche les cœurs lorsque moins on y pense. Ce bienheureux moment n'est pas encor venu; II viendra; mais le temps ne m'en est pas connu.
Page 418 - Y cuando he de escribir una comedia, Encierro los preceptos con seis llaves; Saco a Terencio y Plauto de mi estudio. Para que no me den voces; que suele Dar gritos la verdad en libros mudos; Y escribo por el arte que inventaron Los que el vulgar aplauso pretendieron; Porque, como las paga el vulgo, es justo Hablarle en necio para darle gusto.
Page 214 - Un soneto me manda hacer Violante, que en mi vida me he visto en tal aprieto : catorce versos dicen que es soneto; burla burlando van los tres delante.
Page 309 - Son petit pied aussi était andalou, car il était tout ensemble à l'étroit et à l'aise dans sa gracieuse chaussure. Elle dansait, elle tournait, elle tourbillonnait sur un vieux tapis de Perse, jeté négligemment sous ses pieds ; et chaque fois qu'en tournoyant sa rayonnante figure passait devant vous, ses grands yeux noirs vous jetaient un éclair.