Nouveau recueil: ou, mélange, littéraire, historique, dramatique et poetique: à l'usage des écoles, ... Par A. Scot, ... |
From inside the book
Results 1-5 of 74
Page 13
... force : mais l'im- portant eft de fe faire obeir volontairement . Or , le moyen le plus fûr d'y réuffir , c'est de bien convaincre ceux à qui l'on commande qu'on fait mieux ce qui leur eft utile qu'eux - mêmes : car tous les hommes ...
... force : mais l'im- portant eft de fe faire obeir volontairement . Or , le moyen le plus fûr d'y réuffir , c'est de bien convaincre ceux à qui l'on commande qu'on fait mieux ce qui leur eft utile qu'eux - mêmes : car tous les hommes ...
Page 22
... force . Il parut donc fe déterminer au deffein de la prendre par famine . Pour cela il fit creufer tout autour de la ville des foffés fort larges et fort profonds , pour empêcher , difoit - il , que rien ne pût y entrer ou en fortir ...
... force . Il parut donc fe déterminer au deffein de la prendre par famine . Pour cela il fit creufer tout autour de la ville des foffés fort larges et fort profonds , pour empêcher , difoit - il , que rien ne pût y entrer ou en fortir ...
Page 23
... force des armes , il feroit honteux de fe laiffer vaincre par les attraits de la volupté : Qu'enfin , pour conferver leur ancienne gloire , il falloit maintenir à Babylone parmi les Perfes la même difcipline qui étoit observée dans leur ...
... force des armes , il feroit honteux de fe laiffer vaincre par les attraits de la volupté : Qu'enfin , pour conferver leur ancienne gloire , il falloit maintenir à Babylone parmi les Perfes la même difcipline qui étoit observée dans leur ...
Page 65
... force pour goûter la fortune que vous m'offrez . Laiffez - moi en ce moment pleurer mon père . Vous fa- vez mieux que moi combien il mérite d'étre pleuré . Calypfo n'ofa d'abord le preffer davantage . Elle feignit même d'entrer dans fa ...
... force pour goûter la fortune que vous m'offrez . Laiffez - moi en ce moment pleurer mon père . Vous fa- vez mieux que moi combien il mérite d'étre pleuré . Calypfo n'ofa d'abord le preffer davantage . Elle feignit même d'entrer dans fa ...
Page 67
... force invincible . Il donnoit tran- quillement tous les ordres , pendant que le pilote étoit troublé . Je lui difois : Mon cher Mentor , pourquoi ai- je refufé de fuivre , vos confeils ? Ne fuis - je pas malheu reux d'avoir voulu me ...
... force invincible . Il donnoit tran- quillement tous les ordres , pendant que le pilote étoit troublé . Je lui difois : Mon cher Mentor , pourquoi ai- je refufé de fuivre , vos confeils ? Ne fuis - je pas malheu reux d'avoir voulu me ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abner Adelaïde affez Affurément ainfi Angelique Athalie auffi avez avoient avoit befoin bergers c'èft c'étoit caufe ceffe cher chofe Ciel Claudine Clitandre coeur confeils confidérable connoiffance Corrégidor Cyaxare Cyrus Dame deffein Dieu difcours dit-il donner efprit èft enfant enfuite èſt étoient étoit fage faint falut fang fans favez favoir feconde fécours femble femme fentiment fera feroit fervice fervir feul fils Foad foin foit foldats fonge Fonrofe font fous fouvent fuis fuivi fujet George Dandin Geronimo Gil Blas gout grace homme j'ai j'avois j'étois jeune Joad Joas Jofabet jour jufqu'à l'efprit laiffer Lelie longtems lorfque Lubin m'en Macbeth Madame de Sotenville maifon main maître maîtreffe Mathan Meffieurs Menalque mère Monfieur n'avoit n'èft paffer Pancrace parler penfe père perfonne peuple plaifir plufieurs pouvoit préfent prefque puiffe puifque refte rien Rois SCENE Seigneur Sganarelle tems vaiffeaux Valladolid veux voilà vôleurs yeux
Popular passages
Page 416 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés '? Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée! Cieux, répandez votre rosée, Et que la terre enfante son Sauveur!
Page 61 - Mille fleurs naissantes émaillaient les tapis verts dont la grotte était environnée. Là on trouvait un bois de ces arbres touffus qui portent des pommes d'or, et dont la fleur qui se renouvelle dans toutes les saisons répand le plus doux de tous les parfums.
Page 64 - Je l'ai gardé long-temps dans cette île : il n'a tenu qu'à lui d'y vivre avec moi dans un état immortel ; mais l'aveugle passion de retourner dans sa misérable patrie lui fit rejeter tous ces avantages. Vous voyez tout ce qu'il a perdu, pour Ithaque , qu'il n'a pu revoir.
Page 527 - L'habitant ne connaît ni la chaux ni le plâtre ; Et dans le roc, qui cède et se coupe aisément, Chacun sait de sa main creuser son logement. La maison du seigneur, seule un peu plus ornée, Se présente au dehors de murs environnée.
Page 71 - J'oublie que vous êtes des Grecs; nos ennemis deviennent nos amis fidèles. Les dieux vous ont envoyés pour nous sauver : je n'attends pas moins de votre valeur que de la sagesse de vos conseils; hâtez-vous de nous secourir.
Page 396 - Tels qu'on voit des Hébreux les Prêtres revêtus. Sa vue a ranimé mes esprits abattus. Mais lorsque revenant de...
Page 405 - Combien de temps, Seigneur, combien de temps encore Verrons-nous contre toi les méchants s'élever ? Jusque dans ton saint temple ils viennent te braver ; Ils traitent d'insensé le peuple qui t'adore. Combien de temps, Seigneur, combien de temps encore Verrons-nous contre toi les méchants s'élever!
Page 529 - Qu'heureux est le mortel qui, du monde ignoré Vit content de soi-même en un coin retiré! Que l'amour de ce rien qu'on nomme renommée N'a jamais enivré d'une vaine fumée; Qui de sa liberté forme tout son plaisir, Et ne rend qu'à lui seul compte de son loisir!
Page 72 - ... mais il ne voulut nous donner ni un pilote , ni des rameurs de sa nation, de peur qu'ils ne fussent trop exposés sur les côtes de la Grèce. Il nous donna des marchands phéniciens , qui, étant en commerce avec tous les peuples...
Page 384 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.