Nouveau recueil: ou, mélange, littéraire, historique, dramatique et poetique: à l'usage des écoles, ... Par A. Scot, ... |
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Page 62
... charmes d'une vie lâche et effeminée mais quelle faveur du Cièl nous a fait trouver , après notre naufrage , cette Déeffe , ou cette mortelle , qui nous comble de biens ? Craignez , répartit Mentor , qu'elle ne vous accable de maux ...
... charmes d'une vie lâche et effeminée mais quelle faveur du Cièl nous a fait trouver , après notre naufrage , cette Déeffe , ou cette mortelle , qui nous comble de biens ? Craignez , répartit Mentor , qu'elle ne vous accable de maux ...
Page 81
... charmes de fes doux accents 11 ne chan- toit que la grandeur des Dieux , la vertu des héros , et la fageffe des hommes qui préferent la gloire aux plaifirs . 11 me difoit fouvent , que je devois prendre courage , et que les Dieux n ...
... charmes de fes doux accents 11 ne chan- toit que la grandeur des Dieux , la vertu des héros , et la fageffe des hommes qui préferent la gloire aux plaifirs . 11 me difoit fouvent , que je devois prendre courage , et que les Dieux n ...
Page 82
... charmes de la vie champêtre , quand on fait goûter ce que la fimple nature a de gracieux . Bien - tôt les bergers avec leurs flûtes fe virent plus heureux que les rois , et leurs cabans attiroient en foule les plaifirs purs qui fuyent ...
... charmes de la vie champêtre , quand on fait goûter ce que la fimple nature a de gracieux . Bien - tôt les bergers avec leurs flûtes fe virent plus heureux que les rois , et leurs cabans attiroient en foule les plaifirs purs qui fuyent ...
Page 83
... charmes de l'har- monie ; adouciffez les cœurs farouches ; montrez leur l'aimable vertu ; faites leur fentir combien il eft doux de jouir , dans la folitude , des plaifirs innocents que rien ne peut ôter aux bergers . Un jour , mon fils ...
... charmes de l'har- monie ; adouciffez les cœurs farouches ; montrez leur l'aimable vertu ; faites leur fentir combien il eft doux de jouir , dans la folitude , des plaifirs innocents que rien ne peut ôter aux bergers . Un jour , mon fils ...
Page 146
... charmes , et je goutois auffi par avance les divertif- fements que Don Raphael me préparoit dans fon château . Cependant , parmi tant d'images de plaifir , le fommeil ne lailla pas de venir repandre fur moi fes pavots . Des que • que je ...
... charmes , et je goutois auffi par avance les divertif- fements que Don Raphael me préparoit dans fon château . Cependant , parmi tant d'images de plaifir , le fommeil ne lailla pas de venir repandre fur moi fes pavots . Des que • que je ...
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Common terms and phrases
Abner Adelaïde affez Affurément ainfi Angelique Athalie auffi avez avoient avoit befoin bergers c'èft c'étoit caufe ceffe cher chofe Ciel Claudine Clitandre coeur confeils confidérable connoiffance Corrégidor Cyaxare Cyrus Dame deffein Dieu difcours dit-il donner efprit èft enfant enfuite èſt étoient étoit fage faint falut fang fans favez favoir feconde fécours femble femme fentiment fera feroit fervice fervir feul fils Foad foin foit foldats fonge Fonrofe font fous fouvent fuis fuivi fujet George Dandin Geronimo Gil Blas gout grace homme j'ai j'avois j'étois jeune Joad Joas Jofabet jour jufqu'à l'efprit laiffer Lelie longtems lorfque Lubin m'en Macbeth Madame de Sotenville maifon main maître maîtreffe Mathan Meffieurs Menalque mère Monfieur n'avoit n'èft paffer Pancrace parler penfe père perfonne peuple plaifir plufieurs pouvoit préfent prefque puiffe puifque refte rien Rois SCENE Seigneur Sganarelle tems vaiffeaux Valladolid veux voilà vôleurs yeux
Popular passages
Page 416 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés '? Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée! Cieux, répandez votre rosée, Et que la terre enfante son Sauveur!
Page 61 - Mille fleurs naissantes émaillaient les tapis verts dont la grotte était environnée. Là on trouvait un bois de ces arbres touffus qui portent des pommes d'or, et dont la fleur qui se renouvelle dans toutes les saisons répand le plus doux de tous les parfums.
Page 64 - Je l'ai gardé long-temps dans cette île : il n'a tenu qu'à lui d'y vivre avec moi dans un état immortel ; mais l'aveugle passion de retourner dans sa misérable patrie lui fit rejeter tous ces avantages. Vous voyez tout ce qu'il a perdu, pour Ithaque , qu'il n'a pu revoir.
Page 527 - L'habitant ne connaît ni la chaux ni le plâtre ; Et dans le roc, qui cède et se coupe aisément, Chacun sait de sa main creuser son logement. La maison du seigneur, seule un peu plus ornée, Se présente au dehors de murs environnée.
Page 71 - J'oublie que vous êtes des Grecs; nos ennemis deviennent nos amis fidèles. Les dieux vous ont envoyés pour nous sauver : je n'attends pas moins de votre valeur que de la sagesse de vos conseils; hâtez-vous de nous secourir.
Page 396 - Tels qu'on voit des Hébreux les Prêtres revêtus. Sa vue a ranimé mes esprits abattus. Mais lorsque revenant de...
Page 405 - Combien de temps, Seigneur, combien de temps encore Verrons-nous contre toi les méchants s'élever ? Jusque dans ton saint temple ils viennent te braver ; Ils traitent d'insensé le peuple qui t'adore. Combien de temps, Seigneur, combien de temps encore Verrons-nous contre toi les méchants s'élever!
Page 529 - Qu'heureux est le mortel qui, du monde ignoré Vit content de soi-même en un coin retiré! Que l'amour de ce rien qu'on nomme renommée N'a jamais enivré d'une vaine fumée; Qui de sa liberté forme tout son plaisir, Et ne rend qu'à lui seul compte de son loisir!
Page 72 - ... mais il ne voulut nous donner ni un pilote , ni des rameurs de sa nation, de peur qu'ils ne fussent trop exposés sur les côtes de la Grèce. Il nous donna des marchands phéniciens , qui, étant en commerce avec tous les peuples...
Page 384 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.