Nouveau recueil: ou, mélange, littéraire, historique, dramatique et poetique: à l'usage des écoles, ... Par A. Scot, ... |
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Page 216
... scene ; et l'auteur , le poëme à la main , s'affit dans les couliffes à portée de fouffler . Il avoit eu raison de nous dire que la piece étoit tragique ; car dans le pre- mier acte , le Roi de Maroc , par manière de récréation , tua ...
... scene ; et l'auteur , le poëme à la main , s'affit dans les couliffes à portée de fouffler . Il avoit eu raison de nous dire que la piece étoit tragique ; car dans le pre- mier acte , le Roi de Maroc , par manière de récréation , tua ...
Page 268
... SCENE PREMIERE . GEORGE DANDIN . H , qu'une femme Demoiselle èft une étrange af- lante à tous les payfans qui veulent s'élever au - deffus de leur condition , et s'allier , comme j'ai fait , à la maison d'un Gentilhomme ! La Nobleffe de ...
... SCENE PREMIERE . GEORGE DANDIN . H , qu'une femme Demoiselle èft une étrange af- lante à tous les payfans qui veulent s'élever au - deffus de leur condition , et s'allier , comme j'ai fait , à la maison d'un Gentilhomme ! La Nobleffe de ...
Page 269
... SCENE II . GEORGE DANDIN , LUBIN . G. Dandin , ( à part , voyant fortir Lubin de chez lui ) Que diantre ce drôle - là vient - il faire chez moi ? Lubin , ( à part , appercevant George Dandin . ) Voilà un homme qui me regarde . G. Dandin ...
... SCENE II . GEORGE DANDIN , LUBIN . G. Dandin , ( à part , voyant fortir Lubin de chez lui ) Que diantre ce drôle - là vient - il faire chez moi ? Lubin , ( à part , appercevant George Dandin . ) Voilà un homme qui me regarde . G. Dandin ...
Page 271
... SCENE III . GEORGE DANDIN , feul . Hé bien , George Dandin , vous voyez de quel air vo- tre femme vous traite . Voilà ce que c'èft d'avoir voulu élpoufer une Demoiselle . L'on vous accommode de toutes pieces , fans que vous puiffiez ...
... SCENE III . GEORGE DANDIN , feul . Hé bien , George Dandin , vous voyez de quel air vo- tre femme vous traite . Voilà ce que c'èft d'avoir voulu élpoufer une Demoiselle . L'on vous accommode de toutes pieces , fans que vous puiffiez ...
Page 272
... SCENE IV . MONSIEUR DE SOTENVILLE , MADAME DE SOTENVILLE , GEORGE DANDIN . M. de Sotenville . Qu'èft ce , mon gendre , vous me pa- roiffez tout troublé ? G. Dandin . Auffi en ai - je du fujèt , et- Madame de Sotenville . Mon Dieu ...
... SCENE IV . MONSIEUR DE SOTENVILLE , MADAME DE SOTENVILLE , GEORGE DANDIN . M. de Sotenville . Qu'èft ce , mon gendre , vous me pa- roiffez tout troublé ? G. Dandin . Auffi en ai - je du fujèt , et- Madame de Sotenville . Mon Dieu ...
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Common terms and phrases
Abner Adelaïde affez Affurément ainfi Angelique Athalie auffi avez avoient avoit befoin bergers c'èft c'étoit caufe ceffe cher chofe Ciel Claudine Clitandre coeur confeils confidérable connoiffance Corrégidor Cyaxare Cyrus Dame deffein Dieu difcours dit-il donner efprit èft enfant enfuite èſt étoient étoit fage faint falut fang fans favez favoir feconde fécours femble femme fentiment fera feroit fervice fervir feul fils Foad foin foit foldats fonge Fonrofe font fous fouvent fuis fuivi fujet George Dandin Geronimo Gil Blas gout grace homme j'ai j'avois j'étois jeune Joad Joas Jofabet jour jufqu'à l'efprit laiffer Lelie longtems lorfque Lubin m'en Macbeth Madame de Sotenville maifon main maître maîtreffe Mathan Meffieurs Menalque mère Monfieur n'avoit n'èft paffer Pancrace parler penfe père perfonne peuple plaifir plufieurs pouvoit préfent prefque puiffe puifque refte rien Rois SCENE Seigneur Sganarelle tems vaiffeaux Valladolid veux voilà vôleurs yeux
Popular passages
Page 416 - D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés '? Lève, Jérusalem, lève ta tête altière ; Regarde tous ces rois de ta gloire étonnés; Les rois des nations, devant toi prosternés, De tes pieds baisent la poussière; Les peuples à l'envi marchent à ta lumière. Heureux qui pour Sion d'une sainte ferveur Sentira son âme embrasée! Cieux, répandez votre rosée, Et que la terre enfante son Sauveur!
Page 61 - Mille fleurs naissantes émaillaient les tapis verts dont la grotte était environnée. Là on trouvait un bois de ces arbres touffus qui portent des pommes d'or, et dont la fleur qui se renouvelle dans toutes les saisons répand le plus doux de tous les parfums.
Page 64 - Je l'ai gardé long-temps dans cette île : il n'a tenu qu'à lui d'y vivre avec moi dans un état immortel ; mais l'aveugle passion de retourner dans sa misérable patrie lui fit rejeter tous ces avantages. Vous voyez tout ce qu'il a perdu, pour Ithaque , qu'il n'a pu revoir.
Page 527 - L'habitant ne connaît ni la chaux ni le plâtre ; Et dans le roc, qui cède et se coupe aisément, Chacun sait de sa main creuser son logement. La maison du seigneur, seule un peu plus ornée, Se présente au dehors de murs environnée.
Page 71 - J'oublie que vous êtes des Grecs; nos ennemis deviennent nos amis fidèles. Les dieux vous ont envoyés pour nous sauver : je n'attends pas moins de votre valeur que de la sagesse de vos conseils; hâtez-vous de nous secourir.
Page 396 - Tels qu'on voit des Hébreux les Prêtres revêtus. Sa vue a ranimé mes esprits abattus. Mais lorsque revenant de...
Page 405 - Combien de temps, Seigneur, combien de temps encore Verrons-nous contre toi les méchants s'élever ? Jusque dans ton saint temple ils viennent te braver ; Ils traitent d'insensé le peuple qui t'adore. Combien de temps, Seigneur, combien de temps encore Verrons-nous contre toi les méchants s'élever!
Page 529 - Qu'heureux est le mortel qui, du monde ignoré Vit content de soi-même en un coin retiré! Que l'amour de ce rien qu'on nomme renommée N'a jamais enivré d'une vaine fumée; Qui de sa liberté forme tout son plaisir, Et ne rend qu'à lui seul compte de son loisir!
Page 72 - ... mais il ne voulut nous donner ni un pilote , ni des rameurs de sa nation, de peur qu'ils ne fussent trop exposés sur les côtes de la Grèce. Il nous donna des marchands phéniciens , qui, étant en commerce avec tous les peuples...
Page 384 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.