L'Année littéraire: ou, suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 1-2Fréron., 1755 - France |
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affez aifé ainfi ajoûte Anglois Artiftes Arts auffi auroit Auteur avoient avoit ayent befoin c'eft c'eſt c'étoit caufe Chant chofe Cicéron compofé conféquent confidérable connoiffance connoître deffein déja Difcours différens Differtation Duc de Bedford efpèce efprit enfuite eſt étoient étoit fagacité faifant faifoit fans doute fçait fe trouve feconde fecours felon femble fens fent feroit fervir feul fiècle fieurs fignifie fimple fingulier foin foit fous fouvent François Françoiſe ftyle fuccès fuis fuivant fujet fur-tout fyllabe génie goût Grammaire Hiftoire homme intéreffant jufqu'à jufte l'Abbé L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Art l'Au l'Auteur l'efprit l'Hiftoire l'ufage laiffer Langue Latin Lettres Livre loix Louis XIV Lycomède ment Monfieur Mufique n'eft néceffaires obfervations ouvrage paffe paffions Palmyre paroît Peintre penfer perfonne Philofophe plaifir plufieurs Poëfie Poëte préfent prefque premier prépofition Prince Princeffe propofe queftion raifon refte s'eft talens teur tion ufage verbe vûe دو رو
Popular passages
Page 228 - Quand j'aurai fait le brave, et qu'un fer pour ma peine M'aura d'un vilain coup transpercé la bedaine, Que par la ville ira le bruit de mon trépas, Dites-moi, mon honneur, en serez-vous plus gras...
Page 87 - C'est quelquefois l'assemblage des talents, c'est toujours la perfection de celui que la nature nous a donné, qui décèle le génie. On étudie, on cherche son talent ; souvent on le manque : le génie se développe de lui-même. Le talent peut être enfoui , parce qu'il n'a pas des occasions pour éclater ; le génie perce malgré tous les obstacles : c'est lui seul qui produit, le talent ne fait guère que mettre en œuvre.
Page 209 - Voilà un bras & une tête qui ne font pas ce que j'ai fait hier de moins bien. • Ce Tableau , qui...
Page 38 - C'eft Jupiter armé pour effrayer la Terre. Un Orage terrible aux yeux des Matelots , C'eft Neptune en courroux , qui gourmande les flots.
Page 13 - Ce fera donc moi , reprit froidement le monarque. Il tire .en même-temps fon fabre , faute dans l'arène , va droit au lion , lui coupe la gorge , & fans perdre de temps , décharge un fi rude coup fur le taureau , qu'il lui abat la tête. Toute la cour demeura étonnée de cette force prodigieufe & de cette hardiefîè inouïe. Les auteurs de la raillerie furent confondus. David était petit , leur dit le roi avec une fierté héroïque , mais il terrajffh l'orgueilleux géant qui»avoit ofé le...
Page 206 - La beauté du dam» frappa tous les yeux , ]u ("qu'au moment que le Marquis inftruit par quelqu'un de la rufe du Peintre , le fit approcher de l'Empereur qui en fut extrêmement furpris ; ftf lorfque le fait lui fut raconté , il en rit beaucoup.
Page 3 - C'eft une double erreur. Elle n'a été inftituée ni pour la difpofition du royaume , ni .précifément pour déterminer le droit des particuliers aux biens féodaux. C'eft un recueil de règlements fur toutes fortes de matières. Elle prefcrit des peines pour le larcin , les incendies , les ma...
Page 256 - Terrasson , d'accélérer, par dévotion , la jpn du monde autant qu'il dépendait de lui. Il sortit un jour à moitié habillé par distraction ; son ajustement ameuta et fit rire le peuple : Je viens , dit-il , de donner à la populace du quartier un petit amusement qui ne lui a rien coûté, ni à moi non plus. Sur la fin de sa vie, il perdit absolument la mémoire; quand on lui faisait quelque question : Demandez , répondit-il, à mademoiselle Luquet , ma gouvernante.
Page 68 - Belle-lsle dans la bouche de Junoo, et. dans celle de Mars, les vers suivants adressés au maréchal : Si cet enfant que le destin nous donne Veut marcher sous mes étendards, Pour lui faire goûter les leçons de Bellone, Un héros s'offre à mes regards. François, je vois ici l'appui de votre trône Qui sait fixer un maître au trône des Césars. Oui, ce héros ami de la solide gloire , Par ses exploits et par ses mœurs, Doit autant vivre dans vos cœurs, Que ses triomphes dans l'histoire.
Page 135 - ... la bergère Amaryllis. Son appétit égalait sa force ; car, dans un seul repas , il mangea quatrevingt gâteaux. EGUIARA (Jean-Joseph de Eguiara et Eguren), né au Mexique, chan.