Œuvres complètes de Rollin, Volume 2F. Didot, 1821 - History, Ancient |
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Charles Rollin. des sujets un respect plus marqué et une soumission plus entière . A l'égard de la Grèce , il semble qu'un souffle de liberté et un esprit républicain s'étaient répandus dans tout le pays , et avaient inspiré presqu'à ...
Charles Rollin. des sujets un respect plus marqué et une soumission plus entière . A l'égard de la Grèce , il semble qu'un souffle de liberté et un esprit républicain s'étaient répandus dans tout le pays , et avaient inspiré presqu'à ...
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... l'une en - deçà du Gange , renfermée entre ce fleuve et l'Inde , ce qui 1 Cette description est fort in- complète . Je me suis contenté de faire un petit nombre d'observations sur des inexactitudes palpables , et de rectifier l ...
... l'une en - deçà du Gange , renfermée entre ce fleuve et l'Inde , ce qui 1 Cette description est fort in- complète . Je me suis contenté de faire un petit nombre d'observations sur des inexactitudes palpables , et de rectifier l ...
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... l'un des plus puissants empires du monde . Les auteurs se par- tagent en deux sentiments principaux sur le temps qu'il a subsisté . Les uns , comme Diodore de Sicile , lui donnent quatorze cents ans de durée ; les autres ne lui en ...
... l'un des plus puissants empires du monde . Les auteurs se par- tagent en deux sentiments principaux sur le temps qu'il a subsisté . Les uns , comme Diodore de Sicile , lui donnent quatorze cents ans de durée ; les autres ne lui en ...
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... une ville superbe , qu'il appela Ninive , du nom de son fils Ninus , pour immortaliser par là sa mémoire . Ce fils , à ... l'un de l'autre , quoiqu'ils soient assez éloignés par rapport au temps où ils ont vécu , afin que nous vissions ...
... une ville superbe , qu'il appela Ninive , du nom de son fils Ninus , pour immortaliser par là sa mémoire . Ce fils , à ... l'un de l'autre , quoiqu'ils soient assez éloignés par rapport au temps où ils ont vécu , afin que nous vissions ...
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... l'un est l'amour de soi même et des biens temporels , porté jusqu'au mépri de Dieu ; et l'autre est l'amour de Dieu , porté jusqu'au , mépris de soi - même . NINUS . J'ai déja remarqué que la plupart des au teurs profanes le regardent ...
... l'un est l'amour de soi même et des biens temporels , porté jusqu'au mépri de Dieu ; et l'autre est l'amour de Dieu , porté jusqu'au , mépris de soi - même . NINUS . J'ai déja remarqué que la plupart des au teurs profanes le regardent ...
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Common terms and phrases
anciens appelé armée assez Assyriens Astyage Athènes Athéniens avaient ayant Babylone Babyloniens bataille c'était Cambyse cavalerie cent chariots chevaux chose citoyens combat courage Crésus Ctésias Cyaxare Cyrop Cyrus d'autres d'or Daniel Darius déja Déjoce dessein devait Dieu dieux Diod donner Ecbatane Égypte empire enfants ennemis Ésope établit faisait fils fût gouvernement Grecs guerre Herod Hérodote Hist hommes j'ai justice l'armée l'Asie l'Écriture l'Égypte l'empire l'histoire Lacédémone Lacédémoniens laissa lieu lois Lycurgue mages maître Mèdes ment mer Égée Messénie mille mort n'avait n'était Nabuchodonosor nation Nemrod Ninive nombre officiers parler passer pays Péloponnèse père Perses personne peuples Pisistrate Platon Plin Plut Plutarque poëte porter pour-lors pouvait premier prince prophète règne reste rien rois royaume s'était sages sagesse secours seigneurs serait seul Smerdis soin soldats Solon songe sorte Sparte Strab Strabon sujets sur-tout talents temple terre trône troupes trouve tyran Xenoph Xénophon Xerxès καὶ
Popular passages
Page 443 - C'est le lien de la vie civile, la clef des sciences, l'organe de la vérité et de la raison. Par elle on bâtit les villes et on les police; on instruit; on persuade; on règne dans les assemblées; on s'acquitte du premier de tous les devoirs, qui est de louer les dieux.
Page 88 - ... siècle , et ne parlant jamais de l'abondance de ses richesses et de la magnificence de son palais qu'avec des termes et des sentiments d'admiration et d'extase , parce qu'ils savaient que c'était là un moyen sûr de lui plaire et d'avoir ses bonnes graces : car la flatterie n'est autre chose qu'un commerce de mensonge , fondé d'un côté sur l'intérêt, et de l'autre sur la vanité. Le flatteur veut s'avancer, et faire fortune: le prince veut être loué et admiré, parce qu'il est son premier...
Page 443 - C'est la mère de tous les débats, la nourrice des procès, la source des divisions et des guerres. Si l'on dit qu'elle est l'organe de la vérité, c'est aussi celui de l'erreur, et, qui pis est, de la calomnie. Par elle on détruit les villes, on persuade de méchantes choses. Si d'un côté elle loue les dieux, de l'autre elle profère des blasphèmes contre leur puissance.
Page 53 - Nébucadnetsar avait vu une grande statue, dont la tête était d'or, la poitrine et les bras d'argent, le ventre et les cuisses d'airain, les jambes de fer...
Page 294 - ... le secret de battre l'or, et de dorer par des couches légères le bois et les autres matières ; 3° de jeter en fonte les métaux d'airain, d'argent, d'or; d'en faire toutes sortes de figures, en imitant parfaitement la nature; d'exprimer les différents objets , et d'en faire toutes sortes d'ornements et de vaisseaux ; 4°...
Page 103 - Astyage, son grand-père, à qui tout le bien qu'il entendait dire de ce jeune prince, avait donné une grande envie de le voir. Il trouva dans cette cour des mœurs bien différentes de celles de son pays. Le faste, le luxe, la magnificence y regnaient partout.
Page 200 - du ciel m'a donné tous les royaumes de la terre, et « m'a commandé de lui bâtir une maison dans la ville « de Jérusalem , qui est en Judée.
Page 58 - N'est-ce pas là cette grande Babylone, dont j'ai fait le siége de mon royaume et que j'ai bâtie dans la grandeur de ma puissance et dans l'éclat de ma gloire...
Page 186 - Son grand talent était d'étudier le caractère des hommes , afin de marquer à chaque personne sa place; de donner de l'autorité à proportion du mérite ; de faire concourir le bien particulier au bien public, et de conduire tout l'état par un mouvement si réglé, que tout se liât et s'entretînt, et que la force des uns ne fût employée que pour l'utilité des autres.
Page 394 - Grèce ait eu des lois écrites. Il en publia dont l'extrême rigueur , favorable par avance à la doctrine des stoïciens , punissait de mort la plus légère faute comme le plus énorme forfait. Les lois de Dracon , écrites , selon Démade 1 , non avec de l'encre, mais avec du sang, eurent le sort des choses violentes.