Œuvres complètes de Rollin, Volume 2F. Didot, 1821 - History, Ancient |
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... empire des Assyriens , tant de Ninive que de Babylone , du royaume des Mèdes et de celui des Lydiens . CHAPITRE PREMIER . PREMIER EMPIRE DES ASSYRIENS . § I. Durée de cet empire . L'EMPIRE des Assyriens a été sans contredit l'un des ...
... empire des Assyriens , tant de Ninive que de Babylone , du royaume des Mèdes et de celui des Lydiens . CHAPITRE PREMIER . PREMIER EMPIRE DES ASSYRIENS . § I. Durée de cet empire . L'EMPIRE des Assyriens a été sans contredit l'un des ...
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... empire des Assyriens la même antiquité qu'à la ville de Baby- lone , qui en était la capitale . Or , l'Écriture sainte nous apprend que celle - ci fut bâtie celle - ci fut bâtie par Nemrod , qui fut certainement un grand conquérant , et ...
... empire des Assyriens la même antiquité qu'à la ville de Baby- lone , qui en était la capitale . Or , l'Écriture sainte nous apprend que celle - ci fut bâtie celle - ci fut bâtie par Nemrod , qui fut certainement un grand conquérant , et ...
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... empire des Assy- riens , qui subsista avec plus ou moins d'éclat et d'étendue pendant plus de 1450 ans , depuis lui jusqu'à Sardanapale , qui en fut le dernier roi , c'est - à- dire , depuis l'an du monde 1800 jusqu'à l'an 3257 . § II ...
... empire des Assy- riens , qui subsista avec plus ou moins d'éclat et d'étendue pendant plus de 1450 ans , depuis lui jusqu'à Sardanapale , qui en fut le dernier roi , c'est - à- dire , depuis l'an du monde 1800 jusqu'à l'an 3257 . § II ...
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... empire ; mais ne l'y bornant pas : fuit principium regni ejus Babylon . Les autres villes que nomme ici l'Écriture étaient dans la terre de Sennaar , qui est certainement la province dont Babylone devint la métropole . De ce pays , il ...
... empire ; mais ne l'y bornant pas : fuit principium regni ejus Babylon . Les autres villes que nomme ici l'Écriture étaient dans la terre de Sennaar , qui est certainement la province dont Babylone devint la métropole . De ce pays , il ...
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... empire des Assyriens , et , par cette raison , lui attribuent une grande partie des actions de Nemrod , ou Bélus son père . Dans le dessein qu'il avait de porter au loin ses con- quêtes , il commença par se préparer des troupes et des ...
... empire des Assyriens , et , par cette raison , lui attribuent une grande partie des actions de Nemrod , ou Bélus son père . Dans le dessein qu'il avait de porter au loin ses con- quêtes , il commença par se préparer des troupes et des ...
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Common terms and phrases
anciens appelé armée assez Assyriens Astyage Athènes Athéniens avaient ayant Babylone Babyloniens bataille c'était Cambyse cavalerie cent chariots chevaux chose citoyens combat courage Crésus Ctésias Cyaxare Cyrop Cyrus d'autres d'or Daniel Darius déja Déjoce dessein devait Dieu dieux Diod donner Ecbatane Égypte empire enfants ennemis Ésope établit faisait fils fût gouvernement Grecs guerre Herod Hérodote Hist hommes j'ai justice l'armée l'Asie l'Écriture l'Égypte l'empire l'histoire Lacédémone Lacédémoniens laissa lieu lois Lycurgue mages maître Mèdes ment mer Égée Messénie mille mort n'avait n'était Nabuchodonosor nation Nemrod Ninive nombre officiers parler passer pays Péloponnèse père Perses personne peuples Pisistrate Platon Plin Plut Plutarque poëte porter pour-lors pouvait premier prince prophète règne reste rien rois royaume s'était sages sagesse secours seigneurs serait seul Smerdis soin soldats Solon songe sorte Sparte Strab Strabon sujets sur-tout talents temple terre trône troupes trouve tyran Xenoph Xénophon Xerxès καὶ
Popular passages
Page 443 - C'est le lien de la vie civile, la clef des sciences, l'organe de la vérité et de la raison. Par elle on bâtit les villes et on les police; on instruit; on persuade; on règne dans les assemblées; on s'acquitte du premier de tous les devoirs, qui est de louer les dieux.
Page 88 - ... siècle , et ne parlant jamais de l'abondance de ses richesses et de la magnificence de son palais qu'avec des termes et des sentiments d'admiration et d'extase , parce qu'ils savaient que c'était là un moyen sûr de lui plaire et d'avoir ses bonnes graces : car la flatterie n'est autre chose qu'un commerce de mensonge , fondé d'un côté sur l'intérêt, et de l'autre sur la vanité. Le flatteur veut s'avancer, et faire fortune: le prince veut être loué et admiré, parce qu'il est son premier...
Page 443 - C'est la mère de tous les débats, la nourrice des procès, la source des divisions et des guerres. Si l'on dit qu'elle est l'organe de la vérité, c'est aussi celui de l'erreur, et, qui pis est, de la calomnie. Par elle on détruit les villes, on persuade de méchantes choses. Si d'un côté elle loue les dieux, de l'autre elle profère des blasphèmes contre leur puissance.
Page 53 - Nébucadnetsar avait vu une grande statue, dont la tête était d'or, la poitrine et les bras d'argent, le ventre et les cuisses d'airain, les jambes de fer...
Page 294 - ... le secret de battre l'or, et de dorer par des couches légères le bois et les autres matières ; 3° de jeter en fonte les métaux d'airain, d'argent, d'or; d'en faire toutes sortes de figures, en imitant parfaitement la nature; d'exprimer les différents objets , et d'en faire toutes sortes d'ornements et de vaisseaux ; 4°...
Page 103 - Astyage, son grand-père, à qui tout le bien qu'il entendait dire de ce jeune prince, avait donné une grande envie de le voir. Il trouva dans cette cour des mœurs bien différentes de celles de son pays. Le faste, le luxe, la magnificence y regnaient partout.
Page 200 - du ciel m'a donné tous les royaumes de la terre, et « m'a commandé de lui bâtir une maison dans la ville « de Jérusalem , qui est en Judée.
Page 58 - N'est-ce pas là cette grande Babylone, dont j'ai fait le siége de mon royaume et que j'ai bâtie dans la grandeur de ma puissance et dans l'éclat de ma gloire...
Page 186 - Son grand talent était d'étudier le caractère des hommes , afin de marquer à chaque personne sa place; de donner de l'autorité à proportion du mérite ; de faire concourir le bien particulier au bien public, et de conduire tout l'état par un mouvement si réglé, que tout se liât et s'entretînt, et que la force des uns ne fût employée que pour l'utilité des autres.
Page 394 - Grèce ait eu des lois écrites. Il en publia dont l'extrême rigueur , favorable par avance à la doctrine des stoïciens , punissait de mort la plus légère faute comme le plus énorme forfait. Les lois de Dracon , écrites , selon Démade 1 , non avec de l'encre, mais avec du sang, eurent le sort des choses violentes.