| Aristoteles, Horace, Marco Girolamo Vida, Nicolas Boileau Despréaux - Aesthetics - 1771 - 820 pages
...esprit n'admet point un pompeux barbarisme , 1 6 o Ni d'un vers empoulé l'orgueilleux solécisme. ' Sans la langue , en un mot , l'Auteur le plus divin...toujours , quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. TRAVAILLEZ à loisir, quelque ordre qui vous presse, Et ne vous piquez point d'une folle vitesse. 1... | |
| Aristoteles - 1771 - 354 pages
...Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme," 160 Ni d'un vers empoulé l'orgueilleux solecisme. Sans la langue , en un mot , l'Auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse , un méchant ecrivain. TRAVAILLEZ à loisir, quelque ordre qui vous presse. Et ne vous piquez point d'une folle... | |
| Charles Batteux - Literature - 1771 - 392 pages
...Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme, lôo Ni d'un vers empoulé l'orgueilleux solecisme. Sans la langue , en un mot, l'Auteur le plus divin Est toujours , quoi qu'il fasse , un méchant ecrivain. TRAVAILLEZ à loisir, quelque ordre qui vous presse. Et ne vous piquez point d'une folle... | |
| Voltaire - 1775 - 430 pages
...pureté continue du ftile. Nous répétions fouvent enfemble ces deux vers de Boileau , qui doivent être la règle de tout homme qui parle ou qui écrit. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Eft toujours quoi qu'il fafle un méchant écrivain. Et nous entendions par les défauts du langage... | |
| Voltaire - 1775 - 474 pages
...pureté continue du Itile. Nous répétions fouvent enfemble ces deux vers de Boileau , qui doivent être la règle de tout homme qui parle ou qui écrit. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Eft toujours quoi qu'il fafle un méchant écrivain. Et nous entendions par les défauts du langage... | |
| Voltaire - 1775 - 408 pages
...du ftile. Nous répétions fouvent erifernble ces deux vers de Boileau , qui doivent être la Tegle de tout homme qui parle ou qui écrit. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin f& toujours quoi qu'il fafle un méchant écrivain. Et nous entendions par les défauts du lan. gage... | |
| Voltaire - 1780 - 396 pages
...continue du ftyle. Nous répétions fouvent enfemble ces deux vers de Boileau , qui doivent être la regle de tout homme qui parle ou qui écrit : Sans la langue , en un mot, l'auteur le plus divin Eft toujours , quoi qu'il fafle , un méchant écrivain. Et nous entendions parles défauts du langage,... | |
| Voltaire - 1784 - 416 pages
...continue du ftyle. . Nous répétions fouvent enfemble ces deux vers de Boileau , qui doivent être la règle de tout homme qui parle ou qui écrit : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Eft toujours , quoi qu'il faffe , un méchant écrivain. / fe nous entendions par les défauts du langage... | |
| Voltaire - 1785 - 456 pages
...pureté continue du ftyle. Nous répétions fouvent enfemble ces deux vers de Boileau , qui doivent être la règle de tout homme qui parle ou qui écrit : Sans la langue, en un mot , l'auteur le plus divin Eft toujours , qupi qu'il fade , un méchant écrivain, et nous entendions par les défauts du langage... | |
| Voltaire - 1785 - 428 pages
...pureté continue du ftyle. Nous répétions fouvent enfemble ces deux vers de Boileaa, qui doivent être la règle de tout homme qui parle ou qui écrit : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Elf toujours, quoi qu'il fa ffe, un méchant écrivain ; et nous entendions par les défauts du langage... | |
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