Histoire philosophique de l'académie de Prusse, depuis Leibniz jusqu'à Schelling, particulièrement sous Frédéric-Le-Grand, Volume 1M. Ducloux, 1850 - Philosophy |
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Page xiv
... guerres civiles , durant le règne de Cromwell , des efforts patients que soutinrent les Wallis et les Boyle , les Wilkins et les Oldenburgh , pour organiser la 1 Fontenelle ( Éloge de Marsighli ) appelle cet écrit le songe d'un savant ...
... guerres civiles , durant le règne de Cromwell , des efforts patients que soutinrent les Wallis et les Boyle , les Wilkins et les Oldenburgh , pour organiser la 1 Fontenelle ( Éloge de Marsighli ) appelle cet écrit le songe d'un savant ...
Page xxi
... guerre longue et horrible qui ensanglanta l'Allemagne , entre 1618 et 1648 , dut anéantir ces créations de la Renais → sance ou de la Réforme . Les académies qui s'élevèrent au XVIIe siècle furent postérieures à la paix de Westphalie ...
... guerre longue et horrible qui ensanglanta l'Allemagne , entre 1618 et 1648 , dut anéantir ces créations de la Renais → sance ou de la Réforme . Les académies qui s'élevèrent au XVIIe siècle furent postérieures à la paix de Westphalie ...
Page xxviii
... guerre avec l'An- gleterre , ainsi qu'avec la Prusse . Mais au - dessus des hostilités nationales flotte l'empire des sciences et des arts , où ces hos- tilités n'atteignent point , où des guerriers ennemis se tendent une main ...
... guerre avec l'An- gleterre , ainsi qu'avec la Prusse . Mais au - dessus des hostilités nationales flotte l'empire des sciences et des arts , où ces hos- tilités n'atteignent point , où des guerriers ennemis se tendent une main ...
Page xxix
... guerre de Sept - ans contre la Russie , contre la France , avait accueilli les hommages que lui décernaient Saint - Pétersbourg et Pa- ris , réunis , disait d'Alembert , pour le combattre et l'admi- rer . La civilisation pacifique ...
... guerre de Sept - ans contre la Russie , contre la France , avait accueilli les hommages que lui décernaient Saint - Pétersbourg et Pa- ris , réunis , disait d'Alembert , pour le combattre et l'admi- rer . La civilisation pacifique ...
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... guerres à venir . La langue latine devait être l'idiome de l'université bran- debourgeoise1 . Il est permis de croire qu'en popularisant la langue française , les réfugiés travaillèrent au discrédit du latin , et qu'en servant l ...
... guerres à venir . La langue latine devait être l'idiome de l'université bran- debourgeoise1 . Il est permis de croire qu'en popularisant la langue française , les réfugiés travaillèrent au discrédit du latin , et qu'en servant l ...
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Common terms and phrases
académiciens académie allemand Ancillon avaient Bacon Beausobre Berlin bonheur Brandebourg c'est-à-dire Charles Ancillon choses CHRISTIAN WOLF classe de philosophie Comp compagnie d'Alembert d'Argens déric Descartes Diderot Dieu disciple Discours dit-il doctrine Éloge esprit Fontenelle Formey française Fré Frédéric Ier Frédéric-Guillaume Ier gens goût guerre de Sept-ans Gundling Halle Histoire hommes humain Isaac de Beausobre Jablonski Jaucourt Jordan Kant Koenig l'Aca l'Acad l'Académie de Berlin l'Académie de Prusse l'Allemagne l'âme l'esprit l'Essai l'Europe l'histoire l'homme l'univers Lacroze langue Leibniz lettres littéraire Locke lois Louis XIV madame du Châtelet mathématiques Maupertuis Mélanchthon Mémoires de Brandebourg ment Mérian mérite métaphysique ministre morale nation nature non-seulement ouvrages pensée philos philosophie physique poëte politique Potsdam premier président prince principe Printzen Protecteur prussienne raison règne religion Rheinsberg s'était sage savants scientifique sentiment seul sophie Sophie-Charlotte sorte Souvenirs d'un citoyen spéculative système teur tion titre travaux vérité Voltaire Voyez Wolf wolfienne XVIIIe siècle
Popular passages
Page xvii - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire...
Page 356 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 263 - Quoique j'aie prévu , écrit-il , les difficultés qu'il ya pour « un Allemand d'écrire dans une langue étrangère, je me suis « pourtant déterminé en faveur du français , à cause que c'est la « plus polie et la plus répandue en Europe , et qu'elle paraît en « quelque façon fixée par les bons auteurs du règne de Louis XIV.
Page xvi - Descartes, ce mortel dont on eût fait un dieu Chez les païens, et qui tient le milieu Entre l'homme et l'esprit ; comme entre l'huître et l'homme...
Page 135 - S'il est vrai de dire qu'on doit » l'ombre du chêne qui nous couvre à la vertu du » gland qui l'a produit, toute la terre conviendra » qu'on trouve dans la vie laborieuse de ce prince » et dans les mesures qu'il prit avec sagesse, les » principes de la prospérité dont la maison royale a > joui après sa mort.
Page 143 - J'ai fait acquisition de Wolff, de Maupertuis, d'Algarotti. J'attends la réponse de S'Gravesande, de Vaucanson, et d'Euler. J'ai établi un nouveau collége pour le commerce et les manufactures; j'engage des peintres et des sculpteurs; et je pars pour la Prusse, pour y recevoir l'hommage, etc., sans la sainte ampoule, et sans les cérémonies inutiles et frivoles que l'ignorance et la superstition ont établies, et que la coutume favorise.
Page 259 - Majesté, qui ont étonné le siècle présent , seront en admiration à ceux de l'avenir, j'estimai que les glorieux succès qui lui sont arrivés, m'obligeaient à lui faire son histoire, tant pour empêcher que beaucoup de circonstances , dignes de ne mourir jamais dans la mémoire des hommes , ne fussent ensevelies dans l'oubli...
Page 265 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 160 - L'émeraude, l'azur, le pourpre, le rubis, Sont l'immortel tissu dont brillent ses habits^ Chacun de ses rayons, dans sa substance pure, Porte en soi les couleurs dont se peint la nature; Et, confondus ensemble, ils éclairent nos yeux, IIs animent le monde, ils emplissent les cieux.
Page 253 - L'histoire est l'école des princes; c'est à eux de s'instruire des fautes des siècles passés, pour les éviter, et pour apprendre qu'il faut se former un système et le suivre pied à pied, et que celui qui a le mieux calculé sa conduite est le seul qui puisse l'emporter sur ceux qui agissent moins conséquemment que lui.