Essai sur l'histoire de la philosophie en France: au XVIIe siècle, Volume 1 |
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... cité , sa spiritualité , sa moralité et son immortalité ; et comment encore ils conviennent , au sujet de ce monde , de son état présent , de son histoire et de sa destinée ? Sans doute il y a des sectes , soit religieuses , soit ...
... cité , sa spiritualité , sa moralité et son immortalité ; et comment encore ils conviennent , au sujet de ce monde , de son état présent , de son histoire et de sa destinée ? Sans doute il y a des sectes , soit religieuses , soit ...
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... cités par exemple , Spinoza , Malebranche , Locke , Bayle et Leibnitz ; 4o Apprécier particulièrement l'influence du système de Descartes sur celui de Spinoza et celui de Malebranche ; 5o Déterminer le rôle et la place de Leibnitz dans ...
... cités par exemple , Spinoza , Malebranche , Locke , Bayle et Leibnitz ; 4o Apprécier particulièrement l'influence du système de Descartes sur celui de Spinoza et celui de Malebranche ; 5o Déterminer le rôle et la place de Leibnitz dans ...
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... cité de tout le monde ; mais qu'il n'en ressort pas moins que , loin de porter atteinte à la croyance , il l'affermit plutôt et lui donne son vrai fond . » > Quant à Gassendi il ne traite le doute de Descartes , ni comme Hobbes ni comme ...
... cité de tout le monde ; mais qu'il n'en ressort pas moins que , loin de porter atteinte à la croyance , il l'affermit plutôt et lui donne son vrai fond . » > Quant à Gassendi il ne traite le doute de Descartes , ni comme Hobbes ni comme ...
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... qui ne pouvaient se concilier avec cette ruse coupable , et cette espèce d'envie que leur prête Descartes . Lui- même , au reste , et précisément dans l'endroit d'où j'ai tiré le dernier passage cité ( Quatrième règle pour DESCARTES . 125.
... qui ne pouvaient se concilier avec cette ruse coupable , et cette espèce d'envie que leur prête Descartes . Lui- même , au reste , et précisément dans l'endroit d'où j'ai tiré le dernier passage cité ( Quatrième règle pour DESCARTES . 125.
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au XVIIe siècle Philibert Damiron. j'ai tiré le dernier passage cité ( Quatrième règle pour la direction de l'esprit , pag . 221 ) , exprime d'au- tres sentiments , et indirectement se réfute , lorsqu'il dit : « Je me persuade que ...
au XVIIe siècle Philibert Damiron. j'ai tiré le dernier passage cité ( Quatrième règle pour la direction de l'esprit , pag . 221 ) , exprime d'au- tres sentiments , et indirectement se réfute , lorsqu'il dit : « Je me persuade que ...
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Common terms and phrases
affirmer âme Aristote assez avons Bacon Bernier Bossuet carac cartes cartésianisme cause causes finales clairement cogito conatus concevons connaissance conséquent considérer corps criterium d'abord Descartes développement Dieu dire disciples distinction doctrine doute effet elle-même ensuite Epicuri esprit explication faculté fond formes substantielles Gassendi général Henri Le Roy Hobbes Homine idées intelli j'ai juger l'âme l'amour l'auteur l'autre l'entendement l'espace l'esprit l'est l'être l'évidence l'existence l'histoire l'homme l'idée l'infini l'intelligence l'objet l'une Leibnitz Leviathan liberté Locke logique lui-même Malebranche manière matière Méditations mémoire ment méthode mieux monde mouvement n'en nature objet organum parfait parler particulier passe passions perfection phantaisie phie philoso philosophie physique plutôt premier principe qu'une quæ question quod raison rapport religion remarque reste Rose-Croix s'il science scolastique sens sensation sensualisme sentiment serait seulement simple sorte Spinoza substance suite sujet surtout syllogisme Syntagma système termes Théodicée théorie théorie des idées tion traite vérité voilà volonté vrai
Popular passages
Page 18 - Ainsi toute la Philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la Métaphysique, le tronc est la Physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page 144 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 222 - ... de façon que cette indifférence que je sens lorsque je ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids d'aucune raison, est le plus bas degré de la liberté, et fait plutôt paraître un défaut dans la connaissance...
Page 237 - Maintenant c'est une chose manifeste par la lumière naturelle qu'il doit y avoir pour le moins autant de réalité dans la cause efficiente et totale que dans son effet: Car d'où est-ce que l'effet peut tirer sa réalité sinon de sa cause?
Page 237 - De façon qu'il restait qu'elle eût été mise en moi par une nature qui fût véritablement plus parfaite que je n'étais, et même qui eût en soi toutes les perfections dont je pouvais avoir quelque idée, c'est-à-dire, pour m'expliquer en un mot, qui fût...
Page 127 - Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 115 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.
Page 208 - Je ne remarque en nous qu'une seule chose qui nous puisse donner juste raison de nous estimer, à savoir l'usage de notre libre arbitre, et l'empire que nous avons sur nos volontés; car il n'ya que les seules actions qui dépendent de ce libre arbitre pour lesquelles nous puissions avec raison être loués ou blâmés; et il nous rend en quelque façon semblables à Dieu en nous faisant maîtres de nous-mêmes, pourvu que nous ne perdions point par lâcheté les droits qu'il nous donne.
Page 187 - Et je ne me dois pas imaginer que je ne conçois pas l'infini par une véritable idée, mais seulement par la négation de ce qui est fini, de même que je comprends le repos et les ténèbres par la négation du mouvement et de la lumière...
Page 420 - Qu'est-ce donc que le temps? Si personne ne me le demande, je le sais ; mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus.