La littérature franc̜aise contemporaine: recueil en prose et en vers de morceaux empruntés aux écrivains les plus renommés du XIXe siècle ; avec des notices biographiques et littéraires, tirées des ouvrages de P. Poitevin, M. Roche, L. Grangier, G. Vapereau, etc., etc |
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... cheval anglais de ton frère , s'il imaginait de sauter sur mes genoux ou de prendre le café avec moi . L'erreur de certaines femmes est de s'imaginer que , pour être distinguées , elles doivent l'être à la manière des hommes . Il n'y a ...
... cheval anglais de ton frère , s'il imaginait de sauter sur mes genoux ou de prendre le café avec moi . L'erreur de certaines femmes est de s'imaginer que , pour être distinguées , elles doivent l'être à la manière des hommes . Il n'y a ...
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... cheval , une épée et un seul Dieu . " Nathan est un ami des hommes ; mais la défaveur dans laquelle le nom de juif l'a fait vivre au milieu de la société mêle une sorte de dédain pour la nature humaine à l'expression de sa bonté ...
... cheval , une épée et un seul Dieu . " Nathan est un ami des hommes ; mais la défaveur dans laquelle le nom de juif l'a fait vivre au milieu de la société mêle une sorte de dédain pour la nature humaine à l'expression de sa bonté ...
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... cheval d'Orso . " Mon frère est mort ! " s'écria Co- lomba d'une voix déchirante ... Tous coururent à la porte de la maison . Avant que Celina pût sauter à bas de sa monture , elle était enlevée comme une plume par Co- lomba , qui la ...
... cheval d'Orso . " Mon frère est mort ! " s'écria Co- lomba d'une voix déchirante ... Tous coururent à la porte de la maison . Avant que Celina pût sauter à bas de sa monture , elle était enlevée comme une plume par Co- lomba , qui la ...
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... cheval dans la forêt de Compiègne avec l'habit religieux , et vous le trouvez tout simple . . Certainement un prêtre peut monter à cheval pour l'exercice de son ministère ; il y a • des pays de montagnes où c'est la seule manière de.
... cheval dans la forêt de Compiègne avec l'habit religieux , et vous le trouvez tout simple . . Certainement un prêtre peut monter à cheval pour l'exercice de son ministère ; il y a • des pays de montagnes où c'est la seule manière de.
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... cheval donne de l'orgueil ; il est une habitude de luxe ; croyez - vous que Jésus - Christ soit bien aise de vous voir à cheval , lui qui est entré à Jérusalem sur un âne ? Ce n'est pas précisément qu'un ecclésiastique ne puisse se ...
... cheval donne de l'orgueil ; il est une habitude de luxe ; croyez - vous que Jésus - Christ soit bien aise de vous voir à cheval , lui qui est entré à Jérusalem sur un âne ? Ce n'est pas précisément qu'un ecclésiastique ne puisse se ...
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Common terms and phrases
Albemarle ALEXANDRE GUIRAUD âme beau Bichonne Biscotin Blanche-Nef Brisquet bruit c'était calme chant Charlotte Charlotte Corday charme Chateaubriand cheval chien chose ciel cœur Colomba comédie comtes de Shrewsbury Corday coup cousin devant Dieu dire dit-il douce DUCHESSE écrivain ÉMILE SOUVESTRE enfants EUSTACHE LE SUEUR femme fille fleurs Fortunato front génie genoux George Sand Gianetto heures heureux Histoire homme humaine j'ai jamais JEAN REBOUL jeune jour l'Académie française l'âme l'enfant l'histoire l'homme laisse littéraires littérature livre madame madame de Staël madame Récamier main maison maître Marat Mattéo melon ment mère Mme DE FONTALBE Molière monde morale mort nuit œuvres ouvrages passe pauvre pensée père petits peuple philosophie pieds pleurs poëme poésie poëte poétique porte premier publié qu'un Reboul regard REINE reste rêve rien romans Saint-Marc Girardin sais scène semble sentiment sera seul siècle soir soleil sorte style talent terre tête tion tombe vent voilà voix yeux Zambo
Popular passages
Page 69 - Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos ; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : "O temps, suspends ton vol! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices 1 Des plus beaux de nos jours...
Page 42 - Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné. Est mort dans une île déserte. Long-temps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru : L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère ! Fut bien amère ! Dieu vous bénira, grand.mère ; Dieu vous bénira.
Page 31 - Mon camarade y grimpa seul et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi déterminé à veiller, je fis bon feu et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement...
Page 32 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long...
Page 70 - Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Page 42 - Quel beau jour pour vous ! Mais quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte ; J'ouvre, bon Dieu! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'asseoit où me voilà, S'écriant : oh ! quelle guerre ! Oh ! quelle guerre ! — Il s'est assis là, grand'mère ! Il s'est assis là ! J'ai faim, dit-il, et bien vite Je sers piquette et pain bis.
Page 69 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?
Page 46 - Et quand il fut retourné à son travail, de temps en temps il levait les yeux et regardait les oiseaux qui allaient et venaient, portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà qu'au moment où l'une des mères rentrait avec sa becquée, un vautour la saisit, l'enlève, et la pauvre mère, se débattant vainement sous sa serre, jetait des cris perçants. A cette vue, l'homme qui travaillait sentit son âme plus troublée qu'auparavant: car, pensait-il, la mort de la mère c'est la mort des enfants.
Page 112 - J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
Page 153 - Afin que l'indigent que glacent les tempêtes, Que le pauvre qui souffre à côté de vos fêtes, Au seuil de vos palais fixe un œil moins jaloux. Donnez ! pour être aimés du Dieu qui se fit homme, Pour que le méchant même en s'inclinant vous nomme...