Histoire de France, Volume 1Hachette, 1868 - France |
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Alpes Anglais armée armes avaient barbares bataille Bourbon bourgeois Bretagne Burgondes c'était César Charlemagne Charles le Chauve Charles VII château chef chevaliers Chilpéric choses Clotaire Clovis comte concile conquête couronne croisade d'Angleterre d'armes d'Orléans dauphin devant Dieu donna duc de Bourgogne duché Ébroïn Édouard Édouard III églises ennemis états évêques féodalité fiefs fils Flandre François Ier frère Gaule Gaulois gens Germanie guerre Guyenne Henri hommes Hugues Capet Jean Jean sans Peur Jeanne jeta jour justice l'armée l'Église l'empereur l'empire l'évêque l'Italie laissa Leudaste leudes Loire Louis XI main maison maître ment mort moyen âge n'avait n'était nobles noblesse nord Normandie ordonnance paix pape passer pays Pépin père peuple Philippe Auguste Philippe le Bel porte premier prince prit provinces règne Reims rent reste Rhin Rhône Robert rois romain Rome Rouen royale royaume s'était saint Louis seigneurs serfs seul siècle sire soldats sorte terre Thierry tion tour trouva vassaux villes
Popular passages
Page 693 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur; ce n'est plus thym, ni marjolaine...
Page 164 - ... délibérations pût être mis sous les yeux du grand prince qui alors, avec la sagesse qu'il avait reçue de Dieu, adoptait une résolution à laquelle tous obéissaient. Les choses se passaient ainsi pour un, deux capitulaires , ou un plus grand nombre, jusqu'à ce qu'avec l'aide de Dieu toutes les nécessités du temps eussent été réglées.
Page 628 - qu'il avoit grand pitié de lui , le voyant en » cet estât , pour avoir esté si vertueux chevalier. » Le capitaine Bayard lui fit réponse, monsieur, » il n'ya point de pitié en moi, car je meurs » en homme de bien. Mais j'ai pitié de vous, » de vous voir servir contre votre prince, et » votre patrie, et votre serment.
Page 108 - Galeswinthe, triste mais résignée, continua saroute vers le Nord. Son escorte, composée de seigneurs et de guerriers des deux nations, Goths et Franks, traversa les Pyrénées, puis les villes de Narbonne et de Carcassonne, sans sortir du royaume des Goths, qui s'étendait jusque-là ; ensuite elle se dirigea, par la route de Poitiers et de Tours, vers la cité de Rouen, où devait avoir lieu la célébration du mariage. Aux portes de chaque grande ville, le cortège faisait...
Page 474 - Croyez-vous que votre roi a bien fait de tuer ou faire tuer monseigneur de Bourgogne ? — Ce fut grand dommage pour le royaume de France. Mais, quelque chose qu'il y eût entre eux, Dieu m'a envoyée au secours du roi de France '. 231 — Jehanne, savez-vous par révélation si vous échapperez ? — Cela ne touche point votre procès.
Page 474 - N'avez-vous pas dit que ces étendards leur porteraient bonheur? — Non, je disais seulement : Entrez hardiment parmi les Anglais, et j'y entrais moi-même. — Mais pourquoi cet étendard fut-il porté en l'église de Reims, au sacre, plutôt que ceux des autres capitaines?... — II avait été à la peine, c'était bien raison qu'il fût à l'honneur (2).
Page 566 - Comme l'histoire le raconte, et comme je l'ai appris de mes pères, dans l'origine le peuple souverain créa des rois par son suffrage, et il préféra particulièrement les hommes qui surpassaient les autres en vertu et en habileté. En effet, chaque peuple a élu un roi pour son utilité. Oui, les princes sont tels, non afin de tirer un profit du peuple et de s'enrichir à ses dépens, mais pour, oubliant leurs intérêts, l'enrichir et le conduire du bien au mieux.
Page 108 - ... un mille de plus. Il fallut se résigner à une séparation inévitable, et de nouvelles scènes de tendresse, mais plus calmes, eurent lieu entre la mère et la fille. La reine exprima, en paroles douces, sa tristesse et ses craintes maternelles.
Page 479 - Dix mille hommes pleuraient... » Quelques Anglais seuls riaient ou tâchaient de rire. Un d'eux, des plus furieux, avait juré de mettre un fagot au bûcher; elle expirait au moment où il le mit, il se trouva mal; ses camarades le menèrent à une taverne pour le faire boire et reprendre ses esprits ; mais il ne pouvait se remettre : « J'ai vu, disait-il hors de luimême, j'ai vu de sa bouche, avec le dernier soupir, s'envoler une colombe.
Page 108 - Galeswinthe, et, d'étape en étape, de journée en journée, elle se laissa entraîner à plus de cent milles de distance. Chaque jour elle disait : « C'est jusque-là que je veux aller », et, parvenue à ce terme, elle passait outre.