L'amiral de Coligny et les guerres de religion au XVIe siècle |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
L'Amiral de Coligny Et Les Guerres de Religion Au Xvie Siecle Charles Buet No preview available - 2014 |
L'Amiral de Coligny et les guerres de religion au XVIe siècle Charles Buet No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
appelé armée armes avaient avant ayant bataille bonne c'était Calvin cardinal Catherine de Médicis catholiques cause cents charge Charles Charles IX chef cheval chose civile Coligny connétable conseil coup cour crime d'autres déclara demanda dernier devant Dieu dire donner doute duc de Guise édit ennemis faisait femme fils forces formé François frère garde général gens guerre Henri Histoire homme huguenots jeune jour jugement l'amiral l'armée l'un laisser lettre liberté lieu livre Lorraine main maison maître Majesté massacre Mémoires menaces ment mère mettre mille mois mort moyen n'avait n'était Navarre nouvelle ordre paix Parlement paroles passer pendant pensée personne place Poltrot porte pouvait pouvoir premier prince de Condé pris projets propos protestants réformés reine religieuse religion reste rien royale royaume s'était s'il saint Saint-Barthélemy sang seigneur seizième siècle sentiment serait servir seulement sorte suivant sujets tenir tête tion traité trouvait tuer venait ville voulait voyant
Popular passages
Page 224 - ... opinion , quand j'écrivis « dans une dépêche suivante que j'espérais donner bientôt à Sa « Sainteté quelque bonne nouvelle, mais je ne croyais pas à la ' dixième partie de ce que je vois présentement de mes propres « yeux. » Ainsi Salviati n'était pas instruit du projet de la Saint-Barthélémy : la suite nous montrera pourquoi : c'est que le massacre des protestants fut résolu subitement.
Page 15 - On lui refuse l'entrée par trois fois. 1I ne s'arrête pas moins dans le faubourg, y rafraîchit ses cavaliers. Puis , en plein jour et à grand bruit, la cavalcade s'en va au château de la dame. Au pont-levis, tous tirent leurs arquebuses. De quoi tremblèrent les vitres des Guises, qui étaient en face, à peine séparés par une rivière. Et leurs cœurs en frémirent. Le cardinal gémit. Le petit Guise (il avait quatorze ans) dit : « Si j'avais une arquebuse, pour tirer ces vilains!...
Page 201 - ... présence de ses ennemis, acquis en vous faisant service, Huguenots qui ne veulent la guerre d'Espagne, mais celle de France, et la subversion de tous Estats, pour s'establir.
Page 184 - François, ornement de tête incommode pour s'endormir sur l'oreiller de la mort ! Le corps de Charles IX fut porté...
Page 184 - ... ses sujets huguenots, ce monarque catholique, se reprochant ses meurtres, rendant l'âme au milieu des remords en vomissant son sang, en poussant des sanglots, en versant des torrents de larmes, abandonné de tout le monde, seulement secouru et consolé par une nourrice huguenote ! N'y aurat-il pas quelque pitié pour ce monarque de vingttrois ans, né avec des talents heureux , le goût des lettres et des arts , un caractère naturellement généreux , qu'une exécrable mère...
Page 170 - Madame, dit-il, le Roi renonce à entrer dans une guerre; Dieu veuille qu'il ne lui en survienne une autre, à laquelle, sans doute, il ne lui sera pas aussi facile de renoncer (1).
Page 201 - Chally, son maistre d'hostel ; il s'affuste, il se couvre de drapeaux aux barreaux des fenestres, dispose sa fuite par une porte de derriere sur un cheval d'Espagne. Cependant les nopces du roy de Navarre et de Marguerite de France se font, mariant les deux religions ensemble.
Page 163 - Le prince a son cheval tué sous lui ; au milieu du tumulte, empêché par ses blessures, il ne peut en remonter un autre. Malgré tout, ses vaillants compagnons ne l'abandonnent pas; les gentilshommes du Poitou se distinguent par leurs prouesses. Soubise et douze d'entre eux sont pris couverts de blessures; plus de cinquante autres 4.
Page 250 - Briquemault; lequel il plaira à vostre maiesté ouyr et le croire de ce qu'il vous dira, tant de ma part que de toute ceste compagnie, qui espérons que, par vostre bon moyen et avec l'ayde de Dieu, qui marchera devant nous pour combatre pour sa querelle, l'yssue en sera si heureuse, que il sera servy par tout ce royaulme, et le roy obéy de tous ses subgectz, avec ung repos et tranquillité publique.
Page 253 - Dieu , nostre principale ayde et secours ; cognoissant en vous une vertu et assistance divine et que Dieu vous a choisie et réservée en ce temps et vous présente ceste occasion pour, par vostre moyen, redresser et restablir son pur service et abolir l'idolâtrie par toute la chrestienté et mesme en ce royaulme , comme font assez de foi vos précédentes actions et tant d