Œuvres philosophiques latines et françoises |
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Page vi
... J'ai crû que ces reflexions ne feroient pas tout à fait de pla- cées à la tête d'une collection de pieces philofophiques de ce grand homme , tirée de fes manufcrits , dont on conserve en- core beaucoup à Hannovre . C'est à ceux qui en ...
... J'ai crû que ces reflexions ne feroient pas tout à fait de pla- cées à la tête d'une collection de pieces philofophiques de ce grand homme , tirée de fes manufcrits , dont on conserve en- core beaucoup à Hannovre . C'est à ceux qui en ...
Page xii
... j'ai trouvées avec le ma- nufcrit des nouveaux Effais & dont l'une me paroit avoir eté conçue pour Mr. Hugoni , & l'autre pour Mr. Barbeyrac ; du moins il eft für , qu'il a fait retoucher le ftile de l'ouvrage par ces deux favans & on ...
... j'ai trouvées avec le ma- nufcrit des nouveaux Effais & dont l'une me paroit avoir eté conçue pour Mr. Hugoni , & l'autre pour Mr. Barbeyrac ; du moins il eft für , qu'il a fait retoucher le ftile de l'ouvrage par ces deux favans & on ...
Page xiii
... j'ai prife & c . . . . . . Je Vous demande par- don , Monfieur , de ce detail , où Vous ne Vous intereffés gueres , fi ce n'eft ,, parceque Vous étes affez obligeant pour me donner confeil làdeffus . ,, Seconde lettre de Leibnitz , qui ...
... j'ai prife & c . . . . . . Je Vous demande par- don , Monfieur , de ce detail , où Vous ne Vous intereffés gueres , fi ce n'eft ,, parceque Vous étes affez obligeant pour me donner confeil làdeffus . ,, Seconde lettre de Leibnitz , qui ...
Page xv
... j'ai taché de mon mieux de me fervir de la permiflion fusdite conformément aux vues du Miniftére , au merite de Mr. de Leibnitz & à l'attente du public . Pour cet effet là , j'ai crû en premier lieu , devoir obferver un certain choix ...
... j'ai taché de mon mieux de me fervir de la permiflion fusdite conformément aux vues du Miniftére , au merite de Mr. de Leibnitz & à l'attente du public . Pour cet effet là , j'ai crû en premier lieu , devoir obferver un certain choix ...
Page 11
... j'ai fait dans le livre même , qu'elles caufent cette inquiétude , que je mon- tre confifter en quelque chofe , qui ne differe de la douleur , que comme le petit differe du grand & qui fait pourtant fouvent nôtre defir & même nôtre ...
... j'ai fait dans le livre même , qu'elles caufent cette inquiétude , que je mon- tre confifter en quelque chofe , qui ne differe de la douleur , que comme le petit differe du grand & qui fait pourtant fouvent nôtre defir & même nôtre ...
Contents
1 | |
Dialogus de connexione inter res verba p | 505 |
Difficultates quaedam Logicae p | 513 |
Difcours touchant la methode de la certitude de lart | 521 |
Hiftoria commendatio charactericae univerfalis quae | 533 |
Table des principales matieres | |
Common terms and phrases
affés affez aifé ainfi ames animal auffi avoit Axiomes ayent befoin c'eft à dire c'eſt caufe CHAP CHAP.XXI chofe compofées confequent confiderer confifte confufes connoiffance connoitre corps d'étre deffus definition deja demonftration depend determiner Dieu difference diftinctes diftinguer effences efpeces efprit eft vrai eſt eté étoit étre Euclide fans fauroient fauroit favoir fciences fe trouve fecond felon femblables femble fenfation fenfibles fens fentiment feroit fert fervir feulement fignification figure foit fommes font fous fouvent foyent fuis fuivant fujet fuppofe fyllogismes general Geometrie hommes homo Idées fimples immediatement innées j'ai l'ame l'autre l'efprit l'egard l'experience l'Idée l'ufage laiffe Leibnitz liaiſon lumiere maniere Mathematiques matiere Monfieur n'eft n'eſt nature neceffaire neceffité neral notion obfervations paffer parceque paroit particulieres penfer perception perfonnes PHILAL Philofophes Phyfique plaifir plufieurs poffible pourroit prefent premiere principes propofitions puiffance puiffe qu'une queftion raifon reflexion refte ridens Subftances Subſtances tems THEOPH tion ufage univerfelles verités
Popular passages
Page 343 - ajouter à notre idée de la matière la faculté de " penfer, que de comprendre qu'il y joigne une autre » fubftance avec la faculté de penfer ; puifque nous «• ignorons en quoi confifte la penfée , & à...
Page 4 - ... étincelles que le choc fait sortir du fusil ; et ce n'est pas sans raison qu'on croit que ces éclats marquent quelque chose de divin et d'éternel, qui paraît surtout dans les vérités nécessaires.
Page 241 - Leine, rivière d'Hannovre, a son nom, qui venant des pays montagneux grossit fort par les neiges fondues. Sans parler d'une infinité d'autres semblables appellations, qui prouvent qu'il ya quelque chose de naturel dans l'origine des mots, qui marque un rapport entre les choses et les sons et mouvements des organes de la voix...
Page 148 - J'en ai déjà dit quelque chose '(Liv. I, chap. tr, i: 3), les appétitions sont comme la tendance de la pierre, qui va le plus droit mais non pas toujours le meilleur chemin vers le centre de la terre, ne pouvant pas prévoir qu'elle rencontrera des rochers...
Page 9 - C'est ainsi que la coutume fait que nous ne prenons pas garde au mouvement d'un moulin ou à une chute d'eau, quand nous avons habité tout auprès depuis quelque temps. Ce n'est pas que ce mouvement ne frappe toujours nos organes et qu'il ne se passe encore quelque chose dans l'âme, qui y réponde, à cause de l'harmonie de l'âme et du, corps...
Page 87 - Dieu peut attacher telles idées (comme celle de chaleur) à des mouvemens, avec lesquels elles n'ont aucune ressemblance, qu'il est difficile de concevoir qu'il a attaché l'idée de la douleur au mouvement d'un morceau de fer qui divise nostre chair, au quel mouvement la douleur ne ressemble en aucune maniere.
Page 249 - ... énumération. Mais quoique la voie la plus courte de définir soit par le moyen du genre et de la différence, comme parlent les logiciens, on peut douter à mon avis qu'elle soit la meilleure : du moins elle n'est pas l'unique. Dans la...
Page 232 - Mathématicien et grand connoisseur des langues, que leur langue est artificielle, c'est à dire qu'elle a esté inventée tout à la fois par quelque habile homme pour établir un commerce de paroles entre quantité de nations différentes, qui habitoient ce grand pays que nous appelions la Chine, quoyque cette langue pourroit se trouver altérée maintenant par le long usage.
Page 234 - Vous que les enfans et ceux qui ne savent que peu la langue qu'ils veulent parler, ou la matière dont ils parlent, se servent des termes généraux comme chose, plante, animal, au lieu d'employer les termes propres qui leur manquent.