Le christianisme jugé par ses œuvres, ou De l'influence de la religion chrétienne sur le droit public européen [&c.]., Volume 1 |
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actes affranchis apôtres assemblées autorité avaient barbares cause Charlemagne chré chrétiens Christianisme cité citoyens civilisation classe clergé conciles condition constitution Contrat social Dagobert Ier défenseurs délibérations despotisme devait devoir Dieu dignité divine doctrine ecclésias ecclésiastiques empereurs Epist époque esclaves établi évêques exercer féodalité force Gaule général gouvernement Grégoire VII guerre hommes humaine impôts institutions intérêts Jésus-Christ justice l'administration l'autorité l'Eglise l'empereur l'empire l'Etat l'Evangile l'évêque l'homme l'impôt l'ordre législation légitime liberté lois magistrats maître ment mérovingiens mœurs monde morale moyen âge nations paganisme païens paix pape personne peuple politique pontife pouvait pouvoir civil pouvoir spirituel pouvoir temporel préteurs prince principe propriété provinces public puissance spirituelle questions réformes règne religieux religion rois romaine Rome royaume saint sance seigneurs serfs seul Sidoine Apollinaire siècle social société société romaine soumission souvent souverain sujets système théocratique Theod théories tion trêve de Dieu ve siècle volonté voulait
Popular passages
Page 67 - lit-il, tout ce que le peuple avait à faire, il le faisait par luimême ; il était sans cesse assemblé sur la place. Il habitait un climat doux, il n'était point avide, des esclaves faisaient ses travaux, sa grande affaire était sa liberté.
Page 64 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 65 - ... ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire , fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
Page 65 - Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 195 - ... délibérations pût être mis sous les yeux du grand prince qui alors, avec la sagesse qu'il avait reçue de Dieu, adoptait une résolution à laquelle tous obéissaient.
Page 68 - Le christianisme est une religion toute spirituelle, occupée uniquement des choses du ciel : la patrie du chrétien n'est pas de ce monde. Il fait son devoir, il est vrai; mais il le fait avec une profonde indifférence sur le bon ou mauvais succès de ses soins. Pourvu qu'il n'ait rien à se reprocher, peu lui importe que tout aille bien ou mal ici-bas. Si...
Page 67 - Telle était la position de Sparte. Pour vous, peuples modernes, vous n'avez point d'esclaves, mais vous l'êtes; vous payez leur liberté de la vôtre. Vous avez beau vanter cette préférence , j'y trouve plus de lâcheté que d'humanité.
Page 497 - Gengiskan. qui ont dévasté l'Asie: et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 109 - Toute puissance m'a été donnée dans le ciel et sur la terre, allez donc et enseignez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit...
Page 61 - Je le vois se rassasiant sous un chêne, se désaltérant au premier ruisseau, trouvant son lit au pied du même arbre qui lui a fourni son repas ; et voilà ses besoins satisfaits.