Oeuvres des deux Corneille (Pierre et Thomas) Édition variorum collationnée sur les meilleurs textes, précédées de la vie de Pierre Corneille ...: avec les variantes et les corrections de Pierre Corneille, ses dédicaces, ses avertissements et ses examens, ses Trois discours sur la tragédie, accompagnées de notices historiques et littéraires ...Charpentier, 1865 |
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Page xlviii
... acte et en vers ( 1785 ) ; - les Deux Centenaires de Corneille , pièce en un acte et en vers , par le chevalier de Cubières ( 1785 ) , Une Matinée des deux Corneille , co- médie - vaudeville anecdotique , par A. Grétry neveu ( 1804 ) ...
... acte et en vers ( 1785 ) ; - les Deux Centenaires de Corneille , pièce en un acte et en vers , par le chevalier de Cubières ( 1785 ) , Une Matinée des deux Corneille , co- médie - vaudeville anecdotique , par A. Grétry neveu ( 1804 ) ...
Page 27
... de ma part . Et dans son entretien je vous vois chaque jour Demander en quel point se trouve son amour . Écoute quels assauts brave encor ma vertu . L'INFANTE . Mets la main sur mon cœur , Et ACTE I , SCENE III , 15 27.
... de ma part . Et dans son entretien je vous vois chaque jour Demander en quel point se trouve son amour . Écoute quels assauts brave encor ma vertu . L'INFANTE . Mets la main sur mon cœur , Et ACTE I , SCENE III , 15 27.
Page 33
... Il faut que le soufflet de Corneille soit donné et reçu à la face de tous , sinon vous en faites une injure vulgaire et qui perd beaucoup de son prix . ( Jules Janin . ) Épargnes - tu mon sang ? d . diègue . ACTE I , SCÈNE VI . 35.
... Il faut que le soufflet de Corneille soit donné et reçu à la face de tous , sinon vous en faites une injure vulgaire et qui perd beaucoup de son prix . ( Jules Janin . ) Épargnes - tu mon sang ? d . diègue . ACTE I , SCÈNE VI . 35.
Page 35
... pleurs que la tendresse paternelle eût arrachés à don Diegue , eussent peut - être affaibli à nos yeux l'inflexibilité de la loi de l'honneur ; et Corneille Je te donne à combattre un homme à redouter ; ACTE 1 , SCENE VIII . 33.
... pleurs que la tendresse paternelle eût arrachés à don Diegue , eussent peut - être affaibli à nos yeux l'inflexibilité de la loi de l'honneur ; et Corneille Je te donne à combattre un homme à redouter ; ACTE 1 , SCENE VIII . 33.
Page 38
... ACTE . ACTE SECOND . SCÈNE I. D. ARIAS , LE COMTE . LE COMTE . Je l'avoue entre nous , quand je lui fis l'affront1 , J'eus le sang un peu chaud , et le bras un peu prompt : Mais , puisque c'en est fait , le coup est sans remède . D ...
... ACTE . ACTE SECOND . SCÈNE I. D. ARIAS , LE COMTE . LE COMTE . Je l'avoue entre nous , quand je lui fis l'affront1 , J'eus le sang un peu chaud , et le bras un peu prompt : Mais , puisque c'en est fait , le coup est sans remède . D ...
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Common terms and phrases
ACHORÉE ACTE Adieu aime ALCIPPE amant âme amour ANTIOCHUS assez Auguste avez avoit bonheur CAMILLE César cher Chimène chose Chrétiens ciel Cinna CLARICE CLEANDRE CLÉOPATRE CLITON cœur colère combat connoître Corneille coup courage craint crime CURIACE devoir DIÈGUE dieux digne dois donner DORANTE douleur doux ELVIRE ÉMILIE enfin ennemis époux esprit étoit EUPHORBE eût FÉLIX flamme foiblesse frère GÉRONTE gloire haine homme hymen j'ai j'en juste l'amour L'INFANTE laisse LAONICE LÉPIDE Lucrèce LYSE m'en madame main malheur MAXIME MÉLISSE monsieur mort mourir n'en NÉARQUE ORONTE parler Parthes PAULINE père PHILISTE PHOTIN pièce Pierre Corneille pleurs poëte POLYEUCTE Pompée prendre prince PTOLÉMÉE punir qu'à qu'un rien Rodogune Rodrigue Romains Rome s'il SABINE Saint-Marc Girardin sais Sanche sang SCÈNE secret seigneur SÉLEUCUS sentiments seroit seul Sévère sœur sort souffrir soupirs STRATONICE théâtre TIMAGÈNE tragédie trépas trône vainqueur venger vertu veux Victorin Fabre VIEIL HORACE vœux vois Voltaire yeux
Popular passages
Page 562 - II est des nœuds secrets, il est des sympathies, Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre, et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Page 287 - Saintes douceurs du ciel, adorables idées, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir : De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir. Vous promettez beaucoup, et donnez davantage : Vos biens ne sont point inconstants, Et l'heureux trépas que j'attends Ne vous sert que d'un doux passage Pour nous introduire au partage Qui nous rend à jamais contents.
Page 192 - Les honneurs sont vendus aux plus ambitieux, L'autorité livrée aux plus séditieux. Ces petits souverains qu'il fait pour une année , Voyant d'un temps si court leur puissance bornée, Des plus heureux desseins font avorter le fruit, De peur de le laisser à celui qui les suit.
Page 71 - Et nous faisons courir des ruisseaux de leur sang Avant qu'aucun résiste ou reprenne son rang. Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient; Leur courage renaît et leurs terreurs s'oublient : La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre et leur rend leur vertu.
Page 291 - C'est en vain qu'on se met en défense Ce Dieu touche les cœurs lorsque moins on y pense. Ce bienheureux moment n'est pas encor venu ; II viendra , mais le temps ne m'en est pas connu.
Page 109 - Quand je vois de tes murs leur armée et la nôtre, Mes trois frères dans l'une, et mon mari dans l'autre, Puis-je former des vœux, et sans impiété Importuner le ciel pour ta félicité?
Page 122 - II épuise sa force à former un malheur Pour mieux se mesurer avec notre valeur; Et comme il voit en nous des âmes peu communes, Hors de l'ordre commun il nous fait des fortunes.
Page 608 - Règne : de crime en crime enfin te voilà roi. Je t'ai défait d'un père, et d'un frère, et de moi : Puisse le ciel tous deux vous prendre pour victimes, Et laisser choir sur vous les peines de mes crimes ! Puissiez-vous ne trouver dedans votre union Qu'horreur, que jalousie, et que confusion...
Page 370 - Restes d'un demi-dieu, dont à peine je puis Égaler le grand nom, tout vainqueur que j'en suis, De vos traîtres, dit-il, voyez punir les crimes : Attendant des autels, recevez ces victimes ; Bien d'autres vont les suivre.
Page 290 - Seigneur, de vos bontés il faut que je l'obtienne, Elle a trop de vertus pour n'être pas Chrétienne, Avec trop de mérite il vous plut la former, Pour ne vous pas connaître, et ne vous pas aimer, Pour vivre des Enfers esclave infortunée, Et sous leur triste joug mourir, comme elle est née.