Le romantisme des classiques, Volume 1 |
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... J'ai l'air de prendre le plus long , mais en réalité j'abrège , puisque , dans ce détour apparent , j'amasse devant vous une col- lection de faits et d'exemples , plus utile que des théories abstraites , et trouve mainte cccasion de pro ...
... J'ai l'air de prendre le plus long , mais en réalité j'abrège , puisque , dans ce détour apparent , j'amasse devant vous une col- lection de faits et d'exemples , plus utile que des théories abstraites , et trouve mainte cccasion de pro ...
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... j'ai essayé de vous faire voir , l'année dernière , le rôle actif et l'importance capitale dans la formation de la société polie et de la conversa- tion française . Ensuite , à l'imitation de ce cercle célèbre , les samedis de ...
... j'ai essayé de vous faire voir , l'année dernière , le rôle actif et l'importance capitale dans la formation de la société polie et de la conversa- tion française . Ensuite , à l'imitation de ce cercle célèbre , les samedis de ...
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... J'ai en- tendu autrefois , dans un drame de l'Ambigu , Henri IV dire au maréchal de Biron : « Monsieur de Biron , vous êtes logique . » A quelques détails de cette sorte , qui détonnent comme des notes fausses , deux ou trois ...
... J'ai en- tendu autrefois , dans un drame de l'Ambigu , Henri IV dire au maréchal de Biron : « Monsieur de Biron , vous êtes logique . » A quelques détails de cette sorte , qui détonnent comme des notes fausses , deux ou trois ...
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... J'ai eu soin , du reste , de dire , dès le commen- cement de ce Cours , que cette petite thèse du ro- mantisme des classiques vous était soumise « moins comme une théorie proprement dite , que comme un cadre dans lequel j'essayerais de ...
... J'ai eu soin , du reste , de dire , dès le commen- cement de ce Cours , que cette petite thèse du ro- mantisme des classiques vous était soumise « moins comme une théorie proprement dite , que comme un cadre dans lequel j'essayerais de ...
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... à Paris auparavant , il avait été son compa- gnon de plaisir : « J'ai été loup avec les loups » , dit - il . La vie de province , à vingt - deux ans , ne lui plaisait guère . Pour se distraire , il lisait BIOGRAPHIE DE RACINE 51.
... à Paris auparavant , il avait été son compa- gnon de plaisir : « J'ai été loup avec les loups » , dit - il . La vie de province , à vingt - deux ans , ne lui plaisait guère . Pour se distraire , il lisait BIOGRAPHIE DE RACINE 51.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 198 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste : Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux; Et le fer est moins prompt, pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Page 6 - L'UNIVERS est une espèce de livre, dont on n'a lu que la première page quand on n'a vu que son pays.
Page 323 - ... couvert de cristallisations brillantes: les plus petites branches, celles qui ne sont pas plus grosses que la patte d'une mésange, sont garnies d'une infinité de diamants, mobiles et éblouissants; on ne peut plus reconnaître le rameau primitif. Ce que j'appelle cristallisation, c'est l'opération de l'esprit, qui tire de tout ce qui se présente la découverte que l'objet aimé a de nouvelles perfections.
Page 95 - Bientôt l'amour, fertile en tendres sentiments, S'empara du théâtre ainsi que des romans. De cette passion la sensible peinture Est pour aller au cœur la route la plus sûre.
Page 252 - Depuis cinq ans entiers chaque jour je la vois, Et crois toujours la voir pour la première fois.
Page 216 - La voilà, malgré ce grand cœur, cette princesse si admirée et si chérie ! la voilà telle que la mort nous l'a faite...
Page 236 - Titus, qui aimait passionnément Bérénice, « et qui même, à ce qu'on croyait, lui avait promis de l'épouser, « la renvoya de Rome, malgré lui et malgré elle, dès les premiers
Page 180 - Certes, plus je médite, et moins je me figure Que vous m'osiez compter pour votre créature, Vous dont j'ai pu laisser vieillir l'ambition Dans les honneurs obscurs de quelque légion...
Page 277 - L'imbécile Ibrahim, sans craindre sa naissance, Traîne, exempt de péril, une éternelle enfance. Indigne également de vivre et de mourir, On l'abandonne aux mains qui daignent le nour[rir". L'autre trop redoutable, et trop digne d'envie, Voit sans cesse Amurat armé contre sa vie. Car enfin Bajazet dédaigna de tout temps La molle oisiveté des enfants des Sultans.
Page 312 - N'éprouvent pas bientôt... MITHRIDATE. Non, je vous le défends. Tôt ou tard il faudra que Pharnace périsse : Fiez-vous aux Romains du soin de son supplice. Mais je sens affaiblir ma force et mes esprits; Je sens que je me meurs. Approchez-vous, mon fils, Dans cet embrassement dont la douceur me flatte, Venez, et recevez l'âme de Mithridate.