Lettres de madame de Sévigné, de sa famille et de ses amis, précédées d'une notice par C. Nodier, Volume 1 |
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... n'ai point reçu son livre . Mandez - moi si c'est tout de bon que M. de Luynes soit mort , car je ne le saurois encore croire . : Baigneurs d'en avoir de plus tendres et de plus fais foibles ; chacun aime à sa mode ; pour moi , je ...
... n'ai point reçu son livre . Mandez - moi si c'est tout de bon que M. de Luynes soit mort , car je ne le saurois encore croire . : Baigneurs d'en avoir de plus tendres et de plus fais foibles ; chacun aime à sa mode ; pour moi , je ...
Page 10
... n'ai rien sur le cœur contre vous . J'ai reçu l'adieu que vous m'avez fait de Landrecy , pen- dant que j'étois à Livry , et je vous ai fait réponse en même temps : je vois bien que vous ne l'avez pas reçue , et j'en suis au désespoir ...
... n'ai rien sur le cœur contre vous . J'ai reçu l'adieu que vous m'avez fait de Landrecy , pen- dant que j'étois à Livry , et je vous ai fait réponse en même temps : je vois bien que vous ne l'avez pas reçue , et j'en suis au désespoir ...
Page 14
... n'ai aucun tort ; c'est pourquoi je vous conseille , puisque vous êtes re- venu de Pontoise , de n'y point retourner pour vous pendre ; cela n'en vaut point la peine , et vous y serez toujours reçu quand vous voudrez bien . Mon cher ...
... n'ai aucun tort ; c'est pourquoi je vous conseille , puisque vous êtes re- venu de Pontoise , de n'y point retourner pour vous pendre ; cela n'en vaut point la peine , et vous y serez toujours reçu quand vous voudrez bien . Mon cher ...
Page 22
... n'ai plus au- cun repos . Adieu , Monsieur : jusqu'à lundi : je voudrois que vous puissiez connoître les sentiments que j'ai pour vous , vous seriez persuadé de cette amitié que vous dites que vous estimez un peu . 38 . Au même ...
... n'ai plus au- cun repos . Adieu , Monsieur : jusqu'à lundi : je voudrois que vous puissiez connoître les sentiments que j'ai pour vous , vous seriez persuadé de cette amitié que vous dites que vous estimez un peu . 38 . Au même ...
Page 24
... n'ai jamais aban- donné la personne du roi ; et dans ce temps - là vous étiez , Monsieur , le chef du conseil de ses ennemis , et vos proches donnoient passage à l'armée qui étoit contre lui . M. le chancelier a senti ce coup ; mais ...
... n'ai jamais aban- donné la personne du roi ; et dans ce temps - là vous étiez , Monsieur , le chef du conseil de ses ennemis , et vos proches donnoient passage à l'armée qui étoit contre lui . M. le chancelier a senti ce coup ; mais ...
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Common terms and phrases
abbé Adieu admirable affaires agréable aimable aime aise amitié assez assure auroit avez avoit beau belle Bretagne BUSSY à madame c'étoit cardinal cardinal de Retz Chaulnes chère enfant chevalier chose coadjuteur cœur compliments comte DE BUSSY connoissez consolation conte Corbinelli crois d'Hacqueville dame Dieu dire disoit donner écrire enfin êtes étoient étoit faisoit Fayette femme fille fils Gourville grace heures homme j'ai j'avois J'embrasse j'en j'étois jamais joie jolie l'abbé l'autre jour Lavardin lettre Livry long-temps Louvois m'en vais madame de Coulanges madame de Grignan Madame de Maintenon madame de Montespan madame DE SÉVIGNÉ mademoiselle mande maréchal ment mercredi mieux mille monde Monsieur Montgobert mort n'ai n'en parler paroît passé pauvre pense petite plaisir Pomponne prince princesse Provence raison ravie rien Rochefoucauld Rochers sais santé savez sentiments sera seroit soir songe sorte souhaite tendresse très-chère trouve Turenne vendredi veux Vichi voilà vois voudrois vouloit voyage vrai
Popular passages
Page 203 - Racine fait des comédies pour la Champmeslé : ce n'est pas pour les siècles à venir. Si jamais il n'est plus jeune, et qu'il cesse d'être amoureux, ce ne sera plus la même chose.
Page 61 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois; jetez-vous votre langue aux chiens? Hé bien! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 158 - Lisez-le, je vous prie, avec attention, et voyez comme il fait voir nettement le cœur humain, et comme chacun s'y trouve, et philosophes, et jansénistes, et molinistes, et tout le monde enfin. Ce qui s'appelle chercher dans le fond du cœur avec une lanterne, c'est ce qu'il fait : il nous découvre ce que nous sentons tous les jours, et que nous n'avons pas l'esprit de démêler, ou la sincérité d'avouer; en un mot, je n'ai jamais vu écrire comme ces Messieurs-là.
Page 203 - Champmeslé pour vous réchauffer la pièce. Le personnage de Bajazet est glacé ; les mœurs des Turcs y sont mal observées ; ils ne font point tant de façons pour se marier ; le dénouement n'est point bien préparé : on n'entre point dans les raisons de cette grande tuerie.
Page 367 - On couvre le corps d'un manteau, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit. Un carrosse vient , on l'emporte dans sa tente : ce fut là où
Page 367 - ... cinq mille francs , parce qu'ils reconduisirent le corps jusqu'à la première ville , et voulurent défrayer tout le train. Que dites-vous de ces marques naturelles d'une affection fondée sur un mérite extraordinaire?
Page 203 - Dieu ? qu'aurai-je à lui présenter? la crainte, la nécessité ferontelles mon retour vers lui ? n'aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur? que puis-je espérer? suis-je digne du paradis? suis-je digne de l'enfer? Quelle alternative !-quel embarras! Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre...
Page 134 - Ce mot sur la semaine est par-dessus le marché de vous écrire seulement tous les quinze jours, et pour vous donner avis , mon cher cousin , que vous aurez bientôt l'honneur de voir Picard; et comme il est frère du laquais de madame de Coulanges, je suis bien aise de vous rendre compte de mon procédé.
Page 325 - Il parait ambitieux sans l'être ; la vanité et ceux qui l'ont conduit lui ont fait entreprendre de grandes choses, presque toutes opposées à sa profession...
Page 104 - Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur ; mais ce ne fut qu'au troisième coup, car il s'en donna deux qui n'étaient pas mortels ; il tombe mort.