Lettres de madame de Sévigné, de sa famille et de ses amis, précédées d'une notice par C. Nodier, Volume 1 |
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... étoit honnêtement tendre , c'est qu'elle étoit assez jolie , à ce qu'il me sembloit ; et comme elle vous étoit destinée , je suis bien en colère qu'un autre en ait eu le plaisir . Depuis cela , je vous ai encore écrit par un laquais que ...
... étoit honnêtement tendre , c'est qu'elle étoit assez jolie , à ce qu'il me sembloit ; et comme elle vous étoit destinée , je suis bien en colère qu'un autre en ait eu le plaisir . Depuis cela , je vous ai encore écrit par un laquais que ...
Page 13
... étoit point , et qu'il n'avoit pas un sou . Je vous dis que si . Je vous dis que non . - Taisez - vous , La Feuillade . - Je n'en ferai rien . - Là - dessus le prince lui jette une assiette à la tête ; l'autre lui jette un cou- teau ...
... étoit point , et qu'il n'avoit pas un sou . Je vous dis que si . Je vous dis que non . - Taisez - vous , La Feuillade . - Je n'en ferai rien . - Là - dessus le prince lui jette une assiette à la tête ; l'autre lui jette un cou- teau ...
Page 22
... étoit pas considérable . Sur cela on a dit de faire entrer l'accusé il étoit onze heures . Vous remarquerez qu'il n'est pas plus d'une heure sur la sellette . M. le chancelier a voulu parler de ces quatre prêts . M. Fouquet a prié qu'on ...
... étoit pas considérable . Sur cela on a dit de faire entrer l'accusé il étoit onze heures . Vous remarquerez qu'il n'est pas plus d'une heure sur la sellette . M. le chancelier a voulu parler de ces quatre prêts . M. Fouquet a prié qu'on ...
Page 24
... étoit contre lui . M. le chancelier a senti ce coup ; mais notre pau- vre ami étoit échauffé , et n'étoit pas tout - à - fait le maître de son émotion . Ensuite on lui a parlé de ses dépenses ; il a dit : Je m'offre à faire voir que je ...
... étoit contre lui . M. le chancelier a senti ce coup ; mais notre pau- vre ami étoit échauffé , et n'étoit pas tout - à - fait le maître de son émotion . Ensuite on lui a parlé de ses dépenses ; il a dit : Je m'offre à faire voir que je ...
Page 49
... étoit justement à dire qu'il étoit né pour avoir de l'a- mour . Dit - on ces choses - là sérieusement ? et pour l'expression de sentir le fagot , que vous avez prise dans toute sa force , je vous le pardonne : vous avez été autrefois ...
... étoit justement à dire qu'il étoit né pour avoir de l'a- mour . Dit - on ces choses - là sérieusement ? et pour l'expression de sentir le fagot , que vous avez prise dans toute sa force , je vous le pardonne : vous avez été autrefois ...
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Common terms and phrases
abbé Adieu admirable affaires agréable aimable aime aise amitié assez assure auroit avez avoit beau belle Bretagne BUSSY à madame c'étoit cardinal cardinal de Retz Chaulnes chère enfant chevalier chose coadjuteur cœur compliments comte DE BUSSY connoissez consolation conte Corbinelli crois d'Hacqueville dame Dieu dire disoit donner écrire enfin êtes étoient étoit faisoit Fayette femme fille fils Gourville grace heures homme j'ai j'avois J'embrasse j'en j'étois jamais joie jolie l'abbé l'autre jour Lavardin lettre Livry long-temps Louvois m'en vais madame de Coulanges madame de Grignan Madame de Maintenon madame de Montespan madame DE SÉVIGNÉ mademoiselle mande maréchal ment mercredi mieux mille monde Monsieur Montgobert mort n'ai n'en parler paroît passé pauvre pense petite plaisir Pomponne prince princesse Provence raison ravie rien Rochefoucauld Rochers sais santé savez sentiments sera seroit soir songe sorte souhaite tendresse très-chère trouve Turenne vendredi veux Vichi voilà vois voudrois vouloit voyage vrai
Popular passages
Page 203 - Racine fait des comédies pour la Champmeslé : ce n'est pas pour les siècles à venir. Si jamais il n'est plus jeune, et qu'il cesse d'être amoureux, ce ne sera plus la même chose.
Page 61 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois; jetez-vous votre langue aux chiens? Hé bien! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 158 - Lisez-le, je vous prie, avec attention, et voyez comme il fait voir nettement le cœur humain, et comme chacun s'y trouve, et philosophes, et jansénistes, et molinistes, et tout le monde enfin. Ce qui s'appelle chercher dans le fond du cœur avec une lanterne, c'est ce qu'il fait : il nous découvre ce que nous sentons tous les jours, et que nous n'avons pas l'esprit de démêler, ou la sincérité d'avouer; en un mot, je n'ai jamais vu écrire comme ces Messieurs-là.
Page 203 - Champmeslé pour vous réchauffer la pièce. Le personnage de Bajazet est glacé ; les mœurs des Turcs y sont mal observées ; ils ne font point tant de façons pour se marier ; le dénouement n'est point bien préparé : on n'entre point dans les raisons de cette grande tuerie.
Page 367 - On couvre le corps d'un manteau, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit. Un carrosse vient , on l'emporte dans sa tente : ce fut là où
Page 367 - ... cinq mille francs , parce qu'ils reconduisirent le corps jusqu'à la première ville , et voulurent défrayer tout le train. Que dites-vous de ces marques naturelles d'une affection fondée sur un mérite extraordinaire?
Page 203 - Dieu ? qu'aurai-je à lui présenter? la crainte, la nécessité ferontelles mon retour vers lui ? n'aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur? que puis-je espérer? suis-je digne du paradis? suis-je digne de l'enfer? Quelle alternative !-quel embarras! Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude ; mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre...
Page 134 - Ce mot sur la semaine est par-dessus le marché de vous écrire seulement tous les quinze jours, et pour vous donner avis , mon cher cousin , que vous aurez bientôt l'honneur de voir Picard; et comme il est frère du laquais de madame de Coulanges, je suis bien aise de vous rendre compte de mon procédé.
Page 325 - Il parait ambitieux sans l'être ; la vanité et ceux qui l'ont conduit lui ont fait entreprendre de grandes choses, presque toutes opposées à sa profession...
Page 104 - Gourville se moqua de lui. Vatel monte à sa chambre, met son épée contre la porte, et se la passe au travers du cœur ; mais ce ne fut qu'au troisième coup, car il s'en donna deux qui n'étaient pas mortels ; il tombe mort.