Lecons francaises de letterature et de morale, choisies des meilleurs auteurs qui ont ecrit dans ce genre1882 - 296 pages |
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... vent de pareils tableaux devant les yeux des rois qui or- donnent les guerres ! Cependant Duguay - Trouin poursuit la flotte épouvantée . Tout fuit , tout se disperse 2 NARRATIONS . 17 COMBAT NAVAL DE DUGUAY-TROUIN. ...
... vent de pareils tableaux devant les yeux des rois qui or- donnent les guerres ! Cependant Duguay - Trouin poursuit la flotte épouvantée . Tout fuit , tout se disperse 2 NARRATIONS . 17 COMBAT NAVAL DE DUGUAY-TROUIN. ...
Page 18
... vent du sud - est , qui y règne presque toute l'année , n'y soufflait plus . De longs tour- billons de poussière s'élevaient sur les chemins et res- taient suspendus en l'air . La terre se fendait de toutes parts ; l'herbe était brûlée ...
... vent du sud - est , qui y règne presque toute l'année , n'y soufflait plus . De longs tour- billons de poussière s'élevaient sur les chemins et res- taient suspendus en l'air . La terre se fendait de toutes parts ; l'herbe était brûlée ...
Page 19
... vent alisé du sud - est reprit son cours ordinaire ; les nuages orageux furent jetės vers le nord - ouest , et le soleil couchant parut à l'horizon . BERNARDIN DE SAINT - PIERRE , Paul et Virginie . LA PESTE D'ATHÈNES . Jamais ce fléau ...
... vent alisé du sud - est reprit son cours ordinaire ; les nuages orageux furent jetės vers le nord - ouest , et le soleil couchant parut à l'horizon . BERNARDIN DE SAINT - PIERRE , Paul et Virginie . LA PESTE D'ATHÈNES . Jamais ce fléau ...
Page 23
... vent l'industrie , l'audace et la persévérance . GAILLARD , Histoire de François I. PASSAGE DE LA BERESINA . Tout alors se dirigea vers l'autre pont . Une multitude de gros caissons , de lourdes voitures et de pièces d'ar- tillerie y ...
... vent l'industrie , l'audace et la persévérance . GAILLARD , Histoire de François I. PASSAGE DE LA BERESINA . Tout alors se dirigea vers l'autre pont . Une multitude de gros caissons , de lourdes voitures et de pièces d'ar- tillerie y ...
Page 25
... vent , et se re- courbaient sur nos têtes . Nous marchions sur une terre de feu , sous un ciel de feu , entre deux murailles de feu . Une chaleur pénétrante brûlait nos yeux qu'il fallait cepen- dant tenir ouverts sur le danger . Un air ...
... vent , et se re- courbaient sur nos têtes . Nous marchions sur une terre de feu , sous un ciel de feu , entre deux murailles de feu . Une chaleur pénétrante brûlait nos yeux qu'il fallait cepen- dant tenir ouverts sur le danger . Un air ...
Common terms and phrases
AGAMEMNON aime AMALÉCITE âme ATHALIE beau beauté bonheur BOSSUET BOULEN bras brillant Calchas chant charme cher choses Cicéron ciel cieux Cinna cœur combat console crime Démosthène dialogue Dieu dieux digne discours divine doit donne douleur Duguay-Trouin éloquence encens enfants ennemis esprit fable flammes flots fortune fureur gémir génie gloire Grèce guerre Hécube Henriade héros heureux hommes humain j'ai jamais jour l'âme l'amour l'éloquence l'Énéide l'esprit l'homme l'orateur l'univers laisse larmes lois Louis XIV madame de Sévigné main malheureux Mameloucks MARMONTEL maux monde morale mort mortels narration nature nuit passer passions patrie pensées père peuple Phèdre philosophe plaisir plaisirs pleurs poésie poète Pompéi PRECEPTES DU GENRE prince PYRAMIDES D'ÉGYPTE qu'un quelquefois raison regards règne rien rois s'il sage sang scène semble sentiment sera seul Socrate soleil sort style sublime sujet Sybaris talents temple terre terrible tombeau triste trône Turenne vérité vertu veut voilà vois voit voix VOLTAIRE yeux
Popular passages
Page 246 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul 'm'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 204 - Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure; Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 9 - Les ouvrages bien écrits seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances, la singularité des faits, la nouveauté même des découvertes, ne sont pas de sûrs garants de l'immortalité; si les ouvrages qui les contiennent ne roulent que sur de petits objets, s'ils sont écrits sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances, les faits et les découvertes s'enlèvent aisément, se transportent et gagnent même à être mis en...
Page 9 - Or, un beau style n'est tel en effet que par le nombre infini des vérités qu'il présente : toutes les beautés intellectuelles qui s'y trouvent, tous les rapports dont il est composé, sont autant de vérités aussi utiles, et peut-être plus précieuses pour l'esprit humain que celles qui peuvent faire le fond du sujet.
Page 203 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Page 246 - Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos: Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots: " O temps! suspends ton vol; et vous, heures propices! Suspendez votre cours; LE LAC. 169 Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!...
Page 152 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent * tous les empires, à qui seul appartient * la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles 'leçons.
Page 162 - ... jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété pour honorer un héros ; des titres, des inscriptions; vaines marques de ce qui n'est plus; des figures qui semblent pleurer autour d'un tombeau, et des fragiles images d'une douleur que le temps emporte avec tout le reste...
Page 203 - Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté. On ne vit plus en vers que pointes triviales ; Le Parnasse parla le langage des halles ; La licence à rimer alors n'eut plus de frein ; Apollon travesti devint un Tabarin.
Page 347 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé ' ? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé * ? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide ; De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé ; Ton encens , à ses yeux , est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes*?