la possibilité pure. Ce qui est purement possible implique l'idée du fini. Infini et non existence; contradiction. 345 CHAPITRE VI. COMMENT. L'IDÉE DE L'ÊTRE EST LA FORME DE L'ENTENDEMENT. Sens réduplicatif, sens formel. L'entendement perçoit quelque chose de plus que l'être en tant qu'être. Perception de différences. A défaut de cette perception, nous n'avons qu'un concept vague; nous ne percevons point la négation. CHAPITRE VII. 348 Con TOUTE SCIENCE REPOSE SUR LE FAIT DE L'EXISTENCE. dition d'existence. Le jugement se rapporte, non aux idées, mais aux choses. Il est, il paratt. Axiomes, fondement des sciences exactes. Cette théorie d'accord avec le sens commun. Le mathématicien dans l'embarras. 350 . CHAPITRE VIII. FONDEMENT DE LA POSSIBILITÉ PURE ET CONDITION DE L'EXISTENCE. Si la possibilité peut être le fondement de la science, Raisons qui semblent le prouver. Solution. Nous connaissons les vérités finies représentées en Dieu. Le fondement de la possibilité n'exclut point la condition de l'existence. De quelle manière Dieu connaît les vérités finies: il voit en elles la condition de l'existence. 355 CHAPITRE IX. IDÉE DE LA NÉGATION, Nous avons l'idée du non être. Concevoir le non être ou ne pas concevoir ne sont point une même chose. La perception du non être est un acte positif. Cette perception n'est pas celle de l'être. Ce qu'elle représente. Par elle seule elle n'engendre point la connaissance. Comparaison de cette perception avec celle de l'être. Le néaut absolu. Fécondité de l'idée de négation. . . 359 entend par ces idées. L'être et le non être entrent dans les combinaisons premières de notre entendement. Comment Dieu connait la négation. 362 CHAPITRE XI. ORIGINE DE L'IDÉE DE L'ÊTRE. — Est-elle innée ? Motif en faveur de l'affirmative. Elle ne veut point des sensations. Si elle est le résultat de l'abstraction. Preuve du contraire; preuve en faveur de cette opinion. Elle n'est pas innée. Elle a son fondement dans une faculté innée. Elle est indéterminée. Condition sine qua non. Elle n'est perçue directement qu'après avoir été épurée. Exemple. Force intellectuelle de décomposition et de simplification. Pourquoi il est nécessaire de décomposer et de simplifier. Les idées générales et indéterminées résultent de la réréflexion sur nos actes. Idée de l'être, condition de notre intelligence. 364 CHAPITRE XII. DISTINCTION ENTRE L'ESSENCE ET L'EXISTENCE. Importance de la question. Distinction des concepts. Est-elle réelle? Essences en Dieu. L'identité n'implique point la nécessité. Difficulté. Solution. 371 CHAPITRE XIII. OPINION DE KANT SUR LA RÉALITÉ ET LA NÉGATION. Citation. Conséquences. Réfutation. Difficultés. Trois réponses. Erreurs sur le temps. 375 CHAPITRE XIV. RÉSUMÉ ET CONSÉQUENCES DE LA DOCTRINE DE L'ÊTRE, 379 LIVRE SIXIÈME. UNITÉ ET NOMBRE. CHAPITRE I. CONSIDÉRATIONS PRÉLIMINAIRES SUR L'IDÉE UNITÉ. Uni versalité de cette idée ; elle n'est point sensation; elle est simple. Comment on la doit expliquer. 385 CHAPITRE II. CE QU'EST L'UNITÉ, Même chose que l'être. Concept de l'unité; ce qu'il est. Définition des écoles; inexacte. Difficulté. Solution. Indivisum in se; deux significations du mot non divisé. Ce qui serait un être non distinct des autres êtres. Unité métaphysique, unité de quantité. . 387 CHAPITRE III. UNITÉ ET SIMPLICITÉ. — L'unité réelle est la simplicité. Elle n'est point dans les objets sensibles. Comment toutes les substances sont simples. Argument contre les adversaires de la simplicité. Nous trouvons la simplicité dans nos actes. On devrait dire indistinctum au lieu de indivisum. On ne prétend point bannir du langage l'unité factice. 391 CHAPITRE IV. Le fait. Deux NOTRE ESPRIT TEND A L'UNITÉ; POURQUOI? origines objective et subjective. L'être se trouve dans le simple. L'union est un rapport. Unité des corps organisés. Union d'espace, de temps et d'action. Simplicité du sujet. Simplicité des actes de l'esprit. Danger d'exagérer l'unité. CHAPITRE V. 394 l'idée du nombre deux. Cette idée n'est pas sensation. Nombre abstrait et nombre concret. Identité, unité et nombre. Le nombre exige être; distinction et ressemblance. Comment on passe du nombre deux au nombre trois. Le signe. CHAPITRE VI. 399 LES IDÉES DES NOMBRES ET LES SIGNES. — Les signes nécessaires à la numération. Invention des signes deux, trois, etc. Est-il possible de perfectionner la numération? Le signe et l'idée cent. L'idée n'est pas le signe. CHAPITRE VII. 404 ANALYSE DE L'IDÉE DU NOMBRE EN SOI ET DANS SES RAPPORTS AVEC LES SIGNES. Comment le sourd-muet acquiert l'idée du nombre. Les signes sont les auxiliaires de la mémoire. L'arithmétique et l'algèbre. Les signes de numération sont des formules: exemple dans l'idée cent. Comparaison entre la généralisation et la numération. L'idée du nombre n'est point une idée de convention. Le nombre est une perception de distinction et de ressemblance. . . 407 FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES. Paris. Imp. de G. GRATIOT, rue de la Monnaie, 14. |