Le mysticisme en France au temps de Fénelon |
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... Maisonfort , à la douceur , à la vraie résignation de madame de la Mothe - Guyon ! Quoi de supérieur à l'ingénieuse vigilance et à la stoïque fermeté des ducs de Beauvilliers et de Chevreuse ! Ce sont là de grandes vertus et de nobles ...
... Maisonfort , à la douceur , à la vraie résignation de madame de la Mothe - Guyon ! Quoi de supérieur à l'ingénieuse vigilance et à la stoïque fermeté des ducs de Beauvilliers et de Chevreuse ! Ce sont là de grandes vertus et de nobles ...
Page 77
... Maisonfort , jusque - là l'amie intime de madame de Maintenon et la pénitente dévouée de Fénelon , fut amenée à choisir entre son directeur qu'elle préférait et Bossuet que préférait pour elle sa protectrice , elle se mit avec em- 78 ...
... Maisonfort , jusque - là l'amie intime de madame de Maintenon et la pénitente dévouée de Fénelon , fut amenée à choisir entre son directeur qu'elle préférait et Bossuet que préférait pour elle sa protectrice , elle se mit avec em- 78 ...
Page 110
... Maisonfort ] , madame de Maintenon , apprenant les mêmes éloges de la bouche de madame la duchesse de Béthune , née Fouquet , amie particulière de ma- dame Guyon , sollicita plus vivement encore la liberté de celle - ci . Elle avait une ...
... Maisonfort ] , madame de Maintenon , apprenant les mêmes éloges de la bouche de madame la duchesse de Béthune , née Fouquet , amie particulière de ma- dame Guyon , sollicita plus vivement encore la liberté de celle - ci . Elle avait une ...
Page 118
... Maisonfort . ] Ce qui prouve encore mieux ma thèse , c'est que jamais Fénelon ne parle de ces prétendus mystères de la plus sublime dévotion et qu'il ne parle jamais le langage mystique de madame de La Mothe - Guyon . Sa raison excusait ...
... Maisonfort . ] Ce qui prouve encore mieux ma thèse , c'est que jamais Fénelon ne parle de ces prétendus mystères de la plus sublime dévotion et qu'il ne parle jamais le langage mystique de madame de La Mothe - Guyon . Sa raison excusait ...
Page 119
... Maisonfort . 1689 à 1693 J'ai dit que , dans les relations qu'elle eut le bonheur d'entretenir avec Fénelon , madame Guyon suivait un type , celui des rapports de madame de Chantal avec François de Sales . Madame Guyon n'avait pas l ...
... Maisonfort . 1689 à 1693 J'ai dit que , dans les relations qu'elle eut le bonheur d'entretenir avec Fénelon , madame Guyon suivait un type , celui des rapports de madame de Chantal avec François de Sales . Madame Guyon n'avait pas l ...
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Common terms and phrases
adversaires aimer âme amis amour archevêque beau belle Bossuet c'était cesse Chaulnes chose cœur condamnation conférences Corresp correspondance d'Issy dame Guyon débat demande diocèse dire dit-il doctrine donner duc de Beauvilliers duc de Bourgogne duc de Chevreuse écrits de madame écrivit effet elle-même esprit évêque famille femme Fénelon lui-même filles François de Sales fût génie goût gouvernement homme idées jamais l'abbé l'âme l'archevêque de Cambrai l'Église l'esprit l'évêque de Meaux l'hôtel Beauvilliers laisser Leibnitz Lettres spirituelles Louis XIV madame de Chantal madame de Maintenon madame de Miramion madame Guyon Maisonfort maître Malebranche Maximes Meaux ment mieux mission monde Montberon morale mysticisme mystiques n'était nelon Noailles Nouvelles Catholiques parler parole pensée personne philosophe piété politique précepteur prélat prêtre prince pure question quiétisme raison religieuse religion rien Rome saint François Saint-Cyr Saint-Simon sainte Thérèse sentiments serait seul siècle Télémaque théologiens théorie théosophie tion tique Tronson trouva véritable Versailles vrai
Popular passages
Page 17 - La Grèce entière s'ouvre à moi, le sultan effrayé recule ; déjà le Péloponèse respire en liberté, et l'Église de Corinthe va refleurir; la voix de l'apôtre s'y fera encore entendre. Je me sens transporté dans ces beaux lieux et parmi ces ruines précieuses, pour y recueillir, avec les plus curieux monuments, l'esprit même de l'antiquité. Je cherche cet aréopage...
Page 49 - Que je méprise ces philosophes2 qui, mesurant les conseils de Dieu à leurs pensées , ne le font auteur que d'un certain ordre général , d'où le reste se développe comme il peut ! comme s'il avait à notre manière des vues générales et confuses, et comme si la souveraine intelligence pouvait ne pas comprendre dans ses desseins les choses particulières , qui seules subsistent...
Page 18 - ... l'esprit même de l'antiquité. Je Cherche cet aréopage où saint Paul annonça aux sages du monde le Dieu inconnu ; mais le profane vient après le sacré, et je ne dédaigne pas de descendre au Pirée, où Socrate fait le plan de sa république ; je monte au double sommet du Parnasse ; je cueille les lauriers de Delphes et je goûte les délices de Tempe.
Page 341 - Avouons-le, on sent la force et l'ascendant de ce rare esprit, soit qu'il prêche de génie et sans préparation, soit qu'il prononce un discours étudié et oratoire , soit qu'il explique ses pensées dans la conversation : toujours maître de l'oreille et du cœur de ceux qui l'écouteut, il ne leur permet pas d'envier ni tant d'élévation, ni tant de facilité, de délicatesse, de politesse.
Page 317 - J'ai horreur de la seule pensée d'un tel dessein. Il est vrai que j'ai mis dans ces aventures toutes les vérités nécessaires pour le gouvernement et tous les défauts qu'on peut avoir dans la puissance souveraine; mais je n'en ai marqué aucun avec une affectation qui tende à aucun portrait ou caractère.
Page 307 - Meaux d'avoir suscité une querelle inutile et très scandaleuse. Est-il possible qu'il soit embrasé de l'amour divin, dont il fait le savant et le docteur, tandis qu'il déchire son prochain par des écrits aigres, sans légitime sujet? Pour moi, je crois que si M. de ; Cambrai n'avait pas été précepteur de M.
Page 351 - Hé ! y at-il quelque roi si faible et si corrompu à qui on n'ait pas donné autant de louanges que vous en avez reçu ? Donnez-moi le plus indigne de tous les princes, on lui donnera tous les éloges qu'on vous a donnés. Après cela, achetez des louanges par tant de sang et par tant de sommes qui ruinent un royaume ! François.
Page 177 - Quand même ce que je crois avoir lu me paroitroit plus clair que deux et deux font quatre, je le croirais encore moins clair que mon obligation de me défier de mes lumières , et de leur préférer celles d'un évoque tel que vous.
Page 184 - Pourquoi faut-il que vous les gardiez , et croyez-vous soutenir cette singularité? Vous savez que nous les avons montrés malgré lui, et ce que votre imprudence et la mienne ont fait là-dessus. Il nous a dit et écrit...
Page 225 - ... eu à mon égard rien d'approchant de l'idée que vous voulez aujourd'hui donner de moi aux autres. Je suis ce cher ami, cet ami de toute la vie, que vous portiez dans, vos entrailles. Même après l'impression de mon livre, vous honoriez ma piété; je ne fais que repéter vos paroles dans ce pressant besoin.