Vers et prose, Volumes 13-161908 - French literature |
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Page 42
... Grèce , le plus grand peut - être du monde entier . Quoi qu'en ait dit le calicot Musset << il avait peu de grâce et de goût nullement » , son esprit fut le sanctuaire des Grâces et le temple du goût . Clairvoyant , son regard , dans la ...
... Grèce , le plus grand peut - être du monde entier . Quoi qu'en ait dit le calicot Musset << il avait peu de grâce et de goût nullement » , son esprit fut le sanctuaire des Grâces et le temple du goût . Clairvoyant , son regard , dans la ...
Page 46
... , ni suivre celle qui ne sera plus jamais sa nourrice , et qui s'en va très digne , le long de la petite allée noire , vers le bois hanté ... COLETTE WILLY La Grèce éternelle PRÉFACE ( * ) Après tant d'esquisses 46 VERS ET PROSE.
... , ni suivre celle qui ne sera plus jamais sa nourrice , et qui s'en va très digne , le long de la petite allée noire , vers le bois hanté ... COLETTE WILLY La Grèce éternelle PRÉFACE ( * ) Après tant d'esquisses 46 VERS ET PROSE.
Page 47
La Grèce éternelle PRÉFACE ( * ) Après tant d'esquisses jolies , diaprées , variées , rapides ; après un beau livre substantiel sur le Japon , voici que M. Go- mez - Carrillo donne ses impressions d'un récent voyage en Grèce . Ce n'est ...
La Grèce éternelle PRÉFACE ( * ) Après tant d'esquisses jolies , diaprées , variées , rapides ; après un beau livre substantiel sur le Japon , voici que M. Go- mez - Carrillo donne ses impressions d'un récent voyage en Grèce . Ce n'est ...
Page 52
... , dit M. Bréal , très loin de nous , représente , à le bien prendre , le passé d'hier » . La littérature de la Nouvelle Grèce inspire à Carrillo des pages éloquentes où la sympathie déborde . Il parle des 52 VERS ET PROSE.
... , dit M. Bréal , très loin de nous , représente , à le bien prendre , le passé d'hier » . La littérature de la Nouvelle Grèce inspire à Carrillo des pages éloquentes où la sympathie déborde . Il parle des 52 VERS ET PROSE.
Page 53
... Grèce rappela son ombre dédaignée pour lui décerner des couronnes . Kalvos professa un instant à l'Université de Corfou . Il y obtint d'éclatants succès , car il était grand humaniste et d'une éloquence enflammée . Quant à son humeur ...
... Grèce rappela son ombre dédaignée pour lui décerner des couronnes . Kalvos professa un instant à l'Université de Corfou . Il y obtint d'éclatants succès , car il était grand humaniste et d'une éloquence enflammée . Quant à son humeur ...
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ab¹ ABONNEMENT ALBERT ALBERT MOCKEL âme amour André Fontainas ANDRÉ SALMON arbres Aristophane beau beauté Bécot belle blanc bleu bonheur bras C'était chanson chant cher choses ciel CLARISSE VOGT cloches CLYTEMNESTRE cœur d'or danse Dieu Directeur Édition sur simili-hollande ELEKTRA EMILE Falourdin Fayette femme filles flamme fleurs flots Fontainas frisson géant GEORGES Gonesse HENRI Henry Becque hommes j'ai jardin JEAN JEAN MORÉAS Jean Royère jeune Joab joie jour l'air l'amour l'eau l'ombre là-bas lèvres Libraire Lidys LOUIS LOUIS MANDIN Madame mains MAURICE ment Mile monde mort noir Nonoche nuit ombre parfum passe Paul Adam PAUL FORT PAUL LECLERCQ pensée petit pleure poèmes poésie poète printemps PROSE qu'un regard REMY DE GOURMONT rêve rien rire ROISSY-EN-FRANCE roses rouge ROUVEYRE Saint-Pol-Roux sais semble sentiment sera seul Socrate soir soleil songe soudain sourire STUART MERRILL terre vent vert visage VOGT CLARISSE voici voile vois voix yeux
Popular passages
Page 52 - De tout temps les hommes, pour quelque morceau de terre de plus ou de moins, sont convenus entre eux de se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres ; et, pour le faire plus ingénieusement et avec plus de sûreté, ils ont inventé de belles règles qu'on appelle l'art militaire : ils ont attaché à la pratique de ces règles la gloire , ou la plus solide réputation ; et ils ont depuis enchéri de siècle en siècle sur la manière de se détruire réciproquement.
Page 51 - FUREUR d'accumuler, monstre de qui les yeux Regardent comme un point tous les bienfaits des dieux, Te combattrai-je en vain sans cesse en cet ouvrage ! Quel temps demandes-tu pour suivre mes leçons ? L'homme, sourd à ma voix comme à celle du sage, Ne dira-t-il jamais : C'est assez, jouissons?
Page 54 - Ce ne sont plus des mers, des degrés, des rivières, Qui bornent l'héritage entre l'humanité : Les bornes des esprits sont leurs seules frontières; Le monde en s'éclairant s'élève à l'unité. Ma patrie est partout où rayonne la France, Où son génie éclate aux regards éblouis! Chacun est du climat de son intelligence : Je suis concitoyen de toute âme qui pense : La vérité, c'est mon pays...
Page 66 - Monsieur, lui dis-je, nous approuvions, vous et moi, toutes les sottises qui viennent d'être critiquées si finement, et avec tant de bon sens ; mais croyez-moi, pour me servir de ce que saint Rémi dit à Clovis, il nous faudra brûler ce que nous avons adoré et adorer ce que nous avons brûlé.
Page 118 - ... bas»). 26 On connaît les magnifiques images que Hugo a tirées de cette conception du ciel comme une espèce de crible. un article sur André Salmon, paru dans «Vers et prose» de juin-août 1908 (peu après la publication du poème intitulé alors Le Pyrée), ce que représente ce «ver Zamir»: Le ver Zamir qui sans outils pouvait bâtir le temple de Jérusalem, quelle saisissante image du poète! Le «ver Zamir...
Page 15 - Mais, Joab, à présent je le demande à Dieu : que fera l'homme Si derrière chacun de ses désirs se cache Dieu?
Page 43 - Je la retrouve, mais n'ose plus étendre les mains. Senlis est vaporeuse comme une mousseline. Moi, déchirer Senlis ? prenons garde. Où est-elle ? Toits et murs sont un transparent réseau de brume. Notre-Dame livre à l'air...
Page 63 - L'année 1665, le comte de Guiche fut exilé. Un jour qu'elle me faisait le récit de quelques circonstances assez extraordinaires de sa passion pour elle : « Ne trouvez-vous pas, me dit-elle, que, si tout ce qui m'est arrivé et les choses qui y ont relation était écrit, cela composerait une jolie histoire ? Vous écrivez bien, ajouta-t-elle ; écrivez, je vous fournirai de bons Mémoires.
Page 45 - Mes dents courberont ta nuque rétive, je souillerai ta robe, je t'infligerai autant de morsures que de caresses, j'abolirai en toi le souvenir de ta demeure et tu seras, pendant des jours et des nuits, ma sauvage compagne hurlante... jusqu'à l'heure plus noire où tu te retrouveras seule, car j'aurai fui mystérieusement, las de toi, appelé par celle que je ne connais pas, celle que je n'ai pas possédée encore...