Histoire de la peinture en Italie |
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... place , elle prit le pré- texte des malheurs qu'avait éprouvés la jeune Vénitienne , et des dangers qui la menaçaient encore . Elle envoie une vénérable ma- trone , qui lui fait entendre que la grande dame a quelque chose d'important à ...
... place , elle prit le pré- texte des malheurs qu'avait éprouvés la jeune Vénitienne , et des dangers qui la menaçaient encore . Elle envoie une vénérable ma- trone , qui lui fait entendre que la grande dame a quelque chose d'important à ...
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... place des Fontane Amo- rose l'élégance de cet usage . Les surfaces extérieures des grandes murailles sont rarement d'une couleur uniforme ; elles offrent , presque en tous pays , quelque chose de rude et de peu soigné qui éloigne l'idée ...
... place des Fontane Amo- rose l'élégance de cet usage . Les surfaces extérieures des grandes murailles sont rarement d'une couleur uniforme ; elles offrent , presque en tous pays , quelque chose de rude et de peu soigné qui éloigne l'idée ...
Page 39
... places de l'Église étaient dévolues à des cadets de grandes maisons . Ces jeunes gens voyaient bien vite que , pour s'avancer , il fallait de l'esprit et de la politique2 , Léon X , entrant à treize ans dans le college des cardinaux ...
... places de l'Église étaient dévolues à des cadets de grandes maisons . Ces jeunes gens voyaient bien vite que , pour s'avancer , il fallait de l'esprit et de la politique2 , Léon X , entrant à treize ans dans le college des cardinaux ...
Page 47
... place cette inscription au onzième siècle . 2 Le soleil de la civilisation brillait alors à Bagdad , à la cour de calife Moctadar . Lorsqu'il reçut , en 917 , une ambassade de Constantinople , on vit s'élever au milieu d'un de ces ...
... place cette inscription au onzième siècle . 2 Le soleil de la civilisation brillait alors à Bagdad , à la cour de calife Moctadar . Lorsqu'il reçut , en 917 , une ambassade de Constantinople , on vit s'élever au milieu d'un de ces ...
Page 64
... place , dit le roi , je me donnerais un peu de relâche . Et moi aussi , si j'étais roi . - -Puisque rien n'est impossible à tes pinceaux , peins - moi mon royaume . » Quelques instants après , le roi revient à l'ate- lier , et Giotto ...
... place , dit le roi , je me donnerais un peu de relâche . Et moi aussi , si j'étais roi . - -Puisque rien n'est impossible à tes pinceaux , peins - moi mon royaume . » Quelques instants après , le roi revient à l'ate- lier , et Giotto ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 182 - ... effet ils ignorent les premiers principes de la science de l'homme. ' De là l'inanité des disputes sur Racine et Shakespeare, sur Rubens et Raphaël. On peut tout au plus s'enquérir, en faisant un travail de savant, du plus ou moins grand nombre d'hommes qui suivent la bannière de l'auteur de Macbeth ou de l'auteur d'Iphigénie.
Page 180 - Indes, prend la couleur de la plante sur laquelle il vit; moi, qui me nourris des mêmes anecdotes , des mêmes jugements , des mêmes aspects de la nature, comment ne pas jouir de ce talent qui me donne l'extrait de ce que j'aime?
Page 182 - Quelle excellente source de comique pour la postérité ! les la Harpe et les gens du goût français, régentant les nations du haut de leur chaire, et prononçant hardiment des arrêts dédaigneux sur leurs goûts divers, tandis qu'eu effet ils ignorent les premiers principes de la science de l'homme*.
Page 264 - L'œil étincelant, non pas du feu sombre des passions, mais du feu de la saillie. L'expression la plus vive des mouvements de l'âme est dans l'œil, qui échappe à la sculpture. Les yeux modernes seraient donc fort grands. 4° Beaucoup de gaieté. 5° Un fonds de sensibilité. 6° Une taille svelte, et surtout l'air agile de la jeunesse.
Page 169 - Probablement Léonard approcha d'une partie de la science de l'homme, qui même aujourd'hui est encore vierge : la connaissance des faits qui lient intimement la science des passions, la science des idées et la médecine. Le vulgaire des peintres ne considère dans les larmes qu'un signe de la douleur morale.
Page 362 - Michel-Ange; c'est le corps des bienheureux, tous hommes. On distingue la figure d'Enoch. Il ya deux groupes qui s'embrassent ; ce sont des parents qui se reconnaissent. Quel moment ! se revoir après tant de siècles, et à l'instant où l'on vient d'échapper à un tel malheur ! Il était naturel que des prêtres l blâmassent ce transport et soupçonnassent un motif honteux.
Page 213 - L'aisance des fonctions donnera un grand sentiment de bien-être; les idées seront agréables et brillantes, les affections bienveillantes et douces. Mais les habitudes auront peu de fixité : il y aura quelque chose de léger et de mobile dans les affections de l'âme; l'esprit manquera de profondeur et de force : en un mot, ce sera le tempérament sanguin des anciens, avec tous les caractères qu'ils lui prêtent dans leurs descriptions.
Page 6 - ... le Chouan et le Jacobin à être Français, et ce nom, Sire, vous l'avez porté si haut que tôt ou tard ils s'embrasseront au pied de vos trophées. Ce bienfait, le plus grand que la nation pût recevoir, assure à la France une immanquable liberté. Puisse le ciel, Sire, vous accorder des jours assez longs pour voir la France heureuse par la constitution que la dernière de vos Chambres des communes lui a léguée. Alors, Sire, elle vous pardonnera le seul acte de faiblesse qu'elle ait à vous...
Page 94 - C'est un Paul, ou c'est du Baroche. » II n'ya de difficile là-dedans que l'air inspiré. C'est une science comme une autre, qui ne doit décourager personne. Il ne faut, pour y réussir, ni âme ni génie.
Page 372 - To hear a night-shriek; and my fell of hair Would at a dismal treatise rouse and stir As life were in't: I have supp'd full with horrors; Direness, familiar to my slaughterous thoughts, Cannot once start me.