Histoire de la peinture en Italie |
From inside the book
Results 1-5 of 29
Page 12
... élèves à une telle force d'attention 1 , a produit la chose la plus éton- nante que présente l'histoire : la réunion ... élève sans qu'il y attachât une idée nette . La théologie et toutes les sciences vaines qui ne ressemblent à rien ...
... élèves à une telle force d'attention 1 , a produit la chose la plus éton- nante que présente l'histoire : la réunion ... élève sans qu'il y attachât une idée nette . La théologie et toutes les sciences vaines qui ne ressemblent à rien ...
Page 30
... élèves . Il faut des milliers de siècles avant de ramener une telle chance . VENISE . Tandis que les rives de l'Arno voyaient renaître les trois arts du dessin , la peinture seule renaissait à Venise . Ces deux événements ne s'entr ...
... élèves . Il faut des milliers de siècles avant de ramener une telle chance . VENISE . Tandis que les rives de l'Arno voyaient renaître les trois arts du dessin , la peinture seule renaissait à Venise . Ces deux événements ne s'entr ...
Page 33
... élevés dans une grande ignorance de Barême , y laissent aller les choses à leur pente naturelle . Rien de mieux , s'il y avait un principe de vie ; mais le travail est déshonoré ; mais à chaque instant le fleuve terrible de la ...
... élevés dans une grande ignorance de Barême , y laissent aller les choses à leur pente naturelle . Rien de mieux , s'il y avait un principe de vie ; mais le travail est déshonoré ; mais à chaque instant le fleuve terrible de la ...
Page 52
Stendhal. Probablement , dès le temps des Lombards , Florence avait élevé son baptistère sur les ruines d'un temple ... élèves sans doute ; mais ils ne purent montrer que ce qu'ils savaient eux - mêmes ; et la science qu'ils apportèrent ...
Stendhal. Probablement , dès le temps des Lombards , Florence avait élevé son baptistère sur les ruines d'un temple ... élèves sans doute ; mais ils ne purent montrer que ce qu'ils savaient eux - mêmes ; et la science qu'ils apportèrent ...
Page 66
... élèves , et , pour ainsi dire , terminé la révolution des arts , Giotto mourut en 1336. Il était né à Vespignano , près Florence , soixante ans auparavant . Le nom de Giotto , suivant la coutume , n'était que l'abrégé du nom de baptême ...
... élèves , et , pour ainsi dire , terminé la révolution des arts , Giotto mourut en 1336. Il était né à Vespignano , près Florence , soixante ans auparavant . Le nom de Giotto , suivant la coutume , n'était que l'abrégé du nom de baptême ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admire âme André del Sarto Ange antique artistes arts beau idéal beauté belle bilieux Bologne bonheur Buonarotti caractère cardinal célèbre CHAP chapelle chapelle Sixtine CHAPITRE charme chose Cimabue cœur coloris Corrége couleurs dessin Dieu divin Dominiquin donner élèves eût femmes figures Florence force François Ier gens Ghirlandajo Giorgion Giotto graveur Grec homme idées imiter Italie Italien jamais Jean Jésus jeune jour Jugement dernier Jules l'âme l'amour l'antique l'Apollon l'art l'artiste l'église l'esprit l'expression l'homme l'Italie Léon X Léonard de Vinci Louis Madone malheur marbre Masaccio Médicis mélancolique ment Michel-Ange Milan modernes mort mouvement muscles Musée nature noble ouvrages pape passer passions Paul III Paul Véronèse peignit peintre physionomie plaisir poëte premier presque prince qu'un quinzième siècle Raphaël reste ridicule rien Rome saint Saint-Pierre sculpteur sentir serait seul Sixtine statue style sublime tableau talent tempérament tête tion Titien tombeau trouve Vasari Venise voit Voyez yeux
Popular passages
Page 182 - ... effet ils ignorent les premiers principes de la science de l'homme. ' De là l'inanité des disputes sur Racine et Shakespeare, sur Rubens et Raphaël. On peut tout au plus s'enquérir, en faisant un travail de savant, du plus ou moins grand nombre d'hommes qui suivent la bannière de l'auteur de Macbeth ou de l'auteur d'Iphigénie.
Page 180 - Indes, prend la couleur de la plante sur laquelle il vit; moi, qui me nourris des mêmes anecdotes , des mêmes jugements , des mêmes aspects de la nature, comment ne pas jouir de ce talent qui me donne l'extrait de ce que j'aime?
Page 182 - Quelle excellente source de comique pour la postérité ! les la Harpe et les gens du goût français, régentant les nations du haut de leur chaire, et prononçant hardiment des arrêts dédaigneux sur leurs goûts divers, tandis qu'eu effet ils ignorent les premiers principes de la science de l'homme*.
Page 264 - L'œil étincelant, non pas du feu sombre des passions, mais du feu de la saillie. L'expression la plus vive des mouvements de l'âme est dans l'œil, qui échappe à la sculpture. Les yeux modernes seraient donc fort grands. 4° Beaucoup de gaieté. 5° Un fonds de sensibilité. 6° Une taille svelte, et surtout l'air agile de la jeunesse.
Page 169 - Probablement Léonard approcha d'une partie de la science de l'homme, qui même aujourd'hui est encore vierge : la connaissance des faits qui lient intimement la science des passions, la science des idées et la médecine. Le vulgaire des peintres ne considère dans les larmes qu'un signe de la douleur morale.
Page 362 - Michel-Ange; c'est le corps des bienheureux, tous hommes. On distingue la figure d'Enoch. Il ya deux groupes qui s'embrassent ; ce sont des parents qui se reconnaissent. Quel moment ! se revoir après tant de siècles, et à l'instant où l'on vient d'échapper à un tel malheur ! Il était naturel que des prêtres l blâmassent ce transport et soupçonnassent un motif honteux.
Page 213 - L'aisance des fonctions donnera un grand sentiment de bien-être; les idées seront agréables et brillantes, les affections bienveillantes et douces. Mais les habitudes auront peu de fixité : il y aura quelque chose de léger et de mobile dans les affections de l'âme; l'esprit manquera de profondeur et de force : en un mot, ce sera le tempérament sanguin des anciens, avec tous les caractères qu'ils lui prêtent dans leurs descriptions.
Page 6 - ... le Chouan et le Jacobin à être Français, et ce nom, Sire, vous l'avez porté si haut que tôt ou tard ils s'embrasseront au pied de vos trophées. Ce bienfait, le plus grand que la nation pût recevoir, assure à la France une immanquable liberté. Puisse le ciel, Sire, vous accorder des jours assez longs pour voir la France heureuse par la constitution que la dernière de vos Chambres des communes lui a léguée. Alors, Sire, elle vous pardonnera le seul acte de faiblesse qu'elle ait à vous...
Page 94 - C'est un Paul, ou c'est du Baroche. » II n'ya de difficile là-dedans que l'air inspiré. C'est une science comme une autre, qui ne doit décourager personne. Il ne faut, pour y réussir, ni âme ni génie.
Page 372 - To hear a night-shriek; and my fell of hair Would at a dismal treatise rouse and stir As life were in't: I have supp'd full with horrors; Direness, familiar to my slaughterous thoughts, Cannot once start me.