Perles littéraires [a reader]. |
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Page 59
... soleil , me firent chercher un asile . Je trouvai un antre profond et ténébreux , je m'y cachai . A peine y étais - je entré que je vis arriver ce lion . Il s'appuyait douloureuse- ment sur une patte ensanglantée ; la violence de ses ...
... soleil , me firent chercher un asile . Je trouvai un antre profond et ténébreux , je m'y cachai . A peine y étais - je entré que je vis arriver ce lion . Il s'appuyait douloureuse- ment sur une patte ensanglantée ; la violence de ses ...
Page 60
... soleil . Cependant la société de cet ^ animal et ce genre de vie commençant à m'ennuyer , je choisis l'instant où il était allé chasser . Je m'éloignai de la caverne , et après trois jours de marche je tombai entre les mains des soldats ...
... soleil . Cependant la société de cet ^ animal et ce genre de vie commençant à m'ennuyer , je choisis l'instant où il était allé chasser . Je m'éloignai de la caverne , et après trois jours de marche je tombai entre les mains des soldats ...
Page 63
... ardentes et sombres ; le soleil commençait à pâlir ; la surface des eaux , unie et sans mouvement , se couvrait des cou- leurs lugubres dont les teintes variaient sans cesse . Déjà le ciel , tendu et fermé de toutes parts L'ORAGE . 63.
... ardentes et sombres ; le soleil commençait à pâlir ; la surface des eaux , unie et sans mouvement , se couvrait des cou- leurs lugubres dont les teintes variaient sans cesse . Déjà le ciel , tendu et fermé de toutes parts L'ORAGE . 63.
Page 77
... soleil , s'avancer , se retirer avec lui , et voler sur l'aile des zéphyrs à la suite d'un printemps éternel . Les Indiens , frappés de l'éclat et du feu que rendent les couleurs de ces brillants oiseaux , leur avaient donné les noms de ...
... soleil , s'avancer , se retirer avec lui , et voler sur l'aile des zéphyrs à la suite d'un printemps éternel . Les Indiens , frappés de l'éclat et du feu que rendent les couleurs de ces brillants oiseaux , leur avaient donné les noms de ...
Page 79
... soleil tous pren- nent l'essor et se dispersent dans les campagnes . BUFFON . Buffon ( George - Louis Leclerc , comte de ) , membre de l'Académie française et de celle des sciences , né à Montbard , en Bourgogne , en 1707 , et mort à ...
... soleil tous pren- nent l'essor et se dispersent dans les campagnes . BUFFON . Buffon ( George - Louis Leclerc , comte de ) , membre de l'Académie française et de celle des sciences , né à Montbard , en Bourgogne , en 1707 , et mort à ...
Common terms and phrases
adjective ALCESTE âme ANDROMAQUE aspirate ASSUÉRUS beauté Brontin cèdres CÉPHISE chants charme cher ciel cieux cœur Condom Gers consonant CROMWELL DELILLE derivatives Dieu douleur end of words Énée enfants English ennemis Esther femme fille fils final first five fleurs fleuve followed following French génie gloire h mute Histoire naturelle homme j'ai joined jour l'Énéide L'exilé partout l'homme lac d'Averne LADY language larmes Louis Louis XIV LUSIGNAN madame MADAME DE STAËL madame Roland main malheur Mameloucks marked mère middle monde montagnes mort names taken nasal sound nature NÉALA NÉRESTAN nounce ORONTE ouvrages partout est seul passé pauvre pensée père peuple PHILINTE pleurs plural poésie poétique preceded preceding Pronounce pronounced proper names rien rois Rule saint SALVANDY sang seigneur sentiment short siècle silent sort sounded style simple style tempéré sublime substantive syllable temple terre triste verbs VIEIL HORACE voix vowel or h word beginning words ending yeux ZAÏRE
Popular passages
Page 221 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 215 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 196 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 212 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...
Page 260 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne les yeux, sa tombe est près de ce palais ; C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie; C'est là que de sa tombe il rappela sa vie.
Page 156 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 157 - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle ? Peuples de la terre, chantez. Jérusalem renaît* plus charmante et plus belle ; D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Page 120 - Juda, ayant ouï de sa propre bouche qu'il fallait rendre à Dieu ce qui est à Dieu, et à César ce qui est à César...
Page 247 - Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 309 - J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux : Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure ! Si le roi m'avait donné, &c.