Perles littéraires [a reader]. |
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... cours , du côté de la porte d'Aix . L'exhortation qu'il adresse aux habitants est souvent interrompue par ses larmes et celles de l'auditoire . MORALE EN ACTION . LES FLEURS . ( Histoire naturelle ; style poétique . ) Les fleurs ...
... cours , du côté de la porte d'Aix . L'exhortation qu'il adresse aux habitants est souvent interrompue par ses larmes et celles de l'auditoire . MORALE EN ACTION . LES FLEURS . ( Histoire naturelle ; style poétique . ) Les fleurs ...
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... cours des astres à de voluptueux ^ accords , et suspend les châ timents de son Tartare à la lyre de son Orphée . La loi mosaïque , dictée dans les foudres du Sinaï et gravée sur la pierre avec un ciseau de fer , cette loi de servitude ...
... cours des astres à de voluptueux ^ accords , et suspend les châ timents de son Tartare à la lyre de son Orphée . La loi mosaïque , dictée dans les foudres du Sinaï et gravée sur la pierre avec un ciseau de fer , cette loi de servitude ...
Page 75
... cours de la vie , couronné par l'Académie française ; cet ouvrage comprend trois parties bien distinctes : 1. Etude de la première enfance ; 2. Etude de la dernière partie de l'enfance ; 3. Etude de la vie des femmes . DIEU . ( Morale ...
... cours de la vie , couronné par l'Académie française ; cet ouvrage comprend trois parties bien distinctes : 1. Etude de la première enfance ; 2. Etude de la dernière partie de l'enfance ; 3. Etude de la vie des femmes . DIEU . ( Morale ...
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... soit qu'on ne considère que le volume de ses eaux , soit qu'on examine les phénomènes qui accom- pagnent son cours . J'ai vu naguère les sources du que les flots pénétrèrent dans le sanctuaire . Déjà la LE NIL . 66 99.
... soit qu'on ne considère que le volume de ses eaux , soit qu'on examine les phénomènes qui accom- pagnent son cours . J'ai vu naguère les sources du que les flots pénétrèrent dans le sanctuaire . Déjà la LE NIL . 66 99.
Page 99
... soit qu'on ne considère que le volume de ses eaux , soit qu'on examine les phénomènes qui accom- pagnent son cours . J'ai vu naguère les sources du Scamandre , les rives du Simoïs , l'embouchure du Granique LE NIL . 99.
... soit qu'on ne considère que le volume de ses eaux , soit qu'on examine les phénomènes qui accom- pagnent son cours . J'ai vu naguère les sources du Scamandre , les rives du Simoïs , l'embouchure du Granique LE NIL . 99.
Common terms and phrases
ALCESTE âme assez beau beauté beginning belle bras brillante cause célèbre chants charme cher chercher chose ciel cœur consonant corps coup cour d'autres demande dernier devant Dieu dire doit donner douleur éclat élevé enfants enfin ennemis femme fille fils final fleurs fleuve followed font force forme génie gloire Grèce haut heureux homme j'ai jeune jour l'homme laisse long Louis madame main malheur mère milieu mille monde montagnes Morale mort mute nasal nature noble nouvelle nuit ouvrages parler partout passé pauvre peine pendant pensée père personne petits peuple PHILINTE pieds place plein pleurs poésie port premier présent Pronounce pronounced puissance puisse qu'à qu'un raison regards reste rien rois Rule s'il saint sang seigneur semble sentiment serait seul siècle silent simple soins soleil sort sound style syllable terre tête tombe tour trouve verbs vient voilà voit voix vowel Voyez words yeux
Popular passages
Page 219 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 213 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 194 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 210 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...
Page 258 - Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes; En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres ; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne les yeux, sa tombe est près de ce palais ; C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie; C'est là que de sa tombe il rappela sa vie.
Page 154 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 155 - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle ? Peuples de la terre, chantez. Jérusalem renaît* plus charmante et plus belle ; D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants...
Page 118 - Juda, ayant ouï de sa propre bouche qu'il fallait rendre à Dieu ce qui est à Dieu, et à César ce qui est à César...
Page 245 - Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 307 - J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux : Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure ! Si le roi m'avait donné, &c.