Histoire de la Révolution française, Volume 3Lecointe, 1828 - France |
Contents
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Common terms and phrases
10 août accusés armée assemblées assignats attaque autorités Autrichiens avaient Barbaroux Beurnonville Brissot Buzot c'était camp camp de Maulde cause cents Chabot Châlons citoyens Clairfayt Cléry comité de surveillance commissaires commune conseil exécutif conspirateurs constitution convention nationale courage crimes Croix-aux-Bois Cuesmes Custine Danton déclare décret demande départemens députés devait Dillon dit-il Dumouriez émigrés enfin ennemis ensuite envoyé excité fallait fédérés force général girondins Grand-Prey Guadet guerre heures jacobins Jemmapes jour jugement justice Kellerman l'Argonne l'armée l'assem l'assemblée l'ennemi l'inviolabilité Lafayette législative liberté Longwy Louis XVI Louvet Lukner Maillard maire Marat massacres membres ment mille hommes ministre mort municipalité n'avait n'était nation ordonna Pache parole patriotes Pétion peuple place porter pouvait prisonniers prisons procès projet Prussiens question reproches république révolution Rhin Robespierre Roland royale royauté s'était Sainte-Menehould Santerre sauver séance sections Sédan septembre serait seul sur-le-champ Temple tion toyens tribunal tribune troupes vait Valmi vention Vergniaud vote voulaient
Popular passages
Page 353 - En vous parlant peutêtre pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. » Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver, dans l'acte d'accusation, l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués.
Page 335 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 353 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 384 - Citoyens, je vais proclamer le résultat du scrutin. Vous allez exercer un grand acte de justice; j'espère que l'humanité vous engagera à garder le plus profond silence : quand la justice a parlé l'humanité doit avoir son tour.
Page 352 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 388 - C'était une lettre ainsi conçue : Citoyen président, Ma santé depuis longtemps affaiblie me rend l'habitude de la vie d'une assemblée aussi orageuse que la Convention impossible. Mais ce qui m'est plus impossible encore, c'est de supporter la honte de m'asseoir dans son enceinte avec des hommes de sang, alors que leur avis, précédé de la terreur, l'emporte sur celui des gens de bien ; alors que Marat l'emporte sur Pétion. Si l'amour de mon pays m'a fait endurer...
Page 228 - La sensibilité qui gémit presque exclusivement pour les ennemis de la liberté m'est suspecte. Cessez d'agiter sous mes yeux la robe sanglante du tyran, ou je croirai que vous voulez remettre Rome dans les fers.
Page 322 - Juste ciel ! toutes les hordes féroces du despotisme s'apprêtent à déchirer de nouveau le sein de notre patrie au nom de Louis XVI ! Louis combat encore contre nous du fond de sa prison, et l'on doute s'il est coupable, s'il est permis de le...
Page 364 - Critias, les Anitus, les César, les Clodius étaient de la majorité ; mais Socrate était de la minorité, car il avala la ciguë ; Caton était de la minorité, car il déchira ses entrailles.
Page 302 - Ier ; car lorsqu'un peuple est assez lâche pour se laisser dominer par des tyrans, la domination est le droit du premier venu et n'est pas plus sacrée ni plus légitime sur la tête de l'un que sur celle de l'autre.