Histoire de la Franche-Comté ancienne et moderne: précédée d'une description de cette provinceCh. Stèvenard, 1851 - 695 pages |
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... sentait vaincue . L'em- pereur Auguste était venu fréquemment visiter la Gaule , pour s'assurer par lui - même des progrès de sa politique , et pour mieux se pénétrer , en parcourant les provinces , des moyens les plus propres à lui ...
... sentait vaincue . L'em- pereur Auguste était venu fréquemment visiter la Gaule , pour s'assurer par lui - même des progrès de sa politique , et pour mieux se pénétrer , en parcourant les provinces , des moyens les plus propres à lui ...
Page 76
... sentait appuyé par les Séquanais malheureusement , l'armée de Sacrovir se composait en grande partie de jeunes gens inexpérimentés , de campagnards étrangers au métier des armes , et d'esclaves gladiateurs que le poids de 76 FRANCHE ...
... sentait appuyé par les Séquanais malheureusement , l'armée de Sacrovir se composait en grande partie de jeunes gens inexpérimentés , de campagnards étrangers au métier des armes , et d'esclaves gladiateurs que le poids de 76 FRANCHE ...
Page 88
... sentait sa puissance d'action lui échapper . Elle ne reculait devant aucun moyen pour tuer cette doctrine , son ennemie intellectuelle ; car elle voyait que les nouvelles idées , en ébranlant son unité religieuse , ébranlaient aussi son ...
... sentait sa puissance d'action lui échapper . Elle ne reculait devant aucun moyen pour tuer cette doctrine , son ennemie intellectuelle ; car elle voyait que les nouvelles idées , en ébranlant son unité religieuse , ébranlaient aussi son ...
Page 123
... sentait le cœur gonflé d'ambition et d'orgueil enivré de ses triomphes , il songeait à réunir sur sa tête les trois couronnes de la monarchie franke , et ce jeune prince allait marcher contre le roi de Neustrie , Clotaire II , lorsqu'il ...
... sentait le cœur gonflé d'ambition et d'orgueil enivré de ses triomphes , il songeait à réunir sur sa tête les trois couronnes de la monarchie franke , et ce jeune prince allait marcher contre le roi de Neustrie , Clotaire II , lorsqu'il ...
Page 154
... sentait ni la force ni la volonté de se défendre ; les habitants des campagnes , nus , à demi sauvages , couraient se cacher dans les bois à l'approche des Barbares ou se mêlaient à leurs bandes . En 883 , les Normands , s'a- venturant ...
... sentait ni la force ni la volonté de se défendre ; les habitants des campagnes , nus , à demi sauvages , couraient se cacher dans les bois à l'approche des Barbares ou se mêlaient à leurs bandes . En 883 , les Normands , s'a- venturant ...
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Common terms and phrases
Arbois armée armes Austrasiens avaient Barbares barons bataille Besançon Bisontins bourg bourgeois Bourguignons Brunehaut Burgondes c'était cents César Charles Charles-Quint château chef Childebert choses Clotaire Comté de Bourgogne Comtois d'Arlay devait Dôle Dolois Doubs duc de Bourgogne Éduens empereur ennemis état féodal fils force forteresse Franc-Comtois Franche-Comté Franks frère Gaule Gaulois général Gondebaud Gondomar Gontran gouvernement gouverneurs Gray guerre Guillaume habitants Henri Hugues impériale Jean de Chalon Jeanne jour Jura l'archevêque l'armée l'empereur l'empire l'histoire Lacuzon laissait Lons-le-Saulnier Lorraine Louis XI Luxeuil main maison malheureux Marguerite ment mille hommes monastère montagnes Montbéliard mort n'avait noble noblesse Othon paix passer pays peuple Philippe Philippe le Bon Pichegru Poligny politique Pontarlier portait prélat premier prince province Rainaud règne résistance reste Rhin Rodolphe Romains royaume de Bourgogne s'était saint Saint-Claude Salins Saône seigneurs Séquanie seul siècle siége sire soldats sort souverain Suisses terre troupes trouvait venait Vesoul victoire villes vint
Popular passages
Page 672 - La victoire marchera au pas de charge; l'aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher jusqu'aux tours de Notre-Dame.
Page 613 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 615 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 628 - Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des guerriers, prêcher la haine des rois et l'unité de la République.
Page 614 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous, de la Tyrannie L'étendard sanglant est levé (bis) Entendez-vous, dans les campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans vos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 672 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 4 - L'incendie augmente, l'orient paraît tout en flammes : à leur éclat on attend l'astre longtemps avant qu'il se montre : à chaque instant on croit le voir paraître; on le voit enfin. Un point brillant part comme un éclair, et remplit aussitôt tout l'espace ; le voile des ténèbres s'efface et tombe.
Page 629 - Le conseil exécutif provisoire, les ministres, les généraux, les corps constitués, sont placés sous la surveillance du comité de salut public, qui en rendra compte tous les huit jours à la Convention.
Page 616 - C'était dans l'hiver de 1792. La disette régnait à Strasbourg. La maison de Dietrich était pauvre, sa table fru1,. . gale, mais hospitalière pour Rouget de Lisle. Le jeune officier s'y asseyait le soir et le matin comme un fils ou un frère de la famille. Un jour- qu'il n'y avait eu que du pain de munition et quelques tranches de jambon fumé sur la table, Dietrich regarda...
Page 671 - C'est aux conseils de Votre Altesse Royale , à ce glorieux pays et à la confiance de ses habitants que j'attribuerai toujours , après la divine Providence, le rétablissement de notre maison sur le trône de ses ancêtres...