Histoire de la Franche-Comté ancienne et moderne: précédée d'une description de cette provinceCh. Stèvenard, 1851 - 695 pages |
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... qu'on les croirait endormies sur un lit de velours , des sources jaillissantes et des cascades qui bondissent de rocher en rocher , blanchissent de chute en chute , changent en torrents les ruisseaux qu'elles rencontrent et transforment ...
... qu'on les croirait endormies sur un lit de velours , des sources jaillissantes et des cascades qui bondissent de rocher en rocher , blanchissent de chute en chute , changent en torrents les ruisseaux qu'elles rencontrent et transforment ...
Page 21
... un collége fréquenté et un hospice civil bien tenu ; ville assise au fond d ... qu'en 1830 ; les églises de Saint - Pierre et de Saint - François - Xavier ... un caractère imposant , et où l'on voit , au - dessus de la porte d'en- trée ...
... un collége fréquenté et un hospice civil bien tenu ; ville assise au fond d ... qu'en 1830 ; les églises de Saint - Pierre et de Saint - François - Xavier ... un caractère imposant , et où l'on voit , au - dessus de la porte d'en- trée ...
Page 41
... un contre un , à des duels simulés . Ce n'était qu'un jeu d'a- bord ; ils s'attaquaient , se défendaient du bout des mains mais leur arrivait - il de se blesser , la colère les gagnait ; ils se battaient alors sérieusement , et si l'on ...
... un contre un , à des duels simulés . Ce n'était qu'un jeu d'a- bord ; ils s'attaquaient , se défendaient du bout des mains mais leur arrivait - il de se blesser , la colère les gagnait ; ils se battaient alors sérieusement , et si l'on ...
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... un manteau qui s'agrafait sur l'épaule , ou bien une espèce de mantelet assez long pour cacher leurs bras et leurs mains . Une simple coiffe carrée était posée sur leurs cheveux , qu'elles portaient séparés au milieu du front et ...
... un manteau qui s'agrafait sur l'épaule , ou bien une espèce de mantelet assez long pour cacher leurs bras et leurs mains . Une simple coiffe carrée était posée sur leurs cheveux , qu'elles portaient séparés au milieu du front et ...
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... un morne silence : tristes , abattus , immobiles , ils tenaient leurs regards attachés vers la terre . Cette ... qu'il convoitait , et pour asservir du même coup à sa domination les peuples qu'il venait protéger . Le proconsul ne perdit ...
... un morne silence : tristes , abattus , immobiles , ils tenaient leurs regards attachés vers la terre . Cette ... qu'il convoitait , et pour asservir du même coup à sa domination les peuples qu'il venait protéger . Le proconsul ne perdit ...
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Common terms and phrases
Arbois armée armes Austrasiens avaient Barbares barons bataille Besançon Bisontins bourg bourgeois Bourguignons Brunehaut Burgondes c'était cents César Charles Charles-Quint château chef Childebert choses Clotaire Comté de Bourgogne Comtois devait Dôle Dolois Doubs duc de Bourgogne Ébroïn Éduens empereur ennemis état féodal fils force forteresse Franc-Comtois Franche-Comté Franks frère Gaule Gaulois général Gondebaud Gondomar Gontran gouvernement gouverneurs Gray guerre Guillaume habitants Henri Hugues impériale Jean de Chalon Jeanne jour Jura l'archevêque l'armée l'empereur l'empire l'histoire Lacuzon laissait Lons-le-Saulnier Lorraine Louis de Male Louis XI Luxeuil main maison malheureux Marguerite ment mille hommes monastère montagnes Montbéliard mort n'avait noble noblesse Othon paix passer pays peuple Philippe Pichegru Poligny politique Pontarlier portait prélat premier prince province Rainaud règne résistance reste Rhin Rodolphe Romains royaume de Bourgogne s'était saint Saint-Claude Salins Saône seigneurs Séquanie seul siècle siége sire soldats sort souverain Suisses terre troupes trouvait venait Vesoul victoire villes vint
Popular passages
Page 674 - La victoire marchera au pas de charge; l'aigle, avec les couleurs nationales, volera de clocher en clocher jusqu'aux tours de Notre-Dame.
Page 615 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 617 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 630 - Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des guerriers, prêcher la haine des rois et l'unité de la République.
Page 616 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous, de la Tyrannie L'étendard sanglant est levé (bis) Entendez-vous, dans les campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans vos bras Égorger vos fils, vos compagnes.
Page 674 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 4 - L'incendie augmente, l'orient paraît tout en flammes : à leur éclat on attend l'astre longtemps avant qu'il se montre : à chaque instant on croit le voir paraître; on le voit enfin. Un point brillant part comme un éclair, et remplit aussitôt tout l'espace ; le voile des ténèbres s'efface et tombe.
Page 631 - Le conseil exécutif provisoire, les ministres, les généraux, les corps constitués, sont placés sous la surveillance du comité de salut public, qui en rendra compte tous les huit jours à la Convention.
Page 618 - C'était dans l'hiver de 1792. La disette régnait à Strasbourg. La maison de Dietrich était pauvre, sa table fru1,. . gale, mais hospitalière pour Rouget de Lisle. Le jeune officier s'y asseyait le soir et le matin comme un fils ou un frère de la famille. Un jour- qu'il n'y avait eu que du pain de munition et quelques tranches de jambon fumé sur la table, Dietrich regarda...
Page 673 - C'est aux conseils de Votre Altesse Royale , à ce glorieux pays et à la confiance de ses habitants que j'attribuerai toujours , après la divine Providence, le rétablissement de notre maison sur le trône de ses ancêtres...