Oeuvres complètes de P.L. Courier |
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Page 1
... donner à un personnage de sang royal , qu'une revue des écrits de Paul - Louis Courier eût inspiré aujourd'hui M. Ar- mand Carrel tout autrement qu'en 1829. Depuis lors le nom de Paul - Louis Courier a beaucoup grandi ; celui de son bio ...
... donner à un personnage de sang royal , qu'une revue des écrits de Paul - Louis Courier eût inspiré aujourd'hui M. Ar- mand Carrel tout autrement qu'en 1829. Depuis lors le nom de Paul - Louis Courier a beaucoup grandi ; celui de son bio ...
Page 9
... donner l'orgueil et re- mais il fit , sous le titre de Lettre à M. Renouard , vendiquer insolemment l'odieux de ces deux con- libraire de Paris , qui s'était trouvé présent à la quêtes ; voir d'affreuses persécutions éclater jusque ...
... donner l'orgueil et re- mais il fit , sous le titre de Lettre à M. Renouard , vendiquer insolemment l'odieux de ces deux con- libraire de Paris , qui s'était trouvé présent à la quêtes ; voir d'affreuses persécutions éclater jusque ...
Page 11
... donner à un tribut imposé à la faiblesse de beaucoup de gens la couleur d'une amoureuse offrande nationale . Courier fut condamné pour cette brochure à deux mois de prison et à trois cents francs d'amende . On trouva qu'en disant tout ...
... donner à un tribut imposé à la faiblesse de beaucoup de gens la couleur d'une amoureuse offrande nationale . Courier fut condamné pour cette brochure à deux mois de prison et à trois cents francs d'amende . On trouva qu'en disant tout ...
Page 22
... donner la terre au laboureur , c'est le plus grand bien qui se puisse faire en France , depuis qu'il n'y a plus de serfs à affranchir . C'est ce que font ces gens . Mais une terre est détruite ; mais le château , les souvenirs , les ...
... donner la terre au laboureur , c'est le plus grand bien qui se puisse faire en France , depuis qu'il n'y a plus de serfs à affranchir . C'est ce que font ces gens . Mais une terre est détruite ; mais le château , les souvenirs , les ...
Page 25
... donner notre argent à des soldats qui communient et nous sui- cident dans les rues , qui escortent la procession et nous coupent le nez en passant ; à des juges qui appliquent la loi si rudement aux uns , si doucement aux autres ; à des ...
... donner notre argent à des soldats qui communient et nous sui- cident dans les rues , qui escortent la procession et nous coupent le nez en passant ; à des juges qui appliquent la loi si rudement aux uns , si doucement aux autres ; à des ...
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Common terms and phrases
affaire Akerblad amis Amyot assez avez ayant baiser beau belle bientôt c'était Calabre Cambyse Chambord cher cheval chèvres Chloé chose Clavier conte Coraï coup cour crois d'Amyot Daphnis demande Dieu dieux dire disait dit-il donner Dryas écrit Égypte êtes eût faisait femme fille Florence flûte Furia fût garde général gens grec guerre Gygès homme Ibid j'ai j'en jamais jeune jour juges l'autre là-dessus laisser Lamon lettre livres Longus m'en MADAME COURIER main maire maître manuscrit Ménélas ment Messieurs mieux ministre monde Monsieur Myrtale n'ai n'en Naples Nymphes Otanès pamphlet Pamphlet des pamphlets parler passer Paul-Louis Paul-Louis Courier pays peine pense père Périandre Périclès Perses personne peuple Philétas plaisir Polycrate pouvait préfet présent prince prison raison reste rien Rome s'en s'il sais Samiens Samos savez semble sent serait seul Smerdis sorte terre Thucydide tion trouve vais Véretz veux Voilà vois voulait voyant vrai Xénophon
Popular passages
Page 244 - Pour en finir et faire notre partie de billard. Fallait-il rester là tout le jour? Pourquoi ne le voulez-vous pas? — Je ne sais , me dit-il , mais je le croyais fait pour quelque chose de mieux. Voilà le propos du lieutenant, que je ne trouve point tant sot. En effet, que signifie, dis-moi. . . . , un homme comme lui, Bonaparte, soldat, chef d'armée, le premier capitaine du monde, vouloir qu'on l'appelle Majesté!
Page 71 - L'ambition dans l'oisiveté, la bassesse dans l'orgueil, le désir de s'enrichir sans travail, l'aversion pour la vérité, la flatterie, la trahison. la perfidie, l'abandon de tous ses engagements, le mépris des devoirs du citoyen, la crainte de la vertu du prince...
Page 277 - Mon camarade y grimpa seul , et se coucha lout endormi, la tête sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin , j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas , je distinguai...
Page 277 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute; mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez.
Page 87 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 277 - Le souper fini on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé; une soupente élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher...
Page 276 - Nos hôtes avaient bien mines de charbonniers ; mais la maison, vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'étaient que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux ; et par une imprudence que j'aurais dû prévoir...
Page 276 - Un jour je voyageais en Calabre. C'est un pays de méchantes gens, qui, je crois, n'aiment personne, et en veulent surtout aux Français. De vous dire pourquoi, cela serait long; suffit qu'ils nous haïssent à mort, et qu'on passe fort mal son temps lorsqu'on tombe entre leurs mains.
Page 244 - Ce matin, d'Anthouard nous assemble, et nous dit de quoi il s'agissait, mais bonnement, sans préambule ni péroraison. « Un empereur ou la république, lequel est le plus de votre goût? «comme on dit: «Rôti ou bouilli, potage ou soupe, que voulez-vous? » Sa harangue finie, nous voilà tous à nous regarder, assis en rond. « Messieurs, qu'opinez-vous? » Pas le mot : personne n'ouvre la bouche. Cela dura un quart d'heure ou plus, et devenait embarrassant pour d'Anthouard et pour tout le monde,...
Page 6 - ceux qui veulent voir Rome , qu'ils se hâtent , car « chaque jour le fer du soldat et la serre des agents « français flétrissent ses beautés naturelles et la « dépouilleut de sa parure. Permis à vous, Monsieur, « qui êtes accoutumé au langage naturel et noble « de l'antiquité, de trouver ces expressions trop « fleuries, ou même trop fardées ; mais je n'en sais...