C'est à M. Courier, qui seul connaît très-bien les véritables circonstances qui ont malheureusement concouru à faire périr une partie précieuse de l'un des plus fameux manuscrits de l'Europe, c'est à lui qui a fait disparaître un passage si intéressant d'un auteur classique dans le lieu même où cet auteur avait été conservé, et où il avait été admis à le consulter; c'est à lui, dis-je, à se justifier en face du monde savant de son inadvertance et du dommage irréparable qu'il a causé. Mais je pense que je vous ai causé assez d'ennui et de chagrin; je finis en vous souhaitant de la santé et du bonheur. Adieu. De la Bibliothèque Médico-Laurentine.-Florence, le 5 février 1810. FRANCESCO DEL FURIA. FIN DU QUATRIÈME VOLUME. |