Videnskabelige meddelelser fra den Naturhistoriske forening i Kjöbenhavn

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Selskabets Bestyrelse, 1876 - Natural history
 

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Popular passages

Page 451 - Souvent flottent sur l'eau des masses détachées, cotonneuses, composées presque uniquement de cellules globuleuses ou elliptiques, réunies en groupes de formes diverses. Ces masses flottantes sont immobiles ainsi que les cellules isolées qui se trouvent entre elles...
Page 206 - C'est en se laissant aller a des considérations philosophiques de ce genre, et qui certes me sourient, que M. Cohn présente le Pilobulus comme type d'une plante tricellulaire. Pour moi, le Pilobulus des auteurs n'est q'un organe, la cellule fructifère d'une mucorinée, dont le mycélium, il est vrai, est normalement unicellulaire , mais dont les cellules f ruCtif ércs , toujours nombreuses, ne nous permettent pas d'y voir une plante tricellulaire.
Page 210 - Familie, og han beskriver genus saaledes: „Mycelium selbst zur Zeit der Fruchtbildung der Querwände fast ganz entbehrend und diese nur spärlich und vereinzelt an gewissen Seitenzweigen vorhanden. Am Mycelium ist ein System von Hauptästen zu unterscheiden, in diesem bilden sich Anschwellungen, die sich mit Inhalt fiillen und als Fruchtträger- Anlagen sich vom iibrigen Mycelium durch ein oder zwei Wände sondern.
Page 22 - Il est vrai que les bactéries résistent longtemps aux acides , à l'alcali etc. ; niais cela ne me semble pas prouver l'existence d'une membrane, attendu que ce peut être le résultat d'une manière d'être particulière du plasma qui, chez toutes les bactéries, est d'une nature plus consistante que chez les autres plantes. Ainsi, chez les bactéries proprement dites, je ne l'ai jamais vu se retirer de la membrane sous l'action de réactifs, et l'on n'y trouve jamais de mouvement moléculaire...
Page 288 - Discus planus aut convexus, ascis prominentibus papillatus. Asci ampli, curvati, clavati aut oblongo-ovati , sporas 16 ad 128 aut etiam plures includentes, annulo subcrasso conspicuo versum apicem cincti, fissura verticali bilabiata dehiscentes. Paraphyses innumerosæ, interdum furcatæ. Sporæ numerosæ, oblongo fusiformes, intus egranulosæ, episporio hyalino glabro inclusæ, ad maturitatem asci extrimitatem versus in massam ovatam imbricatam plerumqve aggregatæ.
Page 211 - Da die Sporen des P. crystallinus im Fruchtsaft einen Mucor geben, wie im Folgenden gezeigt wird, und somit allen zu den Mucorini gehörenden Pilzen die Mucorform gemeinsam ist, so dachte ich anfangs, dass es zweckmässig wäre, alle diese Pilze unter Mucor zusammenzufassen.
Page 204 - La véritable cause de la projection se trouve, si je ne m' abuse, dans le courant ascendant, dont j'ai déjà parlé plus d'une fois. — En supposant, à bon droit, que les gouttelettes forment la partie la plus claire du liquide intérieure, cette exsudation devrait même activer le phénomène en augmentant la densité du liquide de- la cupule. Il en résulte enfin une implétion extrême, qui provoque une réaction de la part de cette cellule élastique et détermine ainsi l'explosion de la...
Page 318 - ... on peut voir (fig. 34) qu'elle est interrompue à l'un des pôles, et forme un canal qui se continue jusqu'à la spore (2); c'est précisément en regard de ce canal que l'exospore lui-même est percé d'une petite ouverture (keimporus, pore germinatif), destinée à fournir passage à l'endospore, lors de la germination. Le pore germinalif est parfaitement visible, alors que les spores nouvellement...
Page 2 - Les bactéries sont douées en réalité d'une plasticité illimitée, et je crois qu'il faudra renoncer au système de M. Cohn et de quelques autres savants, qui caractérisent les genres et les espèces d'après leur forme. Peut-être aboutirons-nous à un seul genre dont les espèces sont physiologiquement définies (et dont M.
Page 100 - ... spilopus, ont aussi (toujours?) leur bord supérieur clair, ce qui n'est pas le cas chez ce dernier ; serait-ce peut-être l'E. noveboracensis de MM. Mitchill et de Kay ? En tout cas, ce n'est pas l'espèce que Valenciennes considérait comme telle ; car celle-ci avait plus de rayons à l'anale qu'à la dorsale, tandis que ce serait l'inverse chez le vrai E. noveboracensis, qui appartient ainsi à une autre subdivision. Comme mes correspondants de Naples et de Nice m'ont envoyé deux fois cette...

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