Dr. Martin Luther's sämmtliche Werke: Homiletische und katechetische SchriftenC. Heyder, 1806 |
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... sein Herz zu der Haars locke der Frau von Fayel zu fügen und Beides der Dame wohlverwahrt und heimlich zu überbringen . Der Knappe war mit dem Trauergeschenke schon in der Nähe des Schlosses der Dame angekommen als er von ihrem Gemahl ...
... sein Herz zu der Haars locke der Frau von Fayel zu fügen und Beides der Dame wohlverwahrt und heimlich zu überbringen . Der Knappe war mit dem Trauergeschenke schon in der Nähe des Schlosses der Dame angekommen als er von ihrem Gemahl ...
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... sein Leben in Gefahr geschwebt , und er immer besorgt habe , erschlagen zu werden , sen doch sein Herz nie von seiner geliebten Feindin abgewandt , eben so wenig , als in Frankreich , da er an der Gicht gelitten " * ) . Die lehte ...
... sein Leben in Gefahr geschwebt , und er immer besorgt habe , erschlagen zu werden , sen doch sein Herz nie von seiner geliebten Feindin abgewandt , eben so wenig , als in Frankreich , da er an der Gicht gelitten " * ) . Die lehte ...
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... Sein unvollendetes Werk wurde , vermuths lich zu Anfange des vierzehnten Jahrhunderts , forts gesetzt und beendigt von Jean de Meun mit dem Beinahmen Clopinel oder der Lahme , der im Jahr 1279 oder 1280 geboren seyn soll . Ob dies ser ...
... Sein unvollendetes Werk wurde , vermuths lich zu Anfange des vierzehnten Jahrhunderts , forts gesetzt und beendigt von Jean de Meun mit dem Beinahmen Clopinel oder der Lahme , der im Jahr 1279 oder 1280 geboren seyn soll . Ob dies ser ...
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... Sein poetisches Gefühl , so viel ihm das von zu Theil geworden war , riß ihn zuweilen zu les bendigen Darstellungen fort . Aber dieses poetische Gefühl war doch nicht stark genug , ihn über die fros stige Reflexionsallegorie , die nicht ...
... Sein poetisches Gefühl , so viel ihm das von zu Theil geworden war , riß ihn zuweilen zu les bendigen Darstellungen fort . Aber dieses poetische Gefühl war doch nicht stark genug , ihn über die fros stige Reflexionsallegorie , die nicht ...
Page 41
... sein Codicill und sein Testament , zwei didaktisch : satyrische , jeßt kaum noch verstånd : liche Werke sind weniger bekannt geworden . Aber der Roman von der Rose veranlaßte die Entstehung ähnlicher Gedichte . Die Ehre der Damen war ...
... sein Codicill und sein Testament , zwei didaktisch : satyrische , jeßt kaum noch verstånd : liche Werke sind weniger bekannt geworden . Aber der Roman von der Rose veranlaßte die Entstehung ähnlicher Gedichte . Die Ehre der Damen war ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 250 - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
Page 289 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
Page 306 - Du lieu où vous êtes à l'Opéra, vous ne voyez pas le théâtre tout à fait comme il est; on a disposé les décorations et les machines pour faire de loin un effet agréable, et on cache à votre vue ces roues et ces contrepoids qui font tous les mouvements. Aussi ne vous embarrassez-vous guère de deviner comment tout cela joue. Il n'ya peut-être que quelque machiniste caché dans le parterre, qui s'inquiète d'un vol qui lui aura paru extraordinaire. et qui veut absolument démêler comment...
Page 192 - L'un boit du bon , l'autre ne boit du pire. Mais un débat le soir entre eux s'émeut: Car maître abbé toute la nuit ne veut Être sans vin, que sans secours ne meure; Et son valet jamais dormir ne peut, Tandis qu'au pot une goutte en demeure. ( MAROT. ) Voilà une épigramme qui va droit à son but. En voici une qui se replie en...
Page 263 - L'Aurore déployait l'or de sa tresse blonde Et semait de rubis le chemin du Soleil. Enfin ce dieu venait au plus grand appareil Qu'il soit jamais venu pour éclairer le monde; Quand la jeune Philis au visage riant Sortant de son palais plus clair que l'Orient, Fit voir une lumière et plus vive et plus belle. Sacré flambeau du jour n'en soyez point jaloux; Vous parûtes alors aussi peu devant elle, Que les feux de la nuit avaient fait devant vous.
Page 154 - Tel que le vieux pasteur des troupeaux de Neptune ', Protée , à qui le ciel , père, de la Fortune Ne cache aucuns secrets , Sous diverse figure, arbre , flamme , fontaine...
Page 261 - Pavie. Mais s'il demande à quel emploi Tu m'as occupé dans le monde, Et quel bien j'ai reçu de toi, Que veux-tu que je lui réponde ! "Rien," repondit sèchement11 le cardinal, qui voulait donner de lui-même, et n'aimait pas qu'on lui demandât.
Page 240 - Et les désirs des cœurs ambitieux ! Dedans mes champs ma pensée est enclose. Si mon corps dort mon esprit se repose, Un soin cruel ne le va...
Page 79 - Chascun de vous a per qui lui agrée, Et point n'en ay, car Mort, qui m'a trahy, A prins mon per, dont en dueil je languy Sur le dur lit d'Ennuieuse Pensée.
Page 292 - Vous verrez dans une seule vie toutes les extrémités des choses humaines: la félicité sans bornes, aussi bien que les misères; une longue et paisible jouissance d'une des plus nobles couronnes de l'univers; tout ce que peuvent donner de plus glorieux la naissance et la grandeur accumulées sur...