Œuvres completes de Voltaire, Volume 82la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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... m'en lave les mains , et je me borne à mes bofquets et à mes fon- taines . On m'a mandé que la déteftable copie , fur laquelle le détestable Valade avait fait fa déteftable édition , venait d'une autre copie qui avait traîné dans l ...
... m'en lave les mains , et je me borne à mes bofquets et à mes fon- taines . On m'a mandé que la déteftable copie , fur laquelle le détestable Valade avait fait fa déteftable édition , venait d'une autre copie qui avait traîné dans l ...
Page 8
... m'en porte guère mieux . Prefque tout le monde a été malade dans nos cantons , vers l'entrée du printemps . Je n'avais point du tout mérité ma maladie . Les plaifanteries qui ont couru n'avaient , malheureusement pour moi , aucun fonde ...
... m'en porte guère mieux . Prefque tout le monde a été malade dans nos cantons , vers l'entrée du printemps . Je n'avais point du tout mérité ma maladie . Les plaifanteries qui ont couru n'avaient , malheureusement pour moi , aucun fonde ...
Page 17
... m'en tirerai galamment ; mais avouez que tout cela n'eft pas joyeux . La philofophie fait qu'on prend fon parti , mais elle est trop férieuse cette philofophie , et on ne rit point entre des peines préfentes et un anéantiffe- ment ...
... m'en tirerai galamment ; mais avouez que tout cela n'eft pas joyeux . La philofophie fait qu'on prend fon parti , mais elle est trop férieuse cette philofophie , et on ne rit point entre des peines préfentes et un anéantiffe- ment ...
Page 24
... m'en avaient empêché . Je vous fouhaite tout le bonheur que vous méritez , et je fuis sûr que vous l'aurez . On ne peut être plus fenfible que je le fuis à la bonté que vous avez eue de m'écrire : fi j'avais eu de la fanté , j'aurais ...
... m'en avaient empêché . Je vous fouhaite tout le bonheur que vous méritez , et je fuis sûr que vous l'aurez . On ne peut être plus fenfible que je le fuis à la bonté que vous avez eue de m'écrire : fi j'avais eu de la fanté , j'aurais ...
Page 81
... m'en blâmer ; la poëfie a cela de bon , qu'elle permet d'être infolent en vers , quoi- qu'on foit fort miférable en profe . Je fuis un vieillard très - galant avec les dames ; mais plein de reconnaissance pour des hommes éternellement ...
... m'en blâmer ; la poëfie a cela de bon , qu'elle permet d'être infolent en vers , quoi- qu'on foit fort miférable en profe . Je fuis un vieillard très - galant avec les dames ; mais plein de reconnaissance pour des hommes éternellement ...
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affaire affez affurément auffi avez Beaumarchais bontés c'eft c'eſt cher ami cher ange chevalier chofe cœur COMTE D'ARGENTAL confeil confolation Correfp d'augufte d'Etallonde daignez demande difait DUC DE RICHELIEU efprit eft vrai embraffe envoyé eſt êtes fage fais fans doute fanté favez favoir fefait femble fens fentir fera Ferney fervice fervir feul fiècle fieur foit fommes fonge font fous fuis fujet furtout gens J'ai l'honneur d'être j'ofe jamais jeune homme jufte juftice Kain l'efprit laiffer Lalli LETTRE Lois de Minos long-temps Louis XIV m'avez madame d'Argental MADAME DE SAINT-JULIEN Madame Denis madame la ducheffe Mairet malade de Ferney mande maréchal maréchal de Richelieu MARECHAL DUC MARQUISE DU DEFFANT mauvaiſe miniftre Monfieur mont Jura Morangiés MORIVAL n'eft n'eſt paffer paffion parlement penfe perfonne philofophe plaifir préfent prefque procès Pruffe puiffe quatre-vingts ans raiſon reconnaiſſance refpect refte remercier Richelieu rien s'eft ſon Sophonisbe Turgot vieux malade