Histoire de mon temps: 1824-1830E. Plon, Nourrit, 1895 - France |
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Popular passages
Page 417 - La chambre des députés a le droit d'accuser les ministres, et de les traduire devant la chambre des pairs, qui seule a celui de les juger.
Page 305 - Il respectera nos droits, car il tiendra de nous les siens. Nous nous assurerons par des lois toutes les garanties nécessaires pour rendre la liberté forte et durable. « Le rétablissement de la garde nationale, avec l'intervention des gardes nationaux dans le choix des officiers...
Page 220 - Sire, notre loyauté, notre dévoûment, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. Une défiance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration : votre peuple s'en afflige, parce qu'elle est injurieuse pour lui ; il s'en inquiète, parce qu'elle est menaçante pour ses libertés.
Page 218 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 221 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui, avec une conviction profonde, venons déposer dans votre sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi, que la haute sagesse de Votre Majesté prononce!
Page 299 - Continuez donc à soutenir, avec la constance et la vigueur qui conviennent au soldat français, la lutte que vous avez commencée. La France l'attend de vous, l'Europe entière a les yeux sur vous.
Page 340 - Provocateurs de coups d'État, prédicateurs du pouvoir constituant, où êtes-vous ? Vous vous cachez dans la boue du fond de laquelle vous leviez vaillamment la tête pour calomnier les vrais serviteurs du roi ; votre silence d'aujourd'hui est digne de votre langage d'hier. Que tous ces preux dont les exploits projetés...
Page 315 - Le roi, ayant jugé convenable de retirer ses ordonnances du 25 juillet, approuve que les Chambres se réunissent le 3 août, et il veut espérer qu'elles rétabliront la tranquillité en France. « Le roi attendra ici le retour de la personne chargée de porter à Paris cette déclaration. « Si l'on cherchait à attenter à la vie du roi et de sa famille, ou à leur liberté, il se défendra jusqu'à la mort. « Fait à Rambouillet, le 1
Page 233 - J'avais droit de compter sur son concours pour faire le bien que je méditais ; elle me l'a refusé. Comme père de mon peuple , mon cœur s'en est affligé ; comme roi , j'en ai été offensé •• j'ai prononcé la dissolution de cette chambre.