Mémoires de la Société académique des sciences, arts, belles-lettres, argriculture & industrie de Saint-Quentin: Société académique des sciences arts, belles lettres et agriculture [et industrie] de Saint Quentin (Aisne). Travaux de 1855-1875Imprimerie du Guetteur, 1874 |
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7 heures Académie des Sciences Aisne années Antoine Bénézet arrondissement de Saint-Quentin Auguste Baromètre Baromètre maximum Bénézet Berthenicourt Beuvray Bibracte Blérancourt Chauny choses clavelée cœur Commission concours Conseil Coucy Coucy-la-Ville cultivateur Daudville devait devoir Dieu docteur-médecin donner élèves enfants esprit extér femme Folembray Gaulois général guerre heures du matin heures du soir HEURES MOYENNE jours HEURES NEUF HEURES hommes intelligence j'ai Jean Hennuyer l'abbaye d'Isle l'auteur l'éducation l'Eglise l'esprit l'histoire l'homme LADY MACDUFF Laon Lecocq Lettres liberté Macbeth MACDUFF maire MALCOLM manufacturier médaille membre titulaire mémoire ment Messieurs morale mort Moyennes mensuelles négociant NEUF HEURES MOYENNE officinalis Omer Talon Parlement pensée peuple pierre Pluie en millimètres premier propriétaire Quentin Quierzy raison reine religieux reste Rocourt roman Saint Saint-Quentin seigneur sentiments serait seul siècle Société académique Société d'Agriculture Société des Sciences souvent Suétone terre Thenelles Tibère tion troupeau trouve Tugny vent à midi Vermandois Villers-le-Sec vulgaris zéro
Popular passages
Page 264 - Ont sur ce don fatal vomi toutes leurs pestes. L'amour à tous mes sens ne fut jamais si doux Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune : Moi-même en les cueillant je fis pâlir la lune, Quand, les cheveux flottants, le bras et le pied nu, J'en dépouillai jadis un climat inconnu.
Page 315 - Pendant son enfance, une femme doit dépendre de son père ; pendant sa jeunesse, elle dépend de son mari ; son mari étant mort, de ses fils, si elle n'a pas de fils, des proches parents de son mari, ou à leur défaut de ceux de son père ; si elle n'a pas de parents paternels, du souverain ; une femme ne doit jamais se gouverner à sa guise.
Page 248 - César : là le tyran fut immolé en plein sénat, sans autre formalité que vingt-trois coups de poignard, et sans autre loi que la liberté de Rome ; et aujourd'hui l'on fait avec respect le procès d'un homme assassin d'un peuple, pris en flagrant délit, la main dans le sang, la main dans le crime...
Page 280 - JOAS Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 176 - ... ajoutez à cette pensée, madame, la calamité des provinces, dans lesquelles l'espérance de la paix, l'honneur des batailles gagnées, la gloire des provinces conquises, ne peut nourrir ceux qui n'ont point de pain, lesquels ne peuvent compter les myrtes, les palmes et les.
Page 164 - ... d'ailleurs les captures et exécutions, dans lesquelles consiste la principale utilité de l'affaire, dépendent de la vigilance et prud'homic des prévôts des maréchaux, gens corrompus et sans foi, desquels il ne faut rien espérer qu'avec grand soin et assiduité à veiller sur leurs actions. En dernier lieu, ceux qui échappent l'occasion des Grands Jours et qui n'y sont pas punis, ils en deviennent plus insolents et oppriment avec plus de liberté, s'imaginant avoir évité un péril auquel...
Page 423 - Mémoires de l'Académie des Sciences, Agriculture, Commerce , Belles-Lettres et. Arts du département de la Somme.
Page 263 - Black spirits and white ; red spirits and gray ; Mingle, mingle, mingle, you that mingle may. • Titty, tiffin, Keep it stiff in; Firedrake, Puckey, Make it lucky ; Liard, Robin, You must bob in. Round, around, around, about, about ; All ill come running in ; all good keep out ! 1st Witch.
Page 202 - telle qu'elle puisse être , quoique tous ceux de sa « robe et de sa condition qui ont et bien et mal servi « aient été bien traités de la cour, il croit qu'il sera « bienséant qu'il ajoute à la médiocrité de sa fortune « le repos et la tranquillité de son esprit, qu'il songe « à sa santé , infiniment altérée depuis quatre années : « par le moyen de quoi il espère de satisfaire à tout « le monde, de contenter la Reine qui n'approuve
Page 166 - ... naires de nos charges , nous souhaitons , sire , « que votre sortie soit salutaire et bienfaisante ; « que si Votre Majesté nous donne de la terreur, « d'autant que la place en laquelle vous êtes « assis est le siège d'une lumière laquelle nous « éblouit , descendez , sire , pour considérer la « douleur de la première compagnie de votre « royaume ; abaissez , s'il vous plaît , le ciel...