DE M. L. RACINE De l'Académie Royale des Inscriptions TOME SECON D. QUIRENFERME LE RECUEIL DES LETTRES DE MR. J. RACINE. FAUTES à corriger dans ce Volume. Pag. 13. lig. 23. qu'elle lif. qu'elles. Pag. 19. lig.. 10. préferve lif. me préserve. Pag. 22. lig. 27 & 28. ne lifez pas. Mais je n'y ai pas pris affez bien. Pag. 25. lig. 7. DE lif. A. Pag. 127. lig. 14. Du lif. Au. Pag. 133. lig. 24 aifé. lif. aife. Fag 204. lig. 28. d'entre lif. d'être. Pag. 207. lig. 10. fait. lif fait. Pag. 221. lig. 8. au Paris. lif. à Paris, Pag. 226. Note fecretaire. lif. de Secrétaire. Note. La Lettre dattée du 13. Juin. Pag. 233. doit préceder celle du 15. Juin de la Pag. 231 Pag. 238. lig. 32 & 33. elle elle. li. elle. Pag, 279. lig. 20. d'exhortation. lif. d'exhortations. Pag. 301. lig. 3. vingt cinq. li. vingt cinq ans. Pag. 332. lig. 1. Pofficice. lif. Poffice. Pag. 338. lig. 19. l'introit. lif. l'introit. AVERTISSEMENT. Omme M. l'Abbé d'Olivet, qui avoit lu quelques-unes des Lettres fuivantes en a parlé dans fon XXX Hiftoire de l'Académie Françoife, en difant qu'elles font pleines d'efprit, & écrites avec une exactitude & une beauté de ftyle, qui eft ordinairement le fruit d'un long exercice, on me fauroit mauvais gré fi je ne les faifois pas connoître ; & quoiqu'elles foient peu férieufes, loin d'avoir de la répugnance à les donner, je n'ai pas un meilleur moyen pour détromper ceux qui s'imaginent que celui qui a fi bien peint l'amour dans fes Vers, en étoit toujours occupé. S'il y eût été livré, même dans fa jeuneffe, il ne fe fût pas rendu capable de le peindre fi bien. Voici des Lettres écrites en toute liberté, & en fortant de Port-Royal, dont il n'avoit plus à craindre les remontrances: on les peut appeller fes Juvenilia. Il les écrit à un jeune ami, qu'il foupçonne quelquefois d'être amoureux: il ne s'attendoit pas qu'elles duffent être lues par d'autres: il n'a jamais fu qu'on les eût confervées. M. l'Abbé Dupin, qui les avoit recueillies, nous les a rendues. Dans ces Lettres cependant, écrites librement, le badinage eft fi innocent, que je n'ai jamais rien trouvé qui ait dû m'obliger à en fupprimer Tom. II. A une |