La Bruyère dans la maison de Condé: Études biographiques et historiques sur la fin du XVIIe siècle, Volume 2Firmin-Didot et cie, 1886 - France |
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... fils , de Mme la Princesse , de M. le Duc et de Mme la Duchesse . Situation particulière de la Bruyère auprès des Altesses auxquelles il est attaché . Leçons de littérature à Mme la Duchesse , de blason à M. le Duc . Quelles sont les ...
... fils , de Mme la Princesse , de M. le Duc et de Mme la Duchesse . Situation particulière de la Bruyère auprès des Altesses auxquelles il est attaché . Leçons de littérature à Mme la Duchesse , de blason à M. le Duc . Quelles sont les ...
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... fils , vous n'avez plus de père ! » lui avait dit le grand Condé mourant . La terrible signification de ces deux mots si simples sera expliquée ainsi par la Bruyère ( 1 ) : « Il apparaît de temps en temps sur la surface de la terre ...
... fils , vous n'avez plus de père ! » lui avait dit le grand Condé mourant . La terrible signification de ces deux mots si simples sera expliquée ainsi par la Bruyère ( 1 ) : « Il apparaît de temps en temps sur la surface de la terre ...
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... fils unique du maréchal de ce nom et colonel de régiment de Royal - Comtois , le comte de Ché- merault , colonel de l'un des quatorze nouveaux régiments , le marquis de Château - Renault , colonel du régiment de Cambrésis , tous hommes ...
... fils unique du maréchal de ce nom et colonel de régiment de Royal - Comtois , le comte de Ché- merault , colonel de l'un des quatorze nouveaux régiments , le marquis de Château - Renault , colonel du régiment de Cambrésis , tous hommes ...
Page 17
... fils , le tira de dessous son cheval , l'emporta sur ses épaules , le remonta et lui sauva la vie . Condé lui avait promis la décoration du Saint - Esprit , et M. de Lussan ne l'avait jamais reçue . Alors ( 2 ) , quoique gentilhomme de ...
... fils , le tira de dessous son cheval , l'emporta sur ses épaules , le remonta et lui sauva la vie . Condé lui avait promis la décoration du Saint - Esprit , et M. de Lussan ne l'avait jamais reçue . Alors ( 2 ) , quoique gentilhomme de ...
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... fils du maréchal . Le roi se mit en colère . Le maréchal de Bellefonds mena son fils auprès de Mme d'Arpajon lui demander pardon , et il emmena chez lui une de ses filles qui avait été jusque - là auprès de la Dauphine . La fin du ...
... fils du maréchal . Le roi se mit en colère . Le maréchal de Bellefonds mena son fils auprès de Mme d'Arpajon lui demander pardon , et il emmena chez lui une de ses filles qui avait été jusque - là auprès de la Dauphine . La fin du ...
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Common terms and phrases
affaires aimait Altesse assez avaient beau Benserade Boileau Bonrepaus Bossuet Bruyère Bussy c'était caractère Chantilly Chap chose cœur cour courtisans Dangeau Dauphine dévot Dieu dire disait discours dit-il donner duc d'Estrées duc de Chartres duc du Maine écrivait édition ennemis esprit eût faisait femme Fénelon fille Fontenelle fortune gens gloire Gourville goût gouverner homme jamais jour Journal de Dangeau l'abbé l'esprit laisser Lassay lettre livre Louis XIV Louvois maison de Condé Majesté ment Mercure galant mérite Michallet mieux ministre Mme de Caylus Mme de Maintenon Mme de Sévigné Mme la Duchesse Mme la Princesse mœurs monde Monseigneur moraliste mort n'avait n'était parler passer pense père personne peuple Philippsbourg philosophe plaisir poète politique Pontchartrain pouvait prince d'Orange prince de Conti princesse de Conti rien s'en s'était s'il saint Saint-Simon Santeul savait sentiments serait seul siècle sorte Sourches talent Théobaldes Tourreil trouve Vauban Versailles vertu VIII Voilà voulait
Popular passages
Page 324 - Giton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l'estomac haut, la démarche ferme et délibérée; il parle avec confiance, il fait répéter celui qui l'entretient...
Page 280 - II ya des misères sur la terre qui saisissent le cœur; il manque à quelques-uns jusqu'aux aliments; ils redoutent l'hiver, ils appréhendent de vivre. L'on mange ailleurs des fruits...
Page 325 - Phédon a les yeux creux, le teint échauffé, le corps sec et le visage maigre : il dort peu et d'un sommeil fort léger; il est abstrait , rêveur, et il a avec de l'esprit l'air d'un stupide ; il oublie de dire ce qu'il sait , ou de parler d'événements qui lui sont connus : et , s'il le fait quelquefois , il s'en tire mal ; il...
Page 165 - ... s'il enlève un ragoût de dessus un plat, il le répand en chemin dans un autre plat et sur la nappe; on le suit à la trace...
Page 138 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 219 - ... c'est un monstrueux assemblage d'une morale fine et ingénieuse et d'une sale corruption...
Page 525 - La raison tient de la vérité, elle est une; l'on n'y arrive que par un chemin, et l'on s'en écarte par mille; l'étude de la sagesse a moins d'étendue que celle que l'on ferait des sots et des impertinents. Celui qui n'a vu que des hommes polis et raisonnables, ou ne connaît pas l'homme, ou ne le connaît qu'à demi ; quelque diversité qui se trouve dans les complexions ou dans les mœurs, le commerce du monde et la politesse donnent 1.
Page 79 - Il ne faut pas juger des hommes comme d'un tableau ou d'une figure, sur une seule et première vue; il ya un intérieur et un cœur qu'il faut approfondir. Le voile de la modestie couvre le mérite, et le masque de l'hypocrisie cache la malignité.
Page 129 - Pères, si éloignée de la vérité ! s'ils voyaient dans leurs ouvrages plus de tour et de délicatesse, plus de politesse et d'esprit, plus de richesse d'expression et plus de force de raisonnement , des traits plus vifs et des grâces plus naturelles , que l'on n'en remarque dans la plupart des livres de ce temps, qui sont lus avec goût, qui donnent du nom et de la vanité à leurs auteurs.
Page 533 - Zénobie , qui agitent votre empire , ni la guerre « que vous soutenez virilement contre une nation puissante depuis la « mort du roi votre époux, ne diminuent rien de votre magnificence. « Vous avez préféré à toute autre contrée les rives de l'Euphrate, « pour y élever un superbe édifice : l'air y est sain et tempéré; la si...