Journal de l'Institut historique, Volumes 1-3L'Institut historique, 1834 - France |
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... souvent dupes de leurs propres illusions , je n'ai pas besoin de m'appuyer de faits douteux et contestés pour agrandir les preuves déjà bien établies de l'influence des Gaulois sur l'origine de l'éloquence romaine et sur les voies qui ...
... souvent dupes de leurs propres illusions , je n'ai pas besoin de m'appuyer de faits douteux et contestés pour agrandir les preuves déjà bien établies de l'influence des Gaulois sur l'origine de l'éloquence romaine et sur les voies qui ...
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... souvent les Grecs et les Romains . Heureusement , les témoi- gnages qu'ils n'ont pu retenir , contredisent les injures qu'ils ont prodiguées . Ces témoi- gnages , et je n'en ai point invoqué d'autres , suffisent pour restituer la gloire ...
... souvent les Grecs et les Romains . Heureusement , les témoi- gnages qu'ils n'ont pu retenir , contredisent les injures qu'ils ont prodiguées . Ces témoi- gnages , et je n'en ai point invoqué d'autres , suffisent pour restituer la gloire ...
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... souvent des germes précieux , qui seront excités , vivi- fiés , développés , et qui ne tarderont pas à porter leurs fruits . On est également tombé d'accord sur ce point , que , si les Congrès scientifiques doivent rester entièrement ...
... souvent des germes précieux , qui seront excités , vivi- fiés , développés , et qui ne tarderont pas à porter leurs fruits . On est également tombé d'accord sur ce point , que , si les Congrès scientifiques doivent rester entièrement ...
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... souvent monotonie et discussion sophistique , l'on y remarque aussi souvent l'empreinte d'un ta- lent véritable , l'on y voit de puissans efforts d'imagination , de la sensibilité , de la raison ; et c'est ce qui m'a fait vous soumettre ...
... souvent monotonie et discussion sophistique , l'on y remarque aussi souvent l'empreinte d'un ta- lent véritable , l'on y voit de puissans efforts d'imagination , de la sensibilité , de la raison ; et c'est ce qui m'a fait vous soumettre ...
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... souvent arrachées à leurs pères ? Que dans un pays comme la France où règne la liberté , où l'égalité des cultes pénètre tous les jours plus avant dans les mœurs , où la loi ne reconnaît que des hommes , on méprise ceux qui restent ...
... souvent arrachées à leurs pères ? Que dans un pays comme la France où règne la liberté , où l'égalité des cultes pénètre tous les jours plus avant dans les mœurs , où la loi ne reconnaît que des hommes , on méprise ceux qui restent ...
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Popular passages
Page 173 - Chroniques de Jean d'Anton, publiées pour la première fois en entier, d'après les manuscrits de la bibliothèque du Roi, avec une notice et des notes par Paul L.
Page 144 - ... large et abandonné : et entretenoit par sa largesse ceux « de ses serviteurs dont il se vouloit servir ; et aux autres « donnoit congé légèrement : et leur donnoit le bond à la
Page 142 - Seyssel , l'un de ses historiens , dit que « les défenses de chasses dont il se délectait , étaient si âpres et si sévères qu'il était plus rémissible de tuer un homme qu'un cerf ou un sanglier.
Page 220 - Le bambin, le poupon, le marmot a trouvé les trois labiales; il bée, il baye, il balbutie, il bégaye, il babille, il blatère, il bêle, il bavarde, il braille, il boude, il bouque, il bougonne sur une babiole, sur une bagatelle, sur une billevesée, sur une bêtise, sur un bébé, sur un bonbon, sur un bobo, sur le bilboquet pendu à l'étalage du bimbelotier.
Page 176 - Sarrasins, selon les uns, les Escualdunacs ou les Vascons, selon les autres, et peut-être les trois peuples à la fois, parurent au sommet des montagnes, firent rouler sur les troupes des fragments de rochers, obscurcirent l'air de leurs flèches, et, malgré les prouesses des paladins, mirent de toutes parts les Francs en désordre et en firent un épouvantable carnage. « Ce chant, comme tout ce qui n'est pas écrit, a sans doute changé en passant de bouche en bouche, et je l'ai retrouvé, avec...
Page 179 - Ils fuient! ils fuient! où est donc la haie de lances? Où sont ces bannières versicolorées flottant au milieu ! Les éclairs ne jaillissent plus de leurs armes souillées de sang. Combien sont-ils? enfant, compte-les bien : Vingt, dix-neuf, dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un. Un ! il n'y en a même plus un.
Page 108 - ... hommes illustres , celle des familles de ces illustres défunts, et la bienveillance aussi des hauts dignitaires de l'Université, dont il avait le courage de défendre la cause contre le Roi, le Pape et saint Thomas. — D'où venait donc sa pénurie? Hélas ! c'est qu'il faut bien le reconnaître , les malheurs du temps avaient rendu avares les plus prodigues, et les Croisades tarissaient tous les trésors, excepté ceux du clergé. Notre poète ne l'ignore pas, car il écrit : — Qu'à présent...
Page 78 - Mélanésie, tant elle déplaît à ces peuplades, dont la langue est aussi douce que l'italienne et la portugaise. — Les Malais ont la taille bien faite; leur stature est moyenne et carrée, et ils ont peu d'embonpoint; leurs pieds, quoiqu'ils marchent sans chaussure, sont très-petits. Le sagou, le riz, les épiceries et les poissons , sont leur nourriture ordinaire.
Page 141 - Toisou-d'Or. chesse par le bras et la vouloit mettre audessus de lui , ce qu'elle n'eût jamais fait ; toutefois il en pressa tant madame , qu'elle lui dit: « Monsieur , il semble que vous avez désir que l'on se moque de moi, car vous me voulez faire faire ce qui ne m'appartient pas. » Monsieur le Dauphin disoit que non , et qu'il lui devoit...
Page 330 - ... les familles comme le bétail ; d'autres enfin, privés par une seule défaite de tout ce qui fait que la vie vaut quelque chose, se résignant à voir l'étranger assis en maître à leurs propres foyers, ou, frénétiques de désespoir, courant à la forêt pour y vivre comme vivent les loups, de rapine, de meurtre et d'indépendance.