Journal de l'Institut historique, Volumes 1-3L'Institut historique, 1834 - France |
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... lettres : elle en ignorait même l'usage , lorsqu'on les professait publiquement dans les grandes cités des Gaules . Ovide convient , dans le 3o livre de ses Fastes , qu'alors Rome ne connaissait d'autre élo- quence que celle de la force ...
... lettres : elle en ignorait même l'usage , lorsqu'on les professait publiquement dans les grandes cités des Gaules . Ovide convient , dans le 3o livre de ses Fastes , qu'alors Rome ne connaissait d'autre élo- quence que celle de la force ...
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... lettres firent de si grands progrès sous les professeurs Gaulois , que plus de vingt écoles célèbres furent ouvertes , et qu'on y vit accourir les premiers citoyens de Rome . Lucius Plotius qui , selon Sénèque et Suétone , ouvrit le ...
... lettres firent de si grands progrès sous les professeurs Gaulois , que plus de vingt écoles célèbres furent ouvertes , et qu'on y vit accourir les premiers citoyens de Rome . Lucius Plotius qui , selon Sénèque et Suétone , ouvrit le ...
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... lettres aux Romains , et je crois l'avoir démontré autant qu'un fait historique peut l'être . Ce fait n'empêche nullement l'influence postérieure des Grecs sur la littérature et sur les arts des Romains ; mais le premier honneur ...
... lettres aux Romains , et je crois l'avoir démontré autant qu'un fait historique peut l'être . Ce fait n'empêche nullement l'influence postérieure des Grecs sur la littérature et sur les arts des Romains ; mais le premier honneur ...
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... lettres , lorsque Rome était encore barbare . Il devient donc facile d'admettre que les Gaulois qui ouvrirent à Rome les premières voies de la civilisa- tion par l'enseignement public , d'après les témoignages des auteurs latins eux ...
... lettres , lorsque Rome était encore barbare . Il devient donc facile d'admettre que les Gaulois qui ouvrirent à Rome les premières voies de la civilisa- tion par l'enseignement public , d'après les témoignages des auteurs latins eux ...
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... lettres et dans les arts . comme Ne nous étonnons point de l'enthousiasme qui entraînait l'élite des Romains dans la Grèce c'était comme une secrète inquiétude de gloire . Le génie avait besoin de l'aspect de ces climats , et de voir en ...
... lettres et dans les arts . comme Ne nous étonnons point de l'enthousiasme qui entraînait l'élite des Romains dans la Grèce c'était comme une secrète inquiétude de gloire . Le génie avait besoin de l'aspect de ces climats , et de voir en ...
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Popular passages
Page 173 - Chroniques de Jean d'Anton, publiées pour la première fois en entier, d'après les manuscrits de la bibliothèque du Roi, avec une notice et des notes par Paul L.
Page 144 - ... large et abandonné : et entretenoit par sa largesse ceux « de ses serviteurs dont il se vouloit servir ; et aux autres « donnoit congé légèrement : et leur donnoit le bond à la
Page 142 - Seyssel , l'un de ses historiens , dit que « les défenses de chasses dont il se délectait , étaient si âpres et si sévères qu'il était plus rémissible de tuer un homme qu'un cerf ou un sanglier.
Page 220 - Le bambin, le poupon, le marmot a trouvé les trois labiales; il bée, il baye, il balbutie, il bégaye, il babille, il blatère, il bêle, il bavarde, il braille, il boude, il bouque, il bougonne sur une babiole, sur une bagatelle, sur une billevesée, sur une bêtise, sur un bébé, sur un bonbon, sur un bobo, sur le bilboquet pendu à l'étalage du bimbelotier.
Page 176 - Sarrasins, selon les uns, les Escualdunacs ou les Vascons, selon les autres, et peut-être les trois peuples à la fois, parurent au sommet des montagnes, firent rouler sur les troupes des fragments de rochers, obscurcirent l'air de leurs flèches, et, malgré les prouesses des paladins, mirent de toutes parts les Francs en désordre et en firent un épouvantable carnage. « Ce chant, comme tout ce qui n'est pas écrit, a sans doute changé en passant de bouche en bouche, et je l'ai retrouvé, avec...
Page 179 - Ils fuient! ils fuient! où est donc la haie de lances? Où sont ces bannières versicolorées flottant au milieu ! Les éclairs ne jaillissent plus de leurs armes souillées de sang. Combien sont-ils? enfant, compte-les bien : Vingt, dix-neuf, dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un. Un ! il n'y en a même plus un.
Page 108 - ... hommes illustres , celle des familles de ces illustres défunts, et la bienveillance aussi des hauts dignitaires de l'Université, dont il avait le courage de défendre la cause contre le Roi, le Pape et saint Thomas. — D'où venait donc sa pénurie? Hélas ! c'est qu'il faut bien le reconnaître , les malheurs du temps avaient rendu avares les plus prodigues, et les Croisades tarissaient tous les trésors, excepté ceux du clergé. Notre poète ne l'ignore pas, car il écrit : — Qu'à présent...
Page 78 - Mélanésie, tant elle déplaît à ces peuplades, dont la langue est aussi douce que l'italienne et la portugaise. — Les Malais ont la taille bien faite; leur stature est moyenne et carrée, et ils ont peu d'embonpoint; leurs pieds, quoiqu'ils marchent sans chaussure, sont très-petits. Le sagou, le riz, les épiceries et les poissons , sont leur nourriture ordinaire.
Page 141 - Toisou-d'Or. chesse par le bras et la vouloit mettre audessus de lui , ce qu'elle n'eût jamais fait ; toutefois il en pressa tant madame , qu'elle lui dit: « Monsieur , il semble que vous avez désir que l'on se moque de moi, car vous me voulez faire faire ce qui ne m'appartient pas. » Monsieur le Dauphin disoit que non , et qu'il lui devoit...
Page 330 - ... les familles comme le bétail ; d'autres enfin, privés par une seule défaite de tout ce qui fait que la vie vaut quelque chose, se résignant à voir l'étranger assis en maître à leurs propres foyers, ou, frénétiques de désespoir, courant à la forêt pour y vivre comme vivent les loups, de rapine, de meurtre et d'indépendance.