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Le tome 2, 572 pages et une table des noms propres. Il commence à Jean de Bourgogne, et finit au 12 octobre 1492.

Cette chronique, souvent citée dans l'ouvrage imprimé de Charles Custis, est de Nicolas Despars, bourgmestre de Bruges, décédé en 1597.

L'auteur de l'autre chronique, qui est également en flamand, raconte, au fol. 79 verso, que le comte Baudouin, empereur de Constantinople, qu'on avait cru mort à la suite de la bataille d'Andrinople contre les Bulgares, avait été fait prisonnier et envoyé comme esclave en Syrie, où on lui faisait labourer la terre; là, des marchands d'Allemagne étant venus à passer auprès de lui, il comprit leur langage, et ceux-ci l'emmenèrent jusqu'à Cologne, d'où il envoya un message à la comtesse Jehanne, sa fille, pour lui annoncer son retour, et que dans quatorze jours il serait à Lille; mais Ferrand, qui avait épousé Jehanne, le fit arrêter et pendre à un arbre, à un demi-mille de Lille, à l'endroit où était l'abbaye d Marquette.-Cette anecdote est un appendice aux intéressantes recherches de M. le mar quis de Fortia sur le faux Baudouin.

Au fol. 79 verso, à l'année 1234, il est dit que Jehanne, étant décédée, fut enterrée à ce couvent de Marquette qu'elle avait fondé et fait construire. Le texte ajoute, qu'à l'endroi où était le grand autel, s'élevait jadis l'arbre auquel avait été pendu le bon comte Baudouin, empereur de Constantinople. Du reste, pas la moindre observation pour décharger Jehanne ni son mari Ferrand de cette grave inculpation.

Eorrespondance.

1o Lettre de M. C. Duvernoy, de Montbéliard, membre de la ce classe de l'Institut

historique.

Besançon, le 5 septembre 1835.

Par votre lettre du 23 août, vous voulez bien m'annoncer que le récit sur l'invasion des Guises a mérité les suffrages de la ce classe, et qu'il sera inséré en entier dans le journal de l'Institut historique (1); daignez en agréer mes remercimens.

Jeprépare d'autres travaux historiques pour les soumettre au jugement de mes confrères Daus l'un de mes mémoires, je prouverai, contre l'opinion de la plupart des historiens de la Franche-Comté, mais à vue des chartes originales que j'ai consultées, que cette province était un fief de l'Empire Germanique, et qu'elle est demeurée sous sa dépendance jusqu'i l'époque où Philippe-le-Hardi, fils du roi Jean, et ses successeurs ont réuni sous leur scep tre les duché et comté de Bourgogne (1384).

Je vous adresserai aussi un mémoire sur les antiquités de Mandeure, qui sera plus com plet que celui inseré par feu Millin dans l'un des numéros de la première année de son Magasin encyclopédique. Cette ville importante, réduite aujourd'hui à la simple condition de village, est appelée Epamanduodurum et Epamantadurum dans l'itinéraire d'Antonin et dans la charte théodosienne; son véritable nom était Mandudurum, d'après un fragment de poteric, qui existe dans mon cabinet, et que j'ai trouvé moi-même au milieu des ruines.

Veuillez m'écrire désormais, non plus plus à Montbléiard, mais à Besançon, où je résiderai jusqu'à la publication des précieux manuscrits du cardinal de Granvelle, à l'analyse desquels je travaille avec d'autres collaborateurs. Cette publication doit avoir lieu, vous le savez, sous les auspices de M. le ministre de l'instruction publique. Il ne me reste

(1) Voir la livraison d'août dernier, tome 3, deuxième année, treizième livraison, page 20.

1

donc que peu de loisir pour mettre en œuvre les nombreux documens inédits que je possède. Les archives de l'ancien comté de Montbéliard, dont je viens de terminer le classement, et qui se composent de plus de trois cent sept mille pièces et volumes, n'ont pas peu contribué à enrichir mon cabinet par les copies et extraits que j'ai des documens les plus intéressans, et de ceux demeurés inconnus jusqu'à ce jour.

2o Lettre de M. M.-L. Polain, conservateur des archives de la province de Liége (Belgique), membre de la 1o classe de l'Institut historique.

Liége, le 17 septembre.

Vous avez dù recevoir la 8 livraison de la Revue belge; nous sommes enfin hors de tutelle; le nombre de nos associés s'élève déjà à près de trois cents, et c'est là un beau succès, surtout en Belgique, où, il faut le dire, une indifférence assez générale accueille toutes les productions indigènes. Les membres de la commission centrale de l'Association nationale pour l'encouragement et le développement de la littérature en Belgique, n'ont rien négligé pour faire justice d'un pareil préjugé, et nous y avons, je crois, réussi en partie, puisqu'au mois de janvier prochain, l'association comptera, espérons-nous, près de cinq cents membres. Dans la deuxième assemblée générale, qui aura lieu bientôt, quelques membres honoraires, pris à l'étranger, seront sans doute admis sur la proposition que j'en ferai avec deux de mes collègues, conformément à l'art. 3 de nos statuts, et des questions seront mises au concours. Nous avions foi dans l'appui de l'Institut historique, et cet appui ne nous a pas manqué. Veuillez en remercier nos collègues. Je ferai paraître, dans le mois de novembre ou de décembre, un premier volume de chroniques liégeoises inédites, dont j'aurai l'honneur de vous adresser un exemplaire.

3o Lettre de M. Vicente Pazos, citoyen du Pérou, membre de la 1re classe de l'Institut historique.

Londres, le 25 septembre.

Avant tout, permettez-moi de remercier notre savant collègue, M. Warden (1), de l'article bienveillant qu'il a daigné consacrer à mes Mémoires politiques (2). Notre honorable collègue connaissait déjà mes Lettres sur l'Amérique du Sud, publiées, en 1819, aux États-Unis, dont je regrette de n'avoir pas un exemplaire à offrir à l'Institut historique. C'est un ouvrage qu'il est fort difficile de se procurer aujourd'hui; succès, au reste, dont je n'ai point la faiblesse de m'enorgueillir, car il est dû bien moins au talent de l'auteur qu'à l'intérêt du sujet qu'il a traité.

De nombreuses occupations et ma santé chancelante ne m'ont point permis d'achever encore le fragment historique que je vous ai promis sur le Pérou. Dès que j'y aurai mis la dernière main, vous le recevrez. Ce ne sera là, du reste, qu'une espèce d'introduction à un travail plus étendu sur les annales de ma patric, pour lequel je fais prendre en ce moment des renseignemens authentiques dans les lieux mêmes dont je veux décrire le passé. Ce travail vous est destiné.

Prenez courage, ne vous rebutez pas, la moisson que nous avons à recueillir est immense, ma faible assistance ne vous manquera jamais. Priez tous nos collègues d'en recevoir l'assurance.

(1) Membre correspondant de l'Académie des sciences.

(2) Tome II, du journal de l'Institut historique, deuxième année, février, septième livraison page 39.

~JOUKA. DE L'INSTIT. HIST., TOX 3, 25 LIVR.

EXTRAIT

DES PROCÈS-VERBAUX DES ASSEMBLÉES GÉNÉRALES

ET DES SÉANCES DE CLASSES DE L'INSTITUT HISTORIQUE.

Le mardi 1er septembre, séance de la 2o classe (histoire des sciences sociales et philosophiques), présidence de M. l'abbé Labouderie.

M. Jullien, de Paris, dépose sur le bureau des invitations pour le congrès scientifique qui va avoir lieu à Douai.

Hommages par M. Pihan de la Forest, d'un travail sur la Législation ancienne et moderne, concernant les rentes foncières, seigneuriales et féodales supprimées en 93, du Code forestier, et de deux ouvrages intitulés: Du tribut de la terre et de la capitation saline, moyens de remplacement; par M. Tabbé C.-M. Le Guillou, de son livre de Marie conçue sans péche; `par M. Massabiau, de son mémoire sur l'Art d'organiserl'opinion, présenté à l'Académie des sciences morales et politiques de l'Institut de France; par M. Victor Calland, d'un tableau fort curieux ayant pour titre : Science et Religion, Harmonie; et par M. M.-L. Polain, de Liége, des dernières livraisons de la Revue belge, sur l'ensemble de laquelle M. J.-S. Jean est chargé de faire un rapport.

Rapport de M. Alph. Fresse-Montval sur les Antiquité's mexicaines, décrites par MM. Alex, Lenoir, Warden, Baradère, de Saint-Priest et C. Farcy. (Voir la présente livraison, pag. 72). La discussion est ouverte. MM. l'abbé Le Guillou, H. Carnot, R. Thomassy, Amédée Prevost, le vicomte de Santarem, le docteur Duval et le comte Ricci y prennent part.

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* La 3° classe (histoire des langues et des littératures) s'est réunie le mercredi 2 septembre sous la présidence de 1. Villenave.

M. P. de Gembloux demande à la classe des renseignemens pour servir à un travail historique, bibliographique et littéraire, qu'il prépare sur l'unité des patois romains. Il tiendrait surtout à avoir des indications certaines sur la bibliographie des patois de Portugal, d'Espague, de Sardaigne et de Toscane, par ville autant que possible.

MM. le comte Ricci, R. Thomassy, le vicomte de Santarem, Renzi, C.-N. Allou offrent leurs services à M. de Gembloux.

Hommages de la Biographie du duc de Penthièvre, publiée dans le recueil de la société Monthyon et Franklin, par M. Villenave; du l'oyage de l'Institut historique aux ruines du chateau du Vivier, publié dans le journal l'Artiste, par M. Achille Jubinal; des dernières livraisons des Annales de la Société d'émulation des Vosges; du Bulletin de l'Académie ¿broicienne; de l'Athénée, journal scientifique et littéraire de Lyon; de la Revue des enfans; de la Revue de France; du Journal spécial des Lettres et Arts; de la Revue des Etats da Nord, et du Journal grammatical,

Lecture de M. Allix: Suite de ses recherches sur les mœurs et la poésie des peuples des régions circompolaires.

Discussion: MM. Lafon, Martin de Paris, Panet-Tromolière, Villenave et Pihan de la Forest. Lecture de M. Arsène Houssaye: Laon, Bruyères, Notre-Dame de Liesse, Esquisses historiques.

Discussion: MM. Allix, Ambs-Dalès, Onésime Leroy, Le Gonidec.

Le lundi 7 septembre, séance de la e classe (histoire générale), présidence de M. D.-B. Warden, doyen d'âge.

Hommages de la Revue anglo-française de Poitiers, numéro d'août; du Bulletin de la So

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ciété de géographie, de juillet; des 1, 2 et 3 livraisons de la Péninsule, tableau pittoresque de l'Espagne et du Portugal; et du 1or volume de la traduction de l'Histoire d'Irlande, de M. Tho mas Moore, par H. Bion-Marlavagne (rapporteur, M. A. de Vaugrigneuse).

1

Rapport de M. Picart sur un Mémoire de M. Em. Gaillard, de Rouen, relatif à un balnéaire

romain.

Discussion: MM. A. Rênée, D.-B. Warden, C.-N. Allou, A. Legrand.

** La 6o classe (histoire de France) s'est réunie le mardi 8 septembre, sous la présidence de M. Dufey (de l'Yonne).

Lettre de M. R. Thomassy à la Société archéologique du midi de la France, séant à Toulouse, pour lui demander le complément de ses publications. Elle est adoptée par la classe.

M. L. Gallois annonce qu'il développera, dans une des prochaines séances, une proposition contre l'emploi des anciennes dénominations dans les histoires modernes.

M. Noël met à la disposition de la société le cabinet de manuscrits, monnaies, médailles et objets d'art, relatifs à l'histoire de Lorraine, qu'il possède à Nancy.

M. le comte de Kergariou offre de communiquer à nos membres de l'ouest, les documens précieux qu'il a rassemblés dans sa terre de la Grande-Ville, près de Châteaulaudren (Côtesdu-Nord).

M. le baron Nottret de Saint-Lys, désigné par l'autorité supérieure pour faire des recherches dans les plus petites localités du département des Ardennes, adresse à la classe une copie de son travail, qui comprend cinq cent trente-huit communes. Ce travail est puisé dans les chartes, les bas-reliefs et les inscriptions recueillis par de nouveaux procédés.

Des remercimens sont votés à M. de Saint-Lys.

Hommages de la dernière livraison de la Biographie des hommes du jour, de MM. G. Sarrut et Saint-Edine; du Journal militaire de Henri IV, par M. de Valori; du programme de la Flore du centre de la France, par M. A. Boreau, de Nevers; et d'un Essai historique sur l'origine des grandes propriétés dans l'ancienne Normandie, par M. E. Vanier.

Rapport de M. Victor Boreau sur une Histoire de Napoléon, par M. le major Lee, en réponse à celle de Walter Scott.

Discussion: MM. Guichard, Eug. Labat, le baron de Chasseloup, Rivière, C. Friess et

Belfield.

*Le jeudi 10 septembre, séance de la 5 classe (histoire des beaux-arts), présidence de M. Protain, de l'Institut d'Egypte.

M. Heugel, de Nantes, annonce de prochains travaux sur l'histoire de la musique. Hommages des livraisons d'août et de septembre du Journal spécial des Beaux-Arts et de la 10 livraison du Vitruve, de MM. E. Tardieu et A. Coussin, architectes.

Proposition de M. Bottée de Toulmon, relativement à l'orchestre de la nouvelle église de la -Madeleine.

Discussion: MM. Huvé, Hittorff, Barbereau, Lecomte, Albert Lenoir.

Rapport de MM. Achille Jubinal et Duseigneur sur les Voyages pittoresques de l'ancienne France, par MM. Ch. Nodier, le baron Taylor et de Cailleux.

Discussion: MM. Aug. Savagner, Romagnesi, Bottée de Toulmon, Monvoisin et Ferdinand

Thomas.

derie.

La 2o classe s'est réunie le mardi 15 septembre, sous la présidence de M. l'abbé Labou

Hommages d'une Notice sur Champagny, duc de Cadore, par M. P. de Chamrobert; du numéro d'août du Journal d'Agriculture, Sciences, Lettres et Arts, rédigé par des membres de la Société royale d'émulation de l'Ain, dans lequel on remarque un mémoire sur la police sanitaire de la villé de Bourg, pendant les 16 et 17e siècles, par M. Lateyssonnière; des Travaux de la Société royale et centrale d'Agriculture, Sciences et Arts du département du Nord, séant à Douai, pendant 1833 et 1834, etc., etc.

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Lecture de M. Martin, de Paris, sur l'Hygiène et la Morale de l'abstinence chez les

anciens.

Discussion: MM. Fresse-Montval, l'abbé Labouderie, le docteur Duval, le comte Slopis de Turin, Dauvergne, Junod et Chevallay.

*

Le mardi 16 septembre, séance de la 3o classe, sous la présidence de M. Villenave. MM. Alphonse Brot, et Arsène Houssaye font part à la classe d'un voyage qu'ils vont entreprendre dans le département de l'Aisne, pour explorer les chartes et monumens de ses diverses localités.

M. E. Juglet de Lormaye, de concert avec M. Clovis Michaux, procureur du roi à Fontainebleau, signale à l'Institut historique l'existence dans cette ville d'un poète, élève de la scule nature, qui ne doit rien à l'éducation scolastique, qui n'a point été au collége, qui ne s'est pas formé au sein des sociétés lettrées et des académies. Cet homme a reçu de la lecture de quelques grands poètes l'étincelle électrique qui a développé sa belle organisation littéraire; il sait le latin qu'il a appris seul dans ses courts loisirs. Soldat, il portait Horace dans son havresac, et il s'est rendu Arioste familier dans un voyage fait en Italie avec le tablier de l'artisan. Aujourd'hui on trouve Virgile et Tasse mêlés aux outils de sa profession.

Cet homme est M. Durand, menuisier à Fontainebleau. Entre autres ouvrages, il est auteur d'un poëme en quatre chants sur la Forêt de Fontainebleau. Castel et d'autres ont traité le même sujet, mais M. Durand n'a rien à redouter de la comparaison.

MM. de Lormaye et Michaux, pour mettre l'Institut historique à même d'enjuger, mettent sous les yeux de la 3 classe un fragment de ce poëme, intitulé le Bouquet du roi. C'est le nom qui a été donné à l'un des plus vieux chènes de la forêt de Fontainebleau. Ce bel arbre a environ vingt pieds de circonférence. Ils font des vœux pour que cet appel à l'attention publique sur un homme digne de l'occuper, contribue à mettre à sa place un talent qui pousse la modestie jusqu'à la plus humble défiance. L'ouvrage de M. Durand le met bien au-dessus de maitre Adam Billaut, de bachique mémoire. Une souscription pour publier le fruit de ses loisirs a été onverte à Fontainebleau, et couverte sur-le-champ de nombreuses signatures (1).

La 3 classe, après avoir entendu la lecture des vers de M. Durand, remercie MM. de Lormaye et Michaux de leur communication, et émet le vœu que l'œuvre du poète trouve de la sympathie parmi les membres de l'Institut historique.

M. l'abbé Bercier, principal du collège de Varzy, adresse à la classe diverses pièces relatives à l'établissement qu'il dirige avec tant de succès; elles sont également remarquables, et par les sentimens qui les ont inspirées, et par le talent littéraire de l'auteur.

M. Bannister appelle l'attention de la classe sur le projet gigantesque qu'a formé M. Carlisle, secrétaire de la Société des antiquaires de Londres et membre de la Société royale, de fonder des chaires de haute littérature anglaise dans les capitales de tous les états. « Ce projet, dit l'honorable rapporteur, doit faire époque dans l'histoire de la langue et de la littérature de Milton, et il ne sera pas étranger aux progrès de la littérature dans toutes les autres langues. » M. Carlisle se propose de faire, en grande partie, ies frais des premiers professorats; mais, sentant l'impossibilité d'y satisfaire entièrement, il adresse un appel aux amis des lumières pour le seconder dans sa noble entreprise. Il prie les membres de l'Institut historique de lui signaler les écueils et de ne pas lui refuser leur sympathie.

La 3e classe remercie M. Bannister de sa communication, et vote des remercimens à M. Carlisle.

Hommages de la ire livraison du Midi, feuille de la décentralisation intellectuelle, publiée à Nimes par M. A. de Retz; et d'une notice sur les Travaux biographiques dont Gresset a ét: Pobjet, et sur les différentes éditions de ses œuvres, par M. de Cayrol.

Lecture de M. Mary Lafon : Fragment d'un tableau de l'Histoire du Midi. (Voy. p. 49` Discussion: MM. Villenave, Allix, Boucharlat, Ambs-Dalès.

Communication de M. Panet Trémolière : Table analytique et sommaire des chapitres d'unt Histoire du Christianisme.

Discussion: MM. Alph. Brot, Houssaye, Mary Lafon et S. Cahen.

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*La re classe s'est réunie le lundi 21 septembre, sous la présidence de M. Alex. Lenoir.

(1) On souscrit à Paris, chez M. Bournet-Verron, notaire, rue Saint-Honoré, 83.

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