Revue britannique, publ. par mm. Saulnier fils et P. Dondey-DupréSébastien Louis Saulnier 1866 |
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anglais Angleterre années Apollonius araignées assez avaient Aytoun Baker bataillons Belcher c'était café caricatures charme chevaux chien chose cœur colonie compagnie côté dernier devant dire docteur donner Ebbo écossais eût femme fille fils général Gillray gouvernement Great-Eastern guerre heures hommes Imam Riza Irlande j'ai j'avais j'étais jamais jeune John Winthrop jour jusqu'à Kathleen Mavourneen l'Angleterre l'araignée l'armée l'empereur l'Inde l'Irlande lac Albert laisser landwehr lettres Linsenbarth livres livres sterling Londres lord Combermere magyare main maître Massachusetts ment Meshed mille millions miss mois monde mort n'avait n'était Nouvelle-Angleterre officiers parler passer pauvre pays Peacock pèlerin pendant pensée père Perks personne peuple Philostrate pied poëte politique porte pouvait premier presque prince Prusse prussienne qu'un question race regards régiment reste Revue Britannique rien Roger Bacon salon sentiment serait Serbes service seul Shiites sorte système Téhéran tête tion troupes trouve Turcs voix voyage whig Workhouse yeux
Popular passages
Page 10 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 180 - Tous les savants s'accordent à regarder R. Bacon comme ayant joué un grand rôle dans l'histoire des sciences. C'est évidemment à lui qu'il...
Page 487 - Suffridiis rapporte que Charles-Quint avait indiqué une » erreur à Gemma, que celui-ci s'empressa de rectifier, et » qu'il dédia l'édition corrigée à l'Empereur (page 87). » Or, Gemma était alors notre mathématicien le plus distingué. Pour ce qui concerne la somme de mille écus que Charles-Quint promet à Rabelais s'il peut résoudre son problème, que M. Gachard ne s'en étonne pas davantage. L'Empereur était généreux. Voici ce que j'ai cru devoir indiquer encore à la page 79 de...
Page 283 - Where slaves once more their native land behold, No fiends torment, no Christians thirst for gold. To Be, contents his natural desire, He asks no Angel's wing, no Seraph's fire; But thinks, admitted to that equal sky, His faithful dog shall bear him company.
Page 9 - Quand nous parlons de salons, il est bien entendu que ce que nous appelons un salon n'a rien de commun avec ces fêtes nombreuses où l'on entasse des gens inconnus les uns aux autres, qui ne se parlent pas, et qui sont là momentanément pour danser, pour entendre de la musique et pour montrer des toilettes plus ou moins somptueuses. Non, ce n'est pas là ce qu'on appelle un salon. " Un salon est une réunion intime, qui dure depuis plusieurs années, où l'on se connaît et se cherche, où l'on...
Page 20 - On finit par s'expliquer, el voici la révélation du mystère. La veille au soir, le jeune lord, tout habillé, n'ayant plus à mettre que ses souliers •vernis, s'était assis auprès du feu avec des pantoufles de maroquin rouges. Pressé de rejoindre M. de Custines, lorsqu'on lui dit que -sa voiture s'arrêtait à la porte, il oublia sa chaussure et ne s'aperçut qu'au milieu du salon de la princesse Czartoryska des pantoufles rouges restées à ses pieds. De là l'effroi qu'il éprouva, la honte,...
Page 167 - Tous les malheurs qui l'accablèrent pendant sa vie tinrent de ce qu'il était entré dans l'ordre de Saint-François. Cette confrérie s'appliqua uniquement à étouffer son génie. Combien sa destinée eût été différente s'il était entré, comme Albert le Grand et Thomas d'Aquin, dans l'ordre de Saint-Dominique ! Les ordres prêcheurs, auxquels appartenaient ces deux grands hommes, s'efforçaient d'acquérir par l'enseignement la plus haute influence. Il leur fallait, pour cela, des professeurs...
Page 15 - C'est pressé, dit-il, je veux l'avoir la « veille de mon mariage avec la belle Francesca. Il faut que le « dieu de l'hyménée soit escorté de toutes les Grâces et de toutes « les Joies ; que son flambeau soit plus brillant que celui de • l'Amour; que l'expression du visage soit plus céleste, et que « son bonheur paraisse plus emprunter au ciel encore qu'à la
Page 23 - On ne s'en étonnait pas, les exilés sont bien à plaindre; mais on éprouvait quelque surprise quand il ajoutait : « Comme il vont s'ennuyer à présent que je les ai quittés ! car, depuis quinze jours, je leur lisais mes ouvrages tous les soirs. » Voilà pourquoi il les trouvait à plaindre!... Nous ne citerons qu'un seul des tours qu'il a joués aux journaux en fait de réclames, d'entre-filets et de comptes rendus, dont il les inondait au sujet de ses ouvrages. A force d'insistances, de...
Page 173 - Laon, quand nous étions légat. Nous voulons encore que vous vous expliquiez dans vos lettres sur les remèdes qu'on doit appliquer à ces maux si dangereux que vous nous signalez, et qu'avec le plus de secret possible vous vous mettiez en devoir sans aucun délai.