Histoire du droit des gens et des relations internationales: Les nationalitésL. Hebbelynck, 1865 - Church and state |
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... avaient pas le droit d'enlever aux Grecs ? C'est Dieu qui dispose des empires et non le pape ... Mettons que le pape ait réellement transféré l'empire aux Alle- mands ; alors prenons le don au sérieux . Que l'empire soit un vrai empire ...
... avaient pas le droit d'enlever aux Grecs ? C'est Dieu qui dispose des empires et non le pape ... Mettons que le pape ait réellement transféré l'empire aux Alle- mands ; alors prenons le don au sérieux . Que l'empire soit un vrai empire ...
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... avaient aspiré les ravageurs de l'univers ; Rabelais est bien plus dans le vrai , en réduisant ce sublime idéal à un étroit égoïsme . Après avoir ri de leurs projets insensés , il termine par des paroles plus graves , pour montrer l ...
... avaient aspiré les ravageurs de l'univers ; Rabelais est bien plus dans le vrai , en réduisant ce sublime idéal à un étroit égoïsme . Après avoir ri de leurs projets insensés , il termine par des paroles plus graves , pour montrer l ...
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... avaient l'amour de la personnalité à un tel excès , qu'ils permettaient à l'individu de rompre les liens les plus sacrés , ceux de la famille ( 1 ) . C'était pousser la vertu jus- qu'au défaut . Sous l'influence de cet esprit de ...
... avaient l'amour de la personnalité à un tel excès , qu'ils permettaient à l'individu de rompre les liens les plus sacrés , ceux de la famille ( 1 ) . C'était pousser la vertu jus- qu'au défaut . Sous l'influence de cet esprit de ...
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... avaient également la tendance de pousser à l'excès le principe de l'unité dont ils étaient les représentants . De là , une nouvelle tentative de monarchie universelle , qui aurait pu devenir funeste à l'humanité , si le pape ou l ...
... avaient également la tendance de pousser à l'excès le principe de l'unité dont ils étaient les représentants . De là , une nouvelle tentative de monarchie universelle , qui aurait pu devenir funeste à l'humanité , si le pape ou l ...
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... avaient une autorité héréditaire . La force des choses devait amener l'accroissement successif du pouvoir des princes et réduire la dignité impériale à un vain nom . Quand Charles - Quint eut vaincu les protestants , il songea ...
... avaient une autorité héréditaire . La force des choses devait amener l'accroissement successif du pouvoir des princes et réduire la dignité impériale à un vain nom . Quand Charles - Quint eut vaincu les protestants , il songea ...
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Common terms and phrases
Alberi alliés ambassadeurs ambition avaient c'était Campanella cardinal catholicisme cause Charles Charles-Quint chef chose conquérir conquête desseins Dieu dire dit-il domination Élisabeth empereur ennemis Espagnols États eût Ferdinand force François Ier Fürsten und Volker Geschichte Granvelle Groen van Prinsterer Grotius guerre de Trente Gustave-Adolphe Henri IV Henri VIII Histoire historiens hommes huguenots humaine ibid infidèles intérêts l'Allemagne l'alliance l'ambition l'Angleterre l'Église l'empereur l'empire l'Espagne l'Europe l'humanité l'Italie l'unité chrétienne légitime Léon X Lettre liberté religieuse ligue lutte Machiavel maison d'Autriche maître Mémoires Milan monarchie universelle monde moyen âge n'était Naples nationalités nations Négociations paix papauté pape Paul III Paul IV Pays-Bas Petitot peuples Philippe politique pontife princes protestants protestantisme Provinces-Unies puissance Ranke réaction catholique réforme reine Relazione religion Richelieu rivalité rois romain Rome royaume saint saint-siége sentiments serait seul Soliman Suède Suédois sultan temporel tion trève Turcs vainqueur vénitien vicaire Voilà voulait vrai Walsingham xvie siècle xvre siècle
Popular passages
Page 279 - Majesté doit mettre en considération qu'autant qu'il ya de divers climats, régions et contrées, autant semble-t-il que Dieu les ait voulu diversement faire abonder en certaines propriétés, commodités, denrées, matières, arts et métiers spéciaux et particuliers, qui ne sont point communs, ou...
Page 306 - Jaire une réputation de bonté, de clémence, de piété, de fidélité à ses engagements , et de justice ; il doit avoir toutes ces bonnes qualités, mais rester assez maître de soi pour en déployer de contraires lorsque cela est expédient. Je pose en fait qu'un prince, et surtout un prince nouveau, ne peut exercer impunément toutes les vertus, parce que l'intérêt de sa conservation l'oblige souvent à violer les lois de l'humanité, de la charité et de la religion....
Page 312 - En luy et en tous autres princes, que j'ay connu ou servy, ay connu du bien et du mal : car ils sont hommes comme nous. A Dieu seul appartient la perfection. Mais, quand en un prince la vertu et bonnes conditions précèdent les vices, il est digne de grand...
Page 379 - ... priant de les achever de tuer. En quoi M. de Guise exerça grandement la charité, car il en fit porter plus de soixante à l'hôpital...
Page 347 - Qu'un prince doit toujours éviter la haine et le mépris de ses sujets, et que l'amour du peuple vaut mieux que les forteresses. Mais il y en a aussi plusieurs autres que je ne saurais approuver. Et je crois que ce en quoi l'auteur a le plus manqué, est qu'il n'a pas mis assez de distinction entre les princes qui ont acquis un État par des voies justes, et ceux qui l'ont usurpé par des moyens illégitimes ; et qu'il a donné à tous, généralement, les préceptes qui ne sont propres qu'à ces...
Page 453 - Nous les pouvons donc bien appeler barbares, eu égard aux règles de la raison, mais non pas eu égard à nous, qui les surpassons en toute sorte de barbarie.
Page 351 - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées, ni par leur naissance, ni par leur fortune, au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours, en idée, quelque nouvelle réformation.
Page 351 - ... entre des montagnes deviennent peu à peu si unis et si commodes, à force d'être fréquentés, qu'il est beaucoup meilleur de les suivre que d'entreprendre d'aller plus droit en grimpant au-dessus des rochers et descendant jusques au bas des précipices.
Page 483 - ... une personne séparée des autres, et dont par conséquent les intérêts sont en quelque façon distincts de ceux du reste du monde, on doit toutefois penser qu'on ne sauroit subsister seul, et qu'on est en effet l'une des parties de l'univers, et plus particulièrement encore l'une des parties de cette terre, l'une des parties de cet État, de cette société, de cette famille, à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance...
Page 204 - Il ajouta qu'avoir Dieu et la Vierge en la bouche, la religion en apparence, un chapelet en la main et les seuls intérêts temporels au cœur, étoit la première maxime de leur nation superbe.