Paolo e Virginia: del signor J.B.H. de Saint-Pierre ... |
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Common terms and phrases
alberi alcuni alla allora ancora arbres aveva avevano avoient avoit bois bonheur C'étoit capanna chere ciel cielo colla cosi cuore d'autres dame della Dieu dire Domingo donne enfants erano étoient étoit famille felice felicità figli figlio fille fils fiori fiume fleurs forma fortune fruits giorno giovane gran habitants heureuse hommes j'ai jeune joie jour l'avoit lieu loin loro madama madre maggior mains malheur mare Margherita Maria mente mezzo milieu mille monde montagne morte nature noirs notte nuit ogni Paolo parents parola passer passions Paul peine personne petite piacere pied più porte propres qu'un quale questa riche rien rocher sempre sentiment servir seul società sola solo sorte souvent tante tempo terre Tour trouvé tutta tutto vaisseau venir vent verso vertu vicina Virginie vita volte
Popular passages
Page 166 - A cette terrible vue, le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie, voyant la mort inévitable, posa une main sur ses habits, l'autre sur son cœur, et levant en haut des yeux sereins, parut un ange qui prend son vol vers les cieux.
Page 90 - Trois-Mamelles, sur laquelle ils se dirigeaient, et même le soleil, qui était déjà près de se coucher. Au bout de quelque temps, ils quittèrent sans s'en apercevoir le sentier frayé dans lequel ils avaient marché jusqu'alors, et ils se trouvèrent dans un labyrinthe d'arbres, de lianes et de roches, qui n'avait plus d'issue.
Page 8 - ... pied les sources dont se forme la petite rivière des Lataniers. Un grand silence règne dans leur enceinte, où tout est paisible, l'air, les eaux et la lumière. A peine l'écho y répète le murmure des palmistes qui croissent...
Page 168 - ... une fin aussi funeste d'une fille si vertueuse, qu'il existât une Providence ; car il ya des maux si terribles et si peu mérités, que l'espérance même du sage en est ébranlée.
Page 160 - ... faire le tour à pied ; mais bientôt après , revenant sur ses pas avec une nouvelle furie , elle le couvrait d'énormes voûtes d'eau qui soulevaient tout l'avant de sa carène , et rejetaient bien loin sur le rivage le malheureux Paul, les jambes en sang, la poitrine meurtrie et à demi noyé. A peine ce jeune homme...
Page 78 - L'idée lui vint de mettre le feu au pied de ce palmiste. Autre embarras : il n'avait point de briquet, et d'ailleurs, dans cette île si couverte de rochers, je ne crois pas qu'on puisse trouver une seule pierre à fusil. La nécessité donne de l'industrie, et souvent les inventions les plus utiles ont été dues aux hommes les plus misérables.
Page 92 - Paul descendit alors de l'arbre, accablé de fatigue et de chagrin: il chercha les moyens de passer la nuit dans ce lieu; mais il n'y avait ni fontaine, ni palmiste, ni même de branches de bois sec propre à allumer du feu.
Page 70 - En même temps elle lui montra son corps sillonné de cicatrices profondes* par les coups de fouet qu'elle en avait reçus. Elle ajouta : " Je voulais aller me noyer ; mais, sachant que vous demeuriez ici, j'ai dit : Puisqu'il ya encore de bons blancs dans ce pays, il ne faut pas encore mourir.
Page 88 - Cependant Virginie, s'étant un peu reposée, cueillit sur le tronc d'un vieux arbre, penché sur le bord de la rivière, de longues feuilles de scolopendre qui pendaient de son tronc. Elle en fit des espèces de brodequins, dont elle s'entoura les pieds, que les pierres des chemins avaient mis en sang ; car, dans l'empressement d'être utile, elle avait oublié de se chausser.
Page 50 - Ils ne savaient pas qu'il ne faut pas dérober, tout chez eux étant commun ; ni être intempérant, ayant à discrétion des mets simples ; ni menteur, n'ayant aucune vérité à dissimuler. On ne les avait jamais effrayés en leur disant que Dieu réserve des punitions terribles aux enfants ingrats; chez eux l'amitié filiale était née de l'amitié maternelle.