Oeuvres, Volume 11750 |
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affez affuré ainfi ajoûter Athalie auffi avoient avoit Boileau Britannicus Burrhus c'eft c'eſt caufe chofes cœur Colbert compofa connoître Corneille d'Efther deffein Defpréaux déja derniere devoit Dieu difant Difcours difoit difoit-il difpute efprit enfans ennemis étoient étoit faifoit faint falut fans fe trouve feconde fentimens fentir feroit fervi fes Ouvrages fes Tragédies feulement fiécle fiége fien fieur foin foit fon ami fonge font fouvent ftile fuccès fuis fuivant fujet fur le Théâtre grace Hiftoire homme Innocent X j'ai jamais Jean Racine jour jufqu'à l'Académie l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffa leau long-tems lorfqu'il lorfque Louis XIV lumiere Madame de Maintenon maniere Memoires Miniftre Moliere Monfieur Arnaud n'avoit n'eft n'étoit Namur paffer paffion parler parloit Pere perfonnes Phédre Piéce piété plaifanterie plaifir plufieurs Poëfie Poëte Port-Royal pouvoit préfent premiere Prince Racine raifon refte s'eft Saint Cyr Sambre Satyre tems tion trouvoit Turenne vouloit دو
Popular passages
Page 164 - Paris commença la méthode De ces sifflets qui sont tant à la mode. « Ce fut, dit l'un, aux pièces de Boyer. » Gens pour Pradon voulurent parier. « Non, dit l'acteur : je sais toute l'histoire, Que par degrés je vais vous débrouiller : Boyer apprit au parterre à bâiller ; Quant à Pradon, si j'ai bonne mémoire, Pommes sur lui volèrent largement ; Mais, quand sifflets prirent commencement. C'est (j'y jouais, j'en suis témoin fidèle). C'est à l'Aspar du sieur de Fontenelle.
Page 165 - S'attendrissait et pleurait sans mesure. Bon gré vous sais , lui dit le vieux rimeur ; Le beau vous touche , et ne seriez d'humeur A vous saisir pour une baliverne.
Page 121 - Pour moi, je vous dirai franchement que les charmes de la cadette n'ont pu m'empêcher de donner la préférence à l'aînée.
Page 130 - ... en peut dire, et de ne me mettre en peine que du compte que j'aurai à lui en rendre quelque jour. «Ainsi, Monsieur, vous pouvez assurer le P. Bouhours et tous les jésuites de votre connaissance, que, bien loin d'être fâché contre le régent qui a tant déclamé contre mes pièces de théâtre, peu s'en faut que...
Page 109 - Andromaque, et l'ont si bien jouée qu'elles ne la joueront de leur vie, ni aucune autre de vos pièces.
Page 150 - Religieuses de vouloir bien m'accorder cet honneur, quoique je m'en reconnaisse très indigne, et par les scandales de ma vie passée, et par le peu d'usage que j'ai fait de l'excellente éducation que j'ai reçue autrefois dans cette maison, et des grands exemples de piété et de pénitence que j'y ai vus, et dont je n'ai été qu'un stérile admirateur. Mais plus j'ai offensé Dieu, plus j'ai besoin des prières d'une si sainte Communauté pour attirer Sa miséricorde sur moi.
Page 97 - Ne croyez pas que ce soient mes pièces qui m'attirent les caresses des grands. Corneille fait des vers cent fois plus beaux que les miens, et cependant personne ne le regarde; on ne l'aime que...
Page 142 - J'ose dire que les grands seigneurs m'ont bien plus recherché que je ne les recherchais moi-même ; mais dans quelque compagnie que je me sois trouvé, Dieu m'a fait la grâce de ne rougir jamais ni du roi ni de l'Évangile.
Page 50 - J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue, Et mon ambition, pour faire plus de bruit...
Page 189 - Il avoit à la cour de cette dame un ami , par le moyen duquel il obtint d'elle qu'elle viendroit un jour faire collation dans son jardin.