Œuvres de A. V. Arnault: Critiques philosophiques et littérairesBossange, 1825 |
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amis animal apologue Arachné ARNAULT beau Beaumarchais bête bon homme BOUTS-RIMÉS C'était calomniateur chants charmes chat cheval chien cœur colin-maillard comte Regnault crois Daphné Démosthènes diable Dieu dieux dindons disait doigts doit donne doux enfant épigramme Ésope esprit FABLE VII FABLE XV fabuliste faisait fleurs Fontaine fortune gens gloire goût Hélas héros heureux imiter j'ai j'en Jacot jamais jeune jour l'amour l'apologue l'art l'Énéide l'homme l'or laissé lièvre livre loin long-temps Louis XVIII madame main maint maître malheur marguillier marronier mieux Momus monde monsieur mort n'en n'était neufs sœurs noble NOTES ET REMARQUES parfois passer pauvre pense Pétrarque Phèdre philosophe plaisir pleurs poëte Polichinelle porte portrait prince qu'en qu'un raison Rat de cave rien rival Roger Bacon rose s'il sage Saint-Jean-d'Angély sais satire Schiplaken serpent seul soleil sort souvent talent Tantôt terre tête trouve veux vieux voilà vois voit Voltaire XVII yeux
Popular passages
Page 164 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 395 - La divinité qui s'amuse A me demander mon secret, Si j'étais Apollon, ne serait point ma muse : Elle serait Thétis, et le jour finirait.
Page 164 - DE ta tige détachée, Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu? Je n'en sais rien. L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien.
Page 352 - II joignit l'art de plaire au malheur de médire : Le miel que cette abeille avait tiré des fleurs Pouvait de sa piqûre adoucir les douleurs; Mais pour un lourd frelon méchamment imbécile*, Qui vit du mal qu'il fait, et nuit sans être utile, On écrase à plaisir cet insecte orgueilleux, Qui fatigue l'oreille et qui choque les yeux.
Page 15 - Raton, et ce n'est point une histoire apocryphe, Dans la peau d'un ami, comme fait maint plaisant, Enfonçait, tout en s'amusant, Tantôt la dent, tantôt la griffe. Pareil jeu dut cesser bientôt. « Eh quoi! Pataud, tu fais la mine : Ne sais-tu pas qu'il est d'un sot De se fâcher quand on badine? Ne suis-je pas ton bon ami ? — Prends le nom qui convient à ton humeur maligne, Raton; ne sois rien à demi : J'aime mieux un franc ennemi Qu'un bon ami qui m'égratigne.
Page 381 - Ci-gît l'illustre et malheureux Rousseau. Le Brabant fut sa tombe, et Paris son berceau : Voici l'abrégé de sa vie Qui fut trop longue de moitié : II fut trente ans digne d'envie, Et trente ans digne de pitié.
Page 14 - S'aimer d'une amitié sans bornes ; De soi seul emplir sa maison ; En sortir suivant la saison, Pour faire à son prochain les cornes ; Signaler ses pas destructeurs Par les traces les plus impures; Outrager les plus...
Page 374 - Merveilleuse invention, qui est d'un si grand usage dans la vie, qui fixe la mémoire des faits , et immortalise les hommes!
Page 418 - 1 pianto e '1 lamento? S'a mal mio grado, il lamentar che vale? O viva morte, o dilettoso male, Come puoi tanto in me s
Page 15 - LE CHIEN ET LE CHAT Pataud jouait avec Raton, Mais sans gronder, sans mordre, en camarade, en frère- : Les chiens sont bonnes gens ; mais les chats, nous dit-on, Sont justement tout le contraire.